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#117 : Carte blanche

Mlle Topolsky est de retour à Roswell pour prévenir la bande qu’un chasseur d’aliens s’est lancé à leur recherche. Elle leur conseille de ne pas se faire remarquer et d’agir comme des adolescents normaux… Une nouvelle élève arrive au lycée, elle s'appelle Tess et elle est très attirée par Max.

Popularité


5 - 3 votes

Titre VO
Crazy

Titre VF
Carte blanche

Première diffusion
10.04.2000

Photos promo

Maria DeLuca (Majandra Delfino)

Maria DeLuca (Majandra Delfino)

Kathleen Topolsky (Julie Benz)

Kathleen Topolsky (Julie Benz)

Diffusions

Logo de la chaîne The WB

Etats-Unis (inédit)
Lundi 10.04.2000 à 21:00

Plus de détails

Ecrit par : Thania St. John
Réalisé par : James Whitmore Jr.

Guests :
Julie Benz ... Agent Kathleen Topolsky
Kevin Cooney ... Dr Margolin
Emilie de Ravin ... Tess Harding

Au Crasdown, Max passe chercher Liz pour faire une promenade. Maria avoue à Michael qu'elle aimerait bien qu'il soit un peu plus comme Max.

Alors que Liz et Max s'embrassent amoureusement dans la Jeep du jeune homme ils sont interrompus par l'agent Topolsky. Elle veut les prévenir qu'il y a un nouveau chasseur d'extraterrestres sur la région et qu'il connaît l'existence de Max.

Le couple rassemble directement le groupe pour parler de leur mésaventure. Les avis divergent. Seul Liz semble convaincue de l'honnêteté de Topolsky. Au final, ils décident de ne pas tenir compte des propos de l'agent et de se tenir à carreaux pendant un moment.

Le lendemain, au lycée, c'est toujours l'amour fou entre Max et Liz, ils ne se quittent plus. Alex, quand à lui, rejoint Isabel à table lorsqu'une autre jeune fille demande à s'installer avec eux. Isabel accepte volontiers et entame la conversation. Elle apprend que la nouvelle se prénomme Tess et se lie rapidement d'amitié avec elle.

Dans l'après-midi, Max et Michael sont chez les Evans. Ils reparlent de l'histoire Toplosky lorsque Tess arrive derrière eux. Isabel fait les présentations mais les garçons ne sont pas convaincus qu'il s'agit du bon moment pour se faire de nouveaux amis.

Au Crashdown, Maria réceptionne des fleurs pour son amie. Lorsque Liz lit la carte, il s'agit d'un rendez-vous pour le soir même dans un restaurant de la ville. Bien sur, elle pense automatiquement à Max et va se préparer pour la soirée.
Contrairement à ce qu'elle pensait, Liz ne retrouve pas Max au rendez-vous. Melle Toplosky se présente à sa place et avoue qu'elle a envoyé les fleurs pour l'attirer ici. Elle doit absolument raconter son histoire à quelqu'un qui pourra la transmettre à Max.

(On apprend que Toplosky faisait partie de l'unité spéciale de chasseurs d'extraterrestres du FBI, dirigée par l'agent Pierce. Seulement, lorsqu'elle a découvert que Pierce tuait des innocents dans le seul but de découvrir des extraterrestres, elle a quitté l'organisation et depuis elle est recherchée.)

Le lendemain, Liz raconte toute cette histoire à Max et lui affirme que tout le groupe est suivi par des agents. Ils se regroupent donc tous une seconde fois pour en reparler.

Pensant que son action auprès de Liz n'a pas été une réelle réussite. Toplosky décide de se rendre chez les Valenti le soir. Elle raconte à nouveau son histoire et s'en va. Le shérif pensant qu'elle est peut-être devenue folle, appelle l'agent Stephens pour vérifier ses dires. Valenti découvre ainsi que l'agent Stephens a récemment été tué comme l'avait dit Topolsky.

Le groupe décide de ne rien changer à leurs habitudes. Le soir, les deux couples, Michael/Maria et Max/Liz, se sont organisés un rendez-vous ensemble, tandis q'Isabel et Alex restent au Crashdown. Ils seront très vite rejoints par Tess.
A l'heure où Alex rentre chez lui à pieds, il remarque une voiture qui le suit. Lorsque des hommes l'interpellent, le shérif Valenti arrive et lui sauve la mise.

En rentrant du dîner en couple, qui ne s'est d'ailleurs pas vraiment bien passé pour Michael et Maria, Michael découvre Toplosky chez lui avec le galet à la main. Elle lui dit qu'elle est en possession de l'autre "galet", ceux-ci sont en fait des communicateurs, et que s'il veut en savoir plus il devra la rencontrer le lendemain avec le communicateur.

De nouveau réunion de groupe. Michael rapporte les propos de l'ex-agent. Il est prêt à la rencontrer puisqu'elle a l'air d'en savoir d'avantage qu'eux sur leur existence. Max n'est pas d'accord et clos la conversation. Il pense que c'est trop dangereux.

Plus tard dans la journée, Maria surprend Michael en train de lui voler ses clefs de voiture. Elle comprend tout de suite ce qu'il veut faire et décide de le suivre. Avant de partir, elle laisse un message aux autres pour qu'ils sachent où ils sont partis.

Quand Max apprend sa trahison, il est furieux. Ils partent donc tous à sa recherche. Lorsqu'ils les retrouvent Max, énervé, frappe Michael et le communicateur est projeté hors de leur portée. Soudain, Valenti et le docteur Margolis arrivent pour les informer que Topolsky s'est échappée d'un asile, et que tout ce qu'elle leur a raconté n'était que mensonges. Avant de partir, Valenti découvre le "galet" et le prend avec lui.

Le docteur, en entrant dans sa voiture, se transforme en une autre personne. Il s'agissait en fait de Nasedo.

Au même moment, Melle Topolsky est kidnappée par des hommes du FBI.

117 Carte blanche

 

(Le Crashdown, le soir)

(Michael est dans la cuisine alors que Liz et Maria discutent dans la salle devant lui)

MICHAEL : Eh les filles c'est pas quand c'est froid que c'est meilleur. Et essayez de nous caser les spéciales ça nous changera.

(Max et Isabel arrivent)

LIZ : Tu peux y aller ?

(Maria comprend qu'elle n'a pas vraiment le choix)

LIZ : T'es sympa. Table 5.

(Maria, Michael et Isabel observent Liz et Max qui s'embrassent)

MARIA : C'est si dur que ça ?

MICHAEL : De quoi ?

MARIA : De faire comme un couple normal, se sourire, s'embrasser, se parler pour se dire des trucs gentils, être content quand on se voit.

MICHAEL : C'est trop à la fois.

LIZ : Si on part maintenant on sera à l'heure. J'n'irais même pas me changer.

ISABEL : Tu vas pas déjà t'en aller ?

MAX : On avait prévu d'aller au cinéma, alors...

LIZ : Ca te dérange pas Maria ?

MARIA : Mais non, vas y.

LIZ : Merci.

MARIA : Va vivre ces instants qu'il ne veut pas m'offrir.

MICHAEL : On dirait des gamins.

MARIA : Hein, tu trouves ?

MICHAEL : Ils arrêtent pas de chercher un petit coin pour se bégotter, les pauvres. On n'a pas besoin de ça nous, on a mon appartement, pas vrai ?

ISABEL : J'vais prendre un spécial.

MARIA ET MICHAEL : Désolés, c'est fermé.

(Buckley Point)

(Max et Liz s'embrassent dans la jeep)

Liz : Ca te dérange pas de rater le film ?

MAX : Il paraît qu'il est pas si bon que ça.

(Topolsky frappe à la vitre de la jeep)

TOPOLSKY : Vous êtes en danger ! Tous.

MAX : Mais de quoi vous parlez ?

TOPOLSKY : Le meilleur moyen de vous protéger c'est de faire comme si vous étiez comme les autres.

MAX : On est comme les autres.

TOPOLSKY : Je crois que j'ai été suivie. Ne faites confiance à personne. Je reviendrai vous voir.

LIZ : Topolsky.

 

(Générique)

 

(L'appartement de Michael)

(Michael et Maria s'embrassent sur le canapé)

MICHAEL : Maria. Maria.

MARIA : Michael. Michael. Max.

MICHAEL : Quoi ?

MARIA : Regarde.

(Max, Liz, Isabel et Alex sont dans l'appartement)

MICHAEL : Qu'est ce que vous faîtes là ?

MAX : Topolsky.

ISABEL : Elle est revenue.

LIZ : Elle nous a presque agressé dans la voiture à Buckley Point.

MARIA : Vous ne deviez pas aller au cinéma ?

LIZ : Si, mais les critiques étaient mauvaises.

MAX : Elle a dit qu'on était en danger. Tous. Et qu'on devait se comporter normalement en attendant qu'elle nous recontacte.

ALEX : Comme des extraterrestres normaux ou comme des humains qui se font courser par le FBI ou l'armée ?

MICHAEL : Non, ça sent le piège. Je le sens très mal.

LIZ : Non, je t'assure qu'elle avait l'air sincère et... et je pense que c'est vrai.

MICHAEL : J'te rappelle que c'est pas, c'est pas la première fois que tu la crois.

ALEX : Et moi j'te signale que si on avait pas démasqué Topolsky tu serais peut-être pas là. Alors arrête.

ISABEL : Ca va. Calme toi Alex.

ALEX : Tu crois qu'elle est venue nous prévenir alors ?

LIZ : C'qui est sûr c'est qu'elle n'avait plus l'air d'un agent du FBI. Sa façon de parler... Tout ça, j'ai eu l'impression qu'elle avait... qu'elle avait aussi peur pour elle que pour nous.

ALEX : J'suis comme Liz. J'la crois.

MICHAEL : Moi j'la crois pas. Elle essaie une nouvelle tactique. Elle nous fou la trouille, après on se décide à l'appeler et c'est une façon de lui avouer qui on est réellement. Moralité : on n'a pas confiance en elle. C'est terminé, on en reste là.

MAX : Qu'on lui fasse confiance ou pas on peut très bien prendre son avis, non. Alors on est des jeunes comme les autres. On ne prononce pas le mot « extraterrestre » et on n'en parle pas en public. Peut-être qu'on est surveillés. Quand à ça je crois qu'il faut le cacher ici. Je ne vois pas d'autre endroit où le garder.

(Max confie l'objet que Liz et lui ont trouvé dans le désert à Michael)

MARIA : Franchement, ça me paraît bizarre. Je croyais qu'elle ne devait plus revenir.

(Cafeteria du lycée)

(Isabel est en train de déjeuner quand Alex s'installe à côté d'elle. Ils observent Max et Liz qui s'embrassent un peu plus loin)

ALEX : Toi aussi. T'as dû les remarquer, hein ? Liz et Max, Michael et Maria.

ISABEL : Il faudrait être aveugle pour ne pas les voir, ils se collent sans arrêt.

ALEX : Ouais. Mais tu sais Isabel, je pense quand même que par le fait qu'ils se collent sans arrêt... Que ça peut être enrichissant de partager des trucs avec quelqu'un... Quelqu'un qui te comprends, qui veut apprendre à te connaître, partager des expériences avec toi un peu comme un ami...

(Tess arrive à la table d'Isabel et Alex)

TESS : J'peux m'installer avec vous ?

ALEX : On était en train de, de parler de trucs importants...

ISABEL : C'est toi la nouvelle ?

TESS : J'voudrais pas vous déranger.

ISABEL : Non, au contraire, viens t'asseoir. Vas-y.

TESS : Merci. (Elle s'installe) J'm'appelle Tess.

ISABEL : Isabel, et Alex.

TESS : Salut.

ALEX : Salut. Alors, sois la bienvenue à, à Roswell.

TESS : Je suis jamais tranquille quand j'arrive et que je suis nouvelle.

ISABEL : Ca t'est arrivé souvent ?

TESS : Oui, tous les deux ans ou presque. Chaque fois tout le monde est gentil.

ALEX : C'est quand même plus sympa, non ?

TESS : Oui, les garçons sont gentils parce qu'ils veulent me mettre le grappin dessus. Et les filles sont gentilles parce qu'elles veulent savoir si je vais pas mettre le grappin sur leur petit copain. Sûrement que tu connais ça, non ?

ISABEL : Oui, et puis celles qui sont avec toi pour connaître les types qui ont de la classe.

TESS : Ou les garçons qui disent te comprendre, qui veulent à tout pris être copain avec toi mais en fait tout ce qu'ils veulent c'est passer un quart d'heure avec toi dans la loge du gardien.

ISABEL : Nous ici c'est dans la remise.

TESS : Merci de me prévenir.

(Tess verse du sucre dans son dessert)

ISABEL : Ah, c'est marrant tu fais exactement comme moi.

TESS : Ah, oui. En fait j'comprends pas ceux qui prennent des sucrettes. Y a rien de plus délicieux que le sucre, le vrai. Tu trouves pas ?

ISABEL : Fais voir ton emploi du temps. On a peut-être cours ensemble.

TESS : Tiens, regarde j'ai anglais et après...

ISABEL : Tu as éducation physique. Moi aussi c'ests super.

(Chez les Evans)

(Max et Michael sont dans la cuisine en train de se servir à boire)

MICHAEL : Elle m'a sorti que c'était pas assez. Elle veut plus.

MAX : Quoi ? Tu veux dire...

MICHAEL : Ben non, réfléchi si c'était ça je serais pas en train de t'en parler. Non, elle veut qu'on soit plus romantique. Comme toi avec Liz.

MAX : Et c'est ce que tu veux ?

MICHAEL : J'ai envie qu'elle soit bien avec moi. Comment je fais ?

MAX : Tu crois qu'il y a un mode d'emploi ?

MICHAEL : Non, sérieusement ça commence vraiment à être tendu. Aujourd'hui au lieu de venir me retrouver à la remise elle est allée au club des langues étrangères. Alors qu'elle a horreur de ça.

MAX : Tu veux être romantique. Quand t'es avec elle, fais comme si elle était la seule fille dans la pièce.

MICHAEL : Le plus souvent y en a pas d'autres.

MAX : C'est déjà pas mal. Euh... Tu peux aussi l'emmener dans un petit resto. Et, et puis lui faire une surprise. Ca c'est un truc qu'elles adorent. Tu, tu lui laisses un mot ou une fleur dans son placard.

(Tess entre dans la cuisine. Les garçons sont surpris de son arrivée)

TESS : Toi tu connais les filles au moins. Ne te gène pas pour moi surtout. Tu peux continuer, c'est fascinant.

MAX : Qui es tu ?

ISABEL : C'est mon amie.

MICHAEL : Comment ça se fait qu'on l'ai jamais vue avant ?

ISABEL : Oh, ben mets la à la porte aussi pendant que tu y es.

TESS : Non, j'aurais dû d'abord commencer par me présenter. Je m'appelle Tess.

ISABEL : Mon frère Max et notre copain Michael.

TESS : Enchanté de vous connaître.

ISABEL : Vas dans ma chambre j'arrive tout de suite.

TESS : N'oublie pas de prendre le sucre.

ISABEL : Ouais, d'accord.

(Tess part)

ISABEL : Elle vient d'arriver et elle est perdue. Alors je m'occupe d'elle, c'est normal.

MICHAEL : Elle a pas l'air du tout perdue. Souviens toi de Topolsky quand elle a débarqué ici. Je me referai pas piéger.

ISABEL : C'est une fille qui a changé d'établissement.

MAX : C'est une étrangère Isabel.

ISABEL : Moi je ne vais pas tomber amoureuse d'elle et risquer de compromettre notre existence sur Terre. On doit se comporter normalement, c'est ça ? Alors vous deux c'est mal parti.

(Le Crashdown)

LIVREUR : J'ai une livraison pour une serveuse.

MARIA : Laquelle, De Luca ?

LIVREUR : Parker. Liz Parker.

MARIA : Donne. J'vous les prends.

LIVREUR : C'est vous Liz Parker?

MARIA : pourquoi j'ai pas la tête de quelqu'un qui reçoit des fleurs tous les jours?

LIVREUR : Sur votre badge y a Maria.

MARIA : Donnez-moi ça et allez vous en! Et pas de pourboire. Hé, princesse ton prince charmant t'a fait envoyer des fleurs.

LIZ : C'est pour moi? Maria.

MARIA : S'il te plait, j'voudrais tellement être à ta place.

LIZ : DANS UNE HEURE, AU SENOR CHOW. SEULE

Il est trop romantique. C'est le restaurant où il m'a emmenée quand on est sortis la première fois.

Plus ça va et plus c'est merveilleux avec lui.

MARIA : Et moi j'attends encore.

(Senor Show)

(Liz entre dans le restaurant)

CLIENT : Monsieur. L'addition s'il vous plait.

SERVEUR : Oh oui. Tout de suite.

LIZ : Bonsoir.

SERVEUSE : Oh, bonsoir. Combien?

LIZ : Deux personnes.

SERVEUSE : Très bien. S'il vous plait.

LIZ : Merci.

(Liz s'installe à une table. Topolsky arrive)

TOPOLSKY : N'attirez pas l'attention sur nous. Et écoutez c ce que je vais dire. Sinon nous sommes tous perdu.

LIZ : Pourquoi vous nous suivez? On n'a rien fait de mal.

TOPLOSKY : Ou vous jouez la comédie toute la soirée ou alors vous m'écoutez et peut-être aurons nous la vie sauve. Liz Parker, je savais que c'était vous que je devais aller trouver. Ils ne savent pas que je suis là. S'ils le savaient...

LIZ : Qui ça "Ils"?

TOPOLKY : Les personnes pour qui je travaille.

LIZ : Le FBI?

TOPOLSKY : C'est plus compliqué que ça. J'ai appris des choses, j'ai vu des choses que personne ne pourrait croire. Et même moi, il m'arrive de me demander si c'est vrai.

LIZ : Où étiez-vous, pendant tout ce temps?

TOPOLSKY : En enfer. Et je suis venue vous avertir. Il y a un chasseur, un chasseur d'extraterrestres. Il est puissant. Et bien placé au FBI. Même le président et le directeur ne savent presque rien de c'qu'il fait. Est-ce que vous comprenez ce que je dis? Il ne rend de compte à personne. Et rien ne l'empêchera d'avancer pour obtenir ce qu'il veut.

LIZ : Mais qu'est-ce qu'il veut?

TOPOLSKY : Max Evans. Et tous ceux qu'il estime être impliqué avec lui. Votre nom et ceux de vos amis sont sur cette liste. Il faut me croire j'vous en prie.

LIZ : Je veux bien vous croire.

TOPOLSKY : Je le savais, Liz. On ne peut pas être vue ensemble ? Vous comprenez ? Venez me demain soir, près du théâtre, à 8 h. J'en saurai plus.

(Le lycée)

(Liz rejoint Max dans le couloir)

MAX : Ca va ? Qu'est ce qu'il y ?

LIZ : Max, j'ai vu Topolsky, hier soir.

MAX : Comment ça ?

LIZ : Je croyais que c'était toi que j'allais voir.

MAX : Elle t'a piégée !

LIZ : Max, je t'en prie ne recommence pas avec ça. !

MAX : Tu n'te rends pas compte ou quoi ?

LIZ : Je pense qu'on devrait lui faire confiance.

MAX : Non! On ne doit faire confiance à personne. Tu ne dois plus lui parler.

LIZ : Max, ce n'est plus seulement vous trois qui êtes en danger. Maria, Alex et moi on est aussi sur la liste. Alors il me semble qu'on a notre mot à dire.

MAX : Quelle liste?

(Une carrière)

(Le groupe est réuni pour discuter de la situation)

ALEX : Elle portait une perruque?

LIZ : Je sais pas comment te dire Alex, elle avait peur. J'n'ai jamais vu quelqu'un avoir aussi peur.

ALEX : T'as qu'à me regarder.

MICHAEL : Pour moi c'est clair. Elle est arrivée à ce qu'elle voulait. Elle vous a embobiné tous les trois. Et elle n'a plus qu'à attendre que les trois qui restent soient livrés au FBI.

LIZ : Ce n'est plus trois d'un côté et trois de l'autre... Maintenant on est six, et c'est à six qu'on doit prendre les décisions.

ISABEL : On ne fait confiance à personne.

 Ca fait longtemps que c'est comme ça et ce n'est pas prêt de changer. Vous ne pouvez pas comprendre. Vous n'avez jamais été à notre place dans cette situation.

MAX : Isabel, pourquoi tu t'énerves ?

ISABEL : Parce que s'il y a un chasseur je sais que c'est nous qui allons être visés.

MICHAEL : Vous allez arrêter de vous prendre la tête avec cette histoire de chasseur. Vous êtes en train de parler dans le vide. Parce que ce truc c'est un coup monté.

MARIA : Moi j e pense qu'on devrait voter. Est-ce qu'on revoit Topolsky ou pas ?

ALEX : Ouais, je suis pour qu'on la revoie et qu'on écoute ce qu'elle a à dire.

ISABEL : On ne doit pas la revoir.

MAX : Je suis d'accord avec Isabel.

MICHAEL : Moi c'est vite vu.

LIZ : Mais s'il arrivait quelque chose à l'un de vous, je... Je pense qu'il faut aller lui parler. On a besoin de protection, Max.

MICHAEL : Et on dépendra d'elle. C'est  vrai que ça nous a déjà réussi.

MARIA : Je vote contre. Il  ne faut pas la revoir. J'veux dire. Si vous êtes tellement contre, c'est pas à nous d'aller voir mademoiselle Topolsky et de lui parler de vous.

MICHAEL : C'est réglé je crois.

(Alex et Isabel partent chacun de leur côté)

MICHAEL : T'as été de mon côté. J'te remercie.

MARIA : J'ai surtout envie qu'on en finisse avec ça.

(Dans une ruelle)

(Topolsky est seule et effrayée par le bruit fait par un vagabond. Elle se rend chez le Shérif)

(Chez les Valenti)

(Valenti rentre du travail. Il regarde son courrier quand il entend un bruit)

SHERIF : Vous êtes partie sans même me dire au revoir, Mlle Topolsky. Est-ce que ça va?

TOPOLSKY : Ça ne pourra plus jamais aller.

SHERIF : Vous voulez m'en parler?

TOPOLSKY : Si je suis là c'est parce qu'ils ne m'écoutent pas.

SHERIF : Qui?

TOPOLSKY : Max, Liz... aucun ne m'écoute.

SHERIF: Donc vous admettez que le FBI mène une enquête sur ces jeunes?

TOPOLSKY : C'est pire qu'une enquête.

SHERIF : Vous avez l'air stressée Kathleen. Allons prendre un verre quelque part...

TOPOLSKY : Non ! Non ! Ecoutez, il faut garder le secret sur c'que j'ai dit ou je n'pourrai jamais m'en sortir.

SHERIF: Vous parlez de quoi?

TOPOLSKY : Vous pensiez vraiment que vous pourriez tuer Hubble et qu'ils allaient rester indifférent ?

SHERIF : Que savez-vous sur Hubble?

TOPOLSKY : Un fou des OVNI et des extraterrestres.

TOPOLSKY : Il a découvert pour Max? C'était au festival, c'est ça ? C'est pour ça que vous l'avez tué. Et maintenant vous aussi vous protégez ces jeunes.

SHERIF : Ecoutez ça suffit je n'comprends rien à ce que vous racontez.

TOPOLSKY : Après ma mission au collège je suis repartie à Washington. C'est là que j'ai su qu'il y avait une Unité Spéciale. Des chasseurs d'extraterrestres.

SHERIF : Au FBI?

TOPOLSKY : J'ai été le premier agent à avoir établi un contact avec... un sujet comme ils disent. Pendant quatre semaines j'ai rédigé mon rapport avec l'agent en charge de l'Unité. Il s'appelle Pierce. Et après ce qu'il m'a fait je sais comment il traitera ses ennemis. C'est quand il a eu fini qu'il m'a dit que j'étais a eux pour la vie. Une fois qu'on connaît l'Unité, on ne peut plus en sortir.

SHERIF : C'est intéressant. Quel est le problème, alors ?

TOPOLSKY : Le problème c'est qu'ils tuent et personne ne les en empêche. Voilà le problème. Et ce n'est pas pour tuer des personnes que je fais ce métier.

SHERIF Si le FBI pense que Max Evans est un extraterrestre. Pourquoi ils ne viennent pas le prendre?

TOPOLSKY : Vous aussi vous le pensez. Mais ça suffit pas. Il faut des preuves. Et puis on ne sait pas ce qu'il ferait. Et ce n'est pas le seul surtout, vous savez.

SHERIF : J'ai du mal à le croire.

TOPOLSKY : Vous aussi Jim vous êtes sur la liste! Et vous n'êtes pas le premier qu'il a détruit à cause de ça. Moi si je fais ça c'est pour vous sauver la vie, mais si vous ne me croyez pas tant pis.

SHERIF : Attendez, attendez ! Oh, oh ! Attendez. C'est vous qu'on doit aider vous ne croyez pas ?

TOPOLSKY : Non, il est déjà trop tard. Il n'y a plus rien à faire. Et si vous ne me croyez pas, demandez ce qu'est devenu l'agent Stevens... ce qui lui est arrivé quand il a voulu s'en aller. Pierce en a fait un exemple, et il a fait en sorte qu'on s'en souvienne tous. Pierce l'a mis en pièce. Je vous en prie, dîtes leur de me croire. C'est le seul moyen.

(Topolsky part)

STANDARDISTE : Bureau Fédéral d'Investigation. Quel poste demandez vous ?

SHERIF : Je voudrais parler à l'agent Stevens, s'il vous plaît.

STANDARDISTE : Je regrette, mais monsieur Stevens ne travaille plus au FBI. Désirez vous que je vous passe quelqu'un d'autre?

SHERIF : Non. Non, merci.

Mme STEVENS : Allô?

SHERIF : Bonsoir, je suis vraiment désolé de vous appeler si tard. Mais je voudrais parler à John Stevens.

Mme STEVENS : Qui êtes-vous? Vous ne savez pas que mon mari est mort. Pourquoi ils ne vous l'ont pas dit ? A vous et aux autres ?

SHERIF : Pardon. Je suis désolé.

(Le Crashdown)

MARIA : La suite elle vient dans d'années-lumière?

MICHAEL : Faut bien que ça cuise non ?".

MARIA : J'ai passé la commande il y a 10 min.

MICHAEL : C'est fou c'que l'temps passe vite.

LIZ : Il me faut le Chili Rocket, Michael.

MICHAEL : Désolé, j'peux pas être partout. Tiens. T'as qu'à leur refiler des Anneaux de Saturne, en attendant. Ca va les calmer.

MARIA : C'est typique ça.

MICHAEL : Quoi?

MARIA : Ta réaction. Tu n'arrives pas à satisfaire la clientèle alors tu te rabats sur quelque chose de beaucoup mieux et comme ça t'es débarrassé.

MICHAEL : Tu veux bien m'expliquer ?

MARIA : C'est terminé je ne me contenterai plus des Anneaux de Saturne, Michael. Si tu veux de moi, il faut que tu me mérites. C'est comme ça que ça marche.

MICHAEL : Non Maria, les bons points c'est pas à toi de les donner.

LIZ : Hey ! Vous avez remarqué que les gens attendent pour manger pendant que vous discutez ?

MICHAEL : Où est ce que Max t'emmène ce soir?

LIZ : Nulle part. Ce soir on ne sort pas. On ne doit pas se faire remarquer.

MICHAEL : Et faire comme si on n'avait rien à cacher.

MARIA : Oui, et alors ?

MICHAEL : Alors ce soir on sort. Tous les quatre.

LIZ et MARIA : Quoi ?

MICHAEL : Ben oui, comme ça, si jamais quelqu'un nous surveille, il verra quatre jeunes qui font comme tout le monde. Un hot dog.

MARIA : Tu ne croyais pas Topolsky.

MICHAEL : Tu veux ce qu'ont Max et Liz, non?

MARIA : Oui, je pensais qu'on aurait notre histoire à nous.

MICHAEL : Un pas à la fois... Je déteste ce job.

(UFO Center)

HOMME : Deux nonnes travaillant à l'Hôpital Saint Mary de Roswell... terminaient leur garde vers minuit... Lorsqu'elles virent une grande explosion au nord-ouest...

SHERIF : Drôle de type. Je ne voulais pas vous faire peur.

MAX : Ce n'est pas le cas.

SHERIF : Vous devez voir pas mal d'étrangers par ici.

MAX : Chaque jour.

SHERIF : Alors vous devriez être prudents.

MAX : Dans quel sens?

SHERIF : Vous savez, les fous. Des gens qui vous sautent dessus, de nulle part... Et remplissent votre tête de théories sur des complots. Vous savez, comme Hubble.

MAX : Selon vous, c'est des foutaises?

SHERIF : Je dis qu'un type comme vous... devrait faire attention, c'est tout. Roswell attire toutes sortes de gens. Vous ne savez jamais qui sera votre ami ou votre ennemi. Tenez, moi par exemple. Je représente la loi. La plupart des jeunes verront en moi un ennemi. Les harcelant sans cesse, attendant qu'ils fassent un faux pas. Mais d'un autre côté, je suis là pour les protéger. Comme je vous ai protégé de Hubble, l'autre soir. Je suis peut-être le seul... à qui ils devraient faire confiance dans cette ville.

MAX : Ca va aller.

SHERIF : Ecoutez, si... on vous embête, vous ou l'un de vos amis... vous me le dites, d'accord? Ne vous inquiétez pas. Vous n'êtes qu'un jeune qui vaque à ses occupations.

MAX : J'ai beaucoup entendu ça.

SHERIF : C'est probablement un bon conseil.

MAX : Merci, shérif.

(Le Crashdown)

(Alex entre dans l'arrière salle alors que les filles se préparent pour leur soirée)

ALEX : Ouah, un peep-show!

MARIA et LIZ : Alex!

MARIA : C'est rien, rien que tu n'aies déjà vu en tout cas.

ALEX : Ah, oui, n'en soit pas si sûre. Dans ce sac, j'ai la distraction de ce soir. J'ai un paquet de Raisinets et Scream 2.

LIZ et MARIA : Pas aimé.

ALEX : Aussi ma 2ème cassette pour filles est Notting Hill.

LIZ : OK, Alex, tu peux te retourner, maintenant.

ALEX : Chez moi ou chez toi?

LIZ : Ni l'un ni l'autre.

MARIA : Nous allons chez le Mexicain avec Max et Michael.

ALEX : Je croyais qu'on devait se planquer, après ce qui s'est passé. Tout le monde est invité, sauf moi.

LIZ : Non, Isabel ne vient pas je crois.

ALEX : Remarque j'ai peut-être pas loué ma cassette pour rien.

MAX : C'est pour toi.

LIZ Oh, merci. Oh, du bain moussant.

MAX : C'est censé adoucir la peau.

LIZ : Merci.

MICHAEL : C'est pour toi.

MARIA : Un shampoing.

MICHAEL : Et un démêlant, deux en un.

MARIA : Quel gain de temps.

MAX : On devrait y aller.

ALEX : Alors tu es d'accord avec eux?

ISABEL : Arrête. Nous ne pouvons pas nous montrer faibles.

ALEX : Tu penses que je suis faible car je ne veux pas... qu'il t'arrive du mal? Je veux dire, à nous tous?

ISABEL : Tu veux réellement me protéger, n'est-ce pas?

ALEX : Je ferais n'importe quoi.

ISABEL : Personne ne m'avait encore jamais dit ça. A part Max et Michael, bien sûr, mais ce sont mes frères, alors...

ALEX : Isabel, je le pensais vraiment... quand je parlais d'avoir quelqu'un.

Tout devient plus facile, dès qu'on est deux.

ISABEL : J'ai toujours pensé que si je... me rapprochais de quelqu'un, cela me rendrait trop...

ALEX : Vulnérable?

ISABEL : Je ne suis pas sûre de pouvoir me le permettre en ce moment.

ALEX : Et si on y allait lentement? Un rancard vidéo? Notting Hill? Un bon film de filles.

TESS : Oui, mais il ne la méritait pas. Quel petit Anglais mollasson, non ? Salut, Al.

ALEX : Ce n'est pas "Al", mais "Alex".

TESS : J'ai vraiment pas faim, là. Si on allait chez toi, je m'occuperais de tes cheveux.

ALEX : Vous avez des plans?

TESS : Soirée entre filles.

ALEX : J'ai pas les bonnes hormones.

ISABEL : A plus tard, Alex.

ALEX : Ouais.

(Dans la rue)

(Il fait nuit. Alex rentre chez lui, seul. Une voiture arrive)

HOMME : Alex. Vous êtes Alex Whitman, n'est-ce pas ? C'est bon, Alex, Topolsky m'envoie. Elle sait que vous voulez la voir, écoutez ce qu'elle a à dire.

ALEX : Pourquoi n'est-elle pas venue ?

HOMME : Je vais vous mener à elle. Elle vous expliquera tout. Ne vous inquiétez pas, je suis de votre côté. Montez dans la voiture.

(La voiture du Shérif arrive)

SHERIF : Police de Roswell. Tout va bien ?

(La voiture part)

SHERIF : L'auto-stop n'est jamais une bonne idée. Allez, je te raccompagne. Sans poser de questions.

(Le senor Show)

(Max, Liz, Michael et Maria finissent de dîner)

LIZ : On s'est vraiment amusés.

MICHAEL : Ça n'a pas été aussi dégueulasse que ça.

MARIA : Soirée de rêve.

SERVEUSE : Et voici l'adition. Vous pouvez régler.

MICHAEL : Il va falloir que tu règles, je ne serai pas payé avant mardi.

(Maria quitte la table sans rien dire. Max donne un coup de pied sous la table à Michael)

MICHAEL : Tu sais quoi ? Tout ce truc des rencontres, ça craint.

(Michael rejoint Maria)

MICHAEL : Qu'est-ce que j'ai encore fait ?

MARIA : Michael, tu n'as aucunes manières. Et tu ne fais que parler de toi, sans égards... pour les autres autour de toi. Si tu prends un shampoing pour une fille, ne prends pas le générique.

MICHAEL : Comment suis-je censé savoir ta marque de shampoing ?

MARIA : Tu n'as pas compris ?

MICHAEL : J'aimerais savoir pourquoi, si je suis un ringard... tu tiens à traîner avec moi ?

(Appartement de Michael)

(Michael découvre que Topolsky est chez lui)

TOPOLSKY : Si je te donne une preuve, tu me croiras ?

MICHAEL : Sortez de chez moi.

TOPOLSKY : Je sais ce que c'est.

MICHAEL : C'est un presse-papiers !

TOPOLSKY : C'est un communicateur. Il y en a un autre. Avec les preuves des Unités Spéciales, et je l'ai pris. Ils ne marchent qu'ensemble. Si je te ramène l'autre... si je risque ma vie pour toi... je veux savoir si tu m'emmèneras quand ton peuple viendra te chercher.

MICHAEL : Vous êtes folle.

TOPOLSKY : Non, Michael, regarde ! Nous allons tous mourir ! Et d'une façon désagréable ! Nous n'avons plus qu'une solution. Je te verrai demain soir à Buckley Point... j'aurai l'autre communicateur. Si tu m'ignores encore, alors ce sera fini.

(La carrière)

MAX : Tu n'as pas vu son visage?

ALEX : Non.

LIZ : Et sa voix? Tu l'as reconnue?

ALEX : Si j'en savais plus, je te le dirais.

ISABEL : Laisse-le tranquille. Il en a assez vu.

MAX : Redis-moi ce que Valenti t'a dit.

ALEX : C'est pas ce qu'il a dit mais la façon. Et comment il en est arrivé là. Y a un truc, il est de notre côté.

MAX : Il n'y a que 5 personnes en qui j'ai confiance. Et elles sont ici. Nous ne pouvons nous ouvrir à personne. Ni Valenti, ni Topolsky, ni cette fille qui vient d'arriver. Même si c'est tentant.

ALEX : En attendant, le type dans la voiture il était bizarre et j'étais pas rassuré. Et ça, Topolsky l'avait dit.

LIZ : Nous ne savons pas ce qui est vrai dans son histoire.

MAX : C'est pour ça qu'on ne dit rien. D'accord?

(Michael et Maria restent seuls)

MARIA : Je suis désolée.

MICHAEL : Pourquoi?

MARIA : Pour ce truc du "parfait petit copain". Après ce qui est arrivé à Alex hier, ce n'est pas ça qui me préoccupe. Si c'est pour ça que tu te comportes bizarrement, arrête, c'est fini. Je veux dire, redeviens toi-même.

MICHAEL : Viens ici. S'il arrive quelque chose, je veux dire, à moi... je veux que tu saches...

MARIA : Je sais. Rien ne va t'arriver.

(Le Crashdown)

ISABEL : J'espère que ça ne te dérange pas. Je veux dire, de sortir un peu. Je ne voulais pas être toute seule.

ALEX : Moi non plus.

(Michael fouille dans le casier de Maria quand elle arrive)

MARIA : Qu'est-ce que tu fais à fouiller mon casier?

MICHAEL : J'ai besoin de ta voiture.

MARIA : Vraiment? Pourquoi?

MICHAEL : Je dois juste aller quelque part.

MARIA : Pas sans me le dire.

MICHAEL : Laisse-moi!

MARIA : Qu'est-ce que c'est?

MICHAEL : Rien.

MARIA : C'est cette chose, cette sphère... Qu'est-ce que tu fais avec la sphère? Tu étais censé la garder chez toi, en sécurité.

MICHAEL : Oui, et alors?

MARIA : Attends une minute. Tu vas rencontrer Topolsky, non? Après tout ce que tu leur as dit, tu vas y aller.

MICHAEL : Ne leur dis rien, OK? Il faut que je fasse un truc... et c'est plus sûr que je sois seul.

MARIA : Je viens.

MICHAEL : Non!

MARIA : Allo, shérif. On a volé ma voiture.

MICHAEL : Tu restes dans la voiture, la tête baissée.

MARIA : Où allons-nous?

MICHAEL : A Buckley Point!

MARIA : J'ai besoin d'une veste.

MICHAEL : Dépêche toi !

(Liz va voir si il y a quelqu'un en cuisine. Mais personne)

LIZ : Hé, vous deux! Qu'est-ce que vous fabriquez? Qu'est-ce que... Qu'est-ce qui se passe?

(Liz passe derrière et trouve le mot laissé par Maria) :

RDV AVEC TOPOLSKY A BUCKLEY POINT Vite

(Buckley Point)

(Maria et Michael pénètrent dans Buckley Point en voiture)

MARIA : Ce n'est pas une bonne idée.

MICHAEL : Tu l'as déjà dit.

MARIA : C'est toi qui pensais qu'elle nous tendrait un piège.

MICHAEL : Elle savait ce qu'était la sphère.

MARIA : Il y avait un symbole dessus. Elle a pu deviner.

MICHAEL : Non, c'est pour de vrai. On se rapproche de quelque chose.

MARIA : Oui, une mort atroce. J'ai vraiment peur, et j'en ai marre.

MICHAEL : Je t'ai dit, tu peux rester dans la voiture.

MARIA : Gare-toi. Laisse-moi sortir.

MICHAEL : Je ne peux te laisser au milieu de nulle part.

MARIA : Alors ramène-moi. Tu ne peux pas me forcer... me mettre en danger, pas si je ne veux pas y aller!

(Max, Liz, Alex et Isabel sont en route pour rejoindre Michael et Maria)

MAX : Il n'y a qu'une route ici.

LIZ : Ils ne peuvent avoir plus de 10 minutes d'avance. Accélère.

ALEX : Je ne comprends pas. Pourquoi ferait-il ça après notre accord?

ISABEL : Parce que c'est Michael.

MAX : Cette fois, ce n'est pas une excuse!

MARIA : Michael, C'est une erreur! Et si tu es bête au point de ne pas te protéger... je vais devoir m'en charger!

MICHAEL : Ce n'est pas à toi de décider!

MARIA : Il ne s'agit pas que de toi! Ce que tu fais m'affecte! C'est ça, une relation et, heureux ou non, nous en avons une! Alors déteste-moi, mais je vais te protéger, OK? Tu comptes trop pour moi!

MICHAEL : J'ai attendu ça toute ma vie.

MARIA : Moi aussi!

(Un véhicule arrive)

MICHAEL : Cours, allez! Cours! Sors de là! Allez!

MARIA : Non! Je ne vais pas te laisser!

(Max descend de la jeep)

MAX : Donne-le-moi.

MICHAEL : C'est un communicateur.

MAX : Nous t'avions fait confiance, et tu as foiré!

MICHAEL : Ça interagit avec un autre appareil, et je veux savoir ce que c'est! Personne ne se doute que nous l'avons!

(Max donne un coup de point à Michael)

MICHAEL : Tu m'as frappé? Tu m'as frappé!

(Michael a laissé tomber le communicateur. Le groupe essaye d'empêcher Michael de frapper Max)

TOUS : Non!

MAX : Quelqu'un devait bien t'enfoncer un peu de bon sens!

ISABEL : Non!

MICHAEL : Va au diable!

(Le Shérif et une autre voiture arrivent)

Dr MARGOLIN : Désolé, mais Mlle Topolsky ne viendra pas ce soir. Ou un autre soir.

MICHAEL : Elle ne mentait pas. Vous l'avez tuée, et maintenant vous allez nous tuer?

SHERIF : Non, Michael, ce n'est pas ça. Cet homme vient de Bethesda, Maryland. C'est le Dr Malcolm Margolin. Il est passé ce matin au bureau, m'a dit certaines choses sur Topolsky.

Dr MARGOLIN : Je traite Kathleen depuis dix semaines.

SHERIF : Le Dr Margolin est psychiatre. C'est un grand spécialiste.

Dr MARGOLIN : Elle faisait une dépression. Elle a des hallucinations paranoïaques. Elle a terriblement peur de choses qui n'existent pas. Elle élabore des scénarios complexes pour justifier ses craintes.

SHERIF : Le docteur m'informe que mlle Topolsky a été internée à Bethesda... jusqu'à récemment, quand elle s'est échappée.

Dr MARGOLIN : Nous avons repéré sa carte de crédit à Roswell... et lorsque je l'ai rattrapée, elle était hystérique. Elle parlait de vous rejoindre ici. Un truc concernant une sphère. Le shérif m'a dit que vous aviez eu des problèmes avec elle. Je ne voulais pas qu'il vous arrive quelque chose.

SHERIF : J'ai tout vérifié. Le docteur est bien qui il prétend... et mlle Topolsky a passé le mois dernier dans un hôpital psychiatrique. Je pense qu'on peut disqualifier tout ce qu'elle a pu nous dire.

Dr MARGOLIN : Je suis désolé pour le dérangement. Et ne vous inquiétez pas pour Kathleen. Elle devrait être rentrée à Bethesda, avec les meilleurs soins. Plus de sortie au milieu de nulle part. Tout peut arriver. Et je ne voudrais pas vous voir blessés à cause de nous.

SHERIF : Merci, docteur. Je suis sûr que nous allons tous mieux dormir. C'est fini, vous pouvez rentrer, maintenant.

(Le docteur et le Shérif partent)

MAX : Nous reviendrons le chercher.

(Le Shérif trouve le communicateur)

LIZ : Max!

MAX : Bon travail, Michael.

(Le docteur Margolin se dirige vers une zone abandonnée. On découvre que c'est en fait Nasedo car il se transforme en vagabond.

(Topolsky est seule dans la forêt avec le deuxième communicateur. Une voiture arrive)

TOPOLSKY : Michael, par ici!

HOMME:Beau travail, agent Topolsky. Vous m'avez mené à eux.

TOPOLSKY : Ils ne sont pas impliqués.

HOMME : Cela ne vous concerne plus.

TOPOLSKY : Non !

 

 

Fin de l'épisode.

 

(Episode starts out in the Crashdown's kitchen where Michael is cooking)

MICHAEL: Ladies, food doesn't taste better cold, all right? Push the special. I'm tired of flipping burgers.

(Max and Isabel enter the Crashdown)

LIZ: Would you?

(Maria nods)

LIZ: Thanks. Table 5.

MARIA: Is that so hard?

MICHAEL: What?

MARIA: Acting like a real couple, kissing, arms around each other's shoulders, actually excited to see one another.

MICHAEL: Overrated.

LIZ: Look, if we leave right now, we can make the 7:35. I won't even change.

ISABEL: Leave? We just got here.

MAX: We kind of planned on seeing a movie.

LIZ: Maria, would you mind?

MARIA: Go ahead.

LIZ: Thank you.

MARIA: Live the life I so desperately want.

MICHAEL: It's kind of immature, really.

MARIA: Really.

MICHAEL: Just a couple of horndogs looking for a place to make out. I mean, we don't need that. We got my apartment, you know?

ISABEL: I guess I'll just have the special.

MICHAEL/MARIA: Uhh...we're closing early.

(Max and Liz are kissing in Max's jeep in a secluded woodsy area)

LIZ: Do you mind missing the movie?

MAX: I heard it got bad reviews.

(Someone runs up to the jeep and starts banging on the window)

TOPOLSKY: You're in danger, all of you.

MAX: What are you talking about?

TOPOLSKY: The best way to protect yourselves is to just act like normal kids.

MAX: We are normal kids.

TOPOLSKY: Ok. I think I was followed. Don't trust anyone. I'll find you again.

LIZ: Topolsky.

(Opening Credits)

(Michael and Maria are making out on Michael's couch in his apartment)

MICHAEL: Maria. Maria.

MARIA: Michael. Oh, Michael. Max.

MICHAEL: What?

MARIA: Look.

MICHAEL: What the hell are you guys doing here?

LIZ: Topolsky.

ISABEL: She's back.

LIZ: She practically just attacked us in the car at Buckley Point.

MARIA: I thought you went to the movies.

LIZ: It had bad reviews.

MAX: She said we were in danger...all of us. And to just act normal until she contacts us again.

ALEX: Would that be, you know, alien normal, or just plain "we're the subjects of an FBI manhunt" normal?

MICHAEL: This sounds wrong, like some sort of trap.

LIZ: No, Michael. She was really scared. I believed her.

MICHAEL: Yeah. Let me remind you, Liz, that you believed her the first time, too.

ALEX: Hey, you want to know what? Where would you be if Liz and I didn't stick our necks out to expose her?

ISABEL: Ok. Just calm down, all right?

ALEX: Do you really think she's here to warn us?

LIZ: She wasn't the same person she was before. You know, and the way that she was talking, she seemed like she was just as scared for herself as she is for us.

ALEX: Then I say we listen.

MICHAEL: I say we don't! All right, it's just a new tactic. She scares us, makes us think we need help, and all we're really doing is admitting who we are. All right? I don't trust her, and none of us should.

MAX: Whether we trust her or not, it doesn't hurt to take her advice. We're normal teenage kids. No one says the word "alien" or talks about this in public. Anybody could be watching. And I think we should keep this here. It's the safest place we've got right now.

MARIA: I can't believe she's back. I thought this was all over with.

(At school, Alex and Isabel are sitting at a table during lunchtime)

ALEX: So, you've noticed them, too, huh? Liz and Max and Michael and Maria.

ISABEL: It's kind of hard not to with all the face-sucking going on.

ALEX: Yeah. But, um...listen, Isabel. I've been thinking. I mean, face-sucking aside, it'd be kind of nice to have someone...someone to hang out with, one on one. You know, someone who you understand, and you share common bonds with. I mean, like a friend, but...

TESS: Can I join you?

ALEX: Actually, we were in the m--the middle of something.

ISABEL: You're the new girl, right?

TESS: If you're busy, I could...

ISABEL: No. Have a seat. Join us. Sit down.

TESS: Thanks. I'm Tess.

ISABEL: Isabel. This is Alex.

TESS: Hi.

ALEX: Hi. So, welcome to Roswell.

TESS: I always hate the first day at a new school.

ISABEL: Done this before?

TESS: Only about a hundred times. Everyone's always so nice.

ALEX: Is that a bad thing?

TESS: Well, the guys are usually nice because they want to jump my bones. And the girls are usually nice because they want to find out if I want to jump their boyfriends' bones. You must get that a lot.

ISABEL: Yeah. How about the girls who hang out with you to meet a better class of guys?

TESS: Or the guys who say they understand you and really just want to be your friend, but all they really want is 15 minutes alone with you in the janitor's closet.

ISABEL: We have an eraser room.

TESS: Thanks for the warning.

ISABEL: Oh, my God. I do that, too.

TESS: Good. I can't stand people who use fake sugar. Nothing can ever be too sweet. Don't you think?

ISABEL: Let me see your schedule. I wonder if we have any classes together.

TESS: I don't know. I've got English.

ISABEL: Phys. Ed together.

(At the Evans home, Michael is asking Max for advice)

MICHAEL: So, now she says what we've got isn't good enough. She wants more.

MAX: You mean like...

MICHAEL: No. If that's what she wanted, would I be here talking to you? She wants the romance thing. The thing that you and Liz got.

MAX: Is that what you want?

MICHAEL: I just want to make her happy. And you're gonna tell me how to do it.

MAX: It's not like there's a handbook.

MICHAEL: I'm serious, Max. Things are getting frosty. She went to the French club meeting today instead of meeting me in the eraser room. The French club...what the hell is that?

MAX: All right...romantic. When you're with her, act like she's like the only girl in the room.

MICHAEL: She's usually the only other person in the room.

MAX: That's a good start. Um, try taking her out...someplace nice. And, uh, surprises...they love surprises. Like, you know, little things, like a note in her locker, or a flower in the middle of the day.

TESS: How do you know women so well? Don't let me stop you. This is fascinating.

MAX: Who are you?

ISABEL: She's my friend.

MICHAEL: How come we've never met her before?

ISABEL: God, Michael, could you be any more rude?

TESS: Actually, it's kind of refreshing. I'm Tess.

ISABEL: This is my brother Max and our friend Michael.

TESS: Nice to meet you.

ISABEL: Here you go. I'll meet you back in my room.

TESS: Don't forget the extra sugar.

ISABEL: Ok. What's wrong with you guys? She just moved here. I'm helping her catch up.

MICHAEL: She looked pretty caught up to me. Topolsky was a plant when she showed up at school. This girl could be, too.

ISABEL: She's a transfer student, Michael.

MAX: She's a stranger, Isabel.

ISABEL: Well, it's not like I'm going to fall in love with her and tell her our secret and compromise our very existence. I thought we were supposed to be acting normal, right? Heck of a job you two just did.

(A flower deliveryperson shows up at the Crashdown)

DELIVERY GUY: I've got a delivery for one of the waitresses.

MARIA: Really? De Luca?

DELIVERY GUY: Uh, Parker...Liz Parker.

MARIA: Oh. Just let me have 'em.

DELIVERY GUY: You're Liz Parker?

MARIA: What, I don't look like a girl who gets flowers everyday?

DELIVERY GUY: Your tag says Maria.

MARIA: Just give me the flowers. Go. No tip.

(Maria walks over to Liz)

MARIA: Hey, Gidget. You got some flowers from moondoggie.

LIZ: I did? Oh, my God. Wow.

(Maria looks over Liz's shoulder as Liz opens the note)

LIZ: Maria.

MARIA: Come on. Just let me see what I'm missing, please.

LIZ: He's so romantic. He wants me to meet him at the restaurant where we had our first date. He just keeps on getting more and more wonderful every day.

MARIA: Mr. Wonderful.

(Liz arrives at Senor Chow's)

LIZ: Hello?

HOSTESS: Oh, hello. How many?

LIZ: Uh, 2, please.

HOSTESS: Ok. Here you go.

LIZ: Thank you.

(Topolsky-in-disguise slides into the seat across from Liz)

TOPOLSKY: Don't draw attention to us. Just stay focused, Liz. It's the only way we're gonna make it through this.

LIZ: Why are you following us? We haven't done anything wrong.

TOPOLSKY: You can play that game all night, or you can listen to me and maybe save all of our lives. You're smart. I knew you were the one I could get through to. They don't know I'm here. If they did...

LIZ: Who's they?

TOPOLSKY: The people I work for.

LIZ: The FBI.

TOPOLSKY: It's more complicated than that. I've learned things, seen things...that no one would believe. Sometimes I don't even believe them myself.

LIZ: Where have you been all of this time?

TOPOLSKY: To hell. And I've come out to warn you. There's a hunter, an alien hunter. He's buried deep inside the FBI. Even the president and the director are on a need-to-know basis only. Do you understand what I am saying? He answers to no one. And he will stop at nothing to get what he's looking for.

LIZ: What is he looking for?

TOPOLSKY: Max Evans...and anyone he thinks is involved with him. All 6 of your names are on that list. You have to believe me.

LIZ: I believe you.

TOPOLSKY: I knew you would. We can't be seen together, do you understand? Meet me tomorrow night, behind the theater at 8:00. I'll know more by then.

(Liz sees Max the next day in a hallway at school)

MAX: Hey. What's wrong?

LIZ: Um, Max...I saw Topolsky last night.

MAX: You met her?

LIZ: No. I thought that I was meeting you.

MAX: She tricked you?

LIZ: Max, come on. Just stop it, all right?

MAX: Don't you see what she's doing?

LIZ: Look, Max...I really think we should just trust her.

MAX: No. No one is trying to help us. Just stay away from her.

LIZ: Max, it's not just about you guys anymore, ok? Maria, Alex, and I...we're on that list, too. I think that we should just all have a say in all of this.

MAX: What list?

(The whole gang meets at a quarry-like area to discuss Topolsky)

ALEX: So, she wore a wig, huh?

LIZ: Alex, I mean, she was so scared. I've never seen anyone that scared before.

ALEX: Taken a look at me lately?

MICHAEL: Don't you get it? This is exactly what she wants. She has spooked the 3 of you. And now she's waiting for you to deliver the 3 of us straight to the FBI.

LIZ: No, Michael. It's not 3 and 3 anymore. It's the 6 of us now. We need to start making our decisions that way.

ISABEL: There's no decision to be made. We trust no one. We never have, and we never will. God, if you think you can even begin to understand what it's like to be us in this...

MAX: I think we're all a little on edge right now, Isabel.

ISABEL: Max, if there's a hunter out there, who do you think he's coming for first?

MICHAEL: There is no hunter out there, ok? This is insane. Can't you people smell a set-up, or am I the only one thinking straight here?

MARIA: Why don't we put it to a vote? Do we meet Topolsky again or not?

ALEX: I say we meet, hear what she has to say.

ISABEL: I say we stay away.

MAX: I have to agree with Isabel.

MICHAEL: You know my vote.

LIZ: But if anything happens to any of you, I...I think that's why we need to meet her. I think we need protection, Max.

MICHAEL: Great. It's a tie. Hell of a lot of good that did us.

MARIA: No. I...I don't think we should go. I mean, if you guys feel that strongly about it, who are we to tell Topolsky anything about you?

MICHAEL: 4-2, we stay away.

(Alex walks off visibly frustrated, and everyone leaves except Maria and Michael)

MICHAEL: Thanks for seeing it my way.

MARIA: I just really want this to be over with.

(Topolsky waits behind the theatre but Liz doesn't show up)

(Sheriff Valenti enters his office late at night and notices someone is waiting for him in the darkness)

SHERIFF: You left without saying good-bye, Ms. Topolsky. You ok?

TOPOLSKY: I'll never be ok again.

SHERIFF: You here to tell me about it?

TOPOLSKY: I'm here because they won't listen to me.

SHERIFF: Who?

TOPOLSKY: Max, Liz...none of them.

SHERIFF: You're finally admitting the FBI's investigating these kids.

TOPOLSKY: It's much worse than that.

SHERIFF: You look like you could use a drink, Kathleen. What do you say we go somewhere?

TOPOLSKY: No! No. Look, everything stays a secret now, or I will never make it out of this.

SHERIFF: Make it out of what?

TOPOLSKY: Did you really think you could kill Everett Hubble and not send up a red flag?

SHERIFF: What do you know about Hubble?

TOPOLSKY: UFO nut...they all get tracked. He found out about Max, didn't he? At the convention. That's why you had to kill him. You're protecting those kids, too, now, aren't you?

SHERIFF: All right. Why don't you just tell me what the hell you're talking about?

TOPOLSKY: When my cover was blown, I was sent back to Washington. That's when I found out about the special unit. Alien hunters.

SHERIFF: In the FBI?

TOPOLSKY: I was the first agent to make direct contact with...with the subject. I spent 4 weeks being debriefed by the agent in charge. His name is Pierce. And after what he did to me, I'd hate to see how he'd treat the enemy. When it was over, that's when he told me I was theirs for life. Once you know about the unit, you don't get out.

SHERIFF: Sounds elite. So, what's the problem?

TOPOLSKY: The problem is they kill people, and there is no one to stop them. And that is not why I became an agent, Jim.

SHERIFF: So, the FBI thinks that Max Evans is an alien. Why don't they swoop in and pick him up?

TOPOLSKY: Why haven't you? No solid proof. Fear of what he might do. He's not the only one, you know.

SHERIFF: This is getting a little far-fetched, i think.

TOPOLSKY: Look, your name is on that list. And you're not the first person he's destroyed over this. Now, I am trying to save your lives here, but if you don't want my help...

SHERIFF: Wait, wait. Hold on. Whoa, whoa. Hold on. Maybe we can get you some help.

TOPOLSKY: I already told you...it is too late for that. And if you don't believe me, why don't you try asking your friend Agent Stevens what happened to him when he tried to get out? Pierce made an example out of him for the rest of us. Piece...by piece. Get them to trust me. It's the only way.

(Topolsky leaves and Valenti calls Agent Stevens)

OPERATOR: Federal Bureau of Investigation, how may I direct your call?

SHERIFF: Yeah. I need to speak to agent John Stevens, please.

OPERATOR: I'm sorry...but Agent Stevens no longer works for the Bureau. Would you care to try someone else?

SHERIFF: No. No. Thank you.

(Valenti calls up Agent Stevens' home number)

WOMAN: Hello?

SHERIFF: Yeah. Uh, listen, I'm sorry to call you so late, ma'am. I need to speak to John Stevens, though, please.

WOMAN: Who is this? Why don't you know? My husband's dead. Why don't they just tell everybody for God's sake?

SHERIFF: Ma'am, I'm sorry.

(At the Crashdown, Michael is behind on his cooking)

MARIA: How many light-years away is my Eclipse Burger?

MICHAEL: Depends how they feel about raw.

MARIA: I put that order in 10 minutes ago.

MICHAEL: Well, you can't rush an Eclipse.

LIZ: Hey, I need that Chili Rocket Dog, Michael.

MICHAEL: I got a lot on my mind. Here, give 'em an order of Saturn Rings while they're waitin'. That'll shut 'em up.

MARIA: Typical.

MICHAEL: What?

MARIA: Your reaction. You can't deliver to a customer what they want, so you substitute it with an inferior item just to get them off your back.

MICHAEL: What's that supposed to mean?

MARIA: It means, Michael, that I'm not gonna settle for the Saturn Rings anymore. If you want me, you have to earn me. That's how a relationship works.

MICHAEL: No, Maria, that's how Boy Scout merit badges work.

LIZ: Hey, have you guys noticed that there's a restaurant full of people waiting for actual food?

MICHAEL: What are you and Max doing tonight?

LIZ: Oh, we're just gonna stay at home. Try and keep a low profile.

MICHAEL: Act like we got nothing to hide, remember?

MARIA: What do you mean?

MICHAEL: We should go out tonight. The 4 of us.

MARIA/LIZ: What?!?

MICHAEL: That way, if someone is really watching us, we won't give 'em anything to be suspicious about. Hot dog.

MARIA: I thought you didn't believe Topolsky.

MICHAEL: You want what Max and Liz have, don't you?

MARIA: Well, yeah. Yeah. I just thought we'd try it on our own.

MICHAEL: One step at a time.

MICHAEL: I hate this job.

(Scene shifts to the UFO Center)

MAN: 2 nuns working at St. Mary's Hospital in Roswell were finishing their shift about midnight when they saw a bright explosion to the northwest.

SHERIFF: Odd-looking fella. Didn't mean to startle you.

MAX: You didn't.

SHERIFF: You must get a lot of strangers around here.

MAX: Everyday.

SHERIFF: You better be careful about that.

MAX: What do you mean, Sheriff?

SHERIFF: Oh, you know, the crazies. People coming up to you out of the blue, filling your head up with all sorts of conspiracy theories, that sort of thing. You know, like Hubble.

MAX: Are you saying I shouldn't believe that kind of stuff?

SHERIFF: No, I'm just saying that a guy like you needs to be careful, that's all. Roswell attracts all kinds. You never know who's gonna turn out to be your friend or your enemy. Now, you take me, for example. I'm the law. Now, most normal teenage boys might think of me as the enemy...always cracking down on them, waiting for them to make a mistake. On the other hand, I'm here to protect them. Just like I protected you from Hubble the other night. In fact, sometimes I might be the only person that they should trust in this town.

MAX: I'll be ok, Sheriff.

SHERIFF: Listen, if anybody bothers you or one of your friends, you let me know. All right? But you don't need to worry. You're just a kid going about your daily routine.

MAX: I've heard that a lot lately.

SHERIFF: Well, that's probably good advice, then.

MAX: Thank you, Sheriff.

(Alex walks into the employee area of the Crashdown looking for Liz and Maria)

ALEX: Oh, whoa! Peep shows!

MARIA: Ooh, Alex. Don't worry. It's nothing you haven't seen before.

ALEX: Ah, well, don't be too sure. So, um, in this bag I have tonight's entertainment. I got a box of raisinettes and Scream 2.

LIZ/MARIA: Hated it.

ALEX: Ok, well, that's why my chick flick back-up rental was Notting Hill.

LIZ: Ok, Alex, you can turn around now.

ALEX: So, my place or yours?

LIZ: Oh, um, neither.

MARIA: We're going for Mexican with Max and Michael.

ALEX: I thought we decided to stay low, you know, with everything that's been going on? Oh, great. Everyone's invited but me.

LIZ: No, I don't think Isabel's coming.

ALEX: Maybe I can talk some sense into her.

LIZ: Hi.

MAX: Hi. This is for you.

LIZ: Oh, thank you. It's bubble bath.

MAX: It's supposed to make your skin soft.

LIZ: Thanks.

MICHAEL: This is for you.

MARIA: Shampoo.

MICHAEL: Shampoo AND conditioner in one.

MARIA: It's a real timesaver.

MAX: We should get going.

LIZ: Ok.

(Michael awkwardly takes Maria hand and pulls her outside)

ALEX: So you agree with them?

ISABEL: Alex, you have to stop. We can't show weakness.

ALEX: What, you think I'm being weak because I don't want anything bad to happen to you? I mean, to us? To all of us?

ISABEL: You really do want to protect me, don't you?

ALEX: I'd do anything.

ISABEL: Nobody's ever said that to me before. I mean, except for Max and Michael, but they're my brothers, so...

ALEX: Isabel, I meant what I said...about having somebody. I mean...everything gets easier once you're not alone.

ISABEL: I've just always thought that if I, um, if I let someone in it would make me too...

ALEX: Vulnerable?

ISABEL: I'm just not sure that I can afford that right now.

ALEX: How about starting slow, huh? A video date? Notting Hill. It's a great chick flick.

TESS: Yeah, but he didn't deserve her. What a little English wimp, don't you think? Hi, Al.

ALEX: Uhh...it's not Al. It's Alex.

TESS: I am so un-hungry right now. Why don't we just go back to your place, and I'll start on your hair.

ALEX: You 2 have plans?

TESS: Girls' night.

ALEX: Guess I've got the wrong hormones for that.

ISABEL: See you later, Alex.

ALEX: Yeah.

(Alex leaves the Crashdown and starts walking home when a sinister looking car pulls up next to him)

PASSENGER: Alex? You're Alex Whitman, aren't you? It's ok, Alex. Topolsky sent me. She knows you'd want to see her...hear what she has to say.

ALEX: Why didn't she just come herself?

PASSENGER: I'll take you to her. She'll explain everything. Don't worry. I'm on your side. Get in the car.

SHERIFF: Anything wrong here?

(Sinister car drives off)

SHERIFF: Hitchhiking's never a good idea. Come on. I'll give you a ride home. No questions asked.

(Alex nods and gets into Sheriff Valenti's cruiser)

LIZ: So, this has been really fun.

MICHAEL: Yeah, it hasn't been as bad as I thought it would be.

MARIA: Every girl's dream.

WAITRESS: Here you go. You can pay me whenever you're ready.

MICHAEL: You're gonna have to get this one 'cause i don't get paid till Tuesday.

(Maria leaves the table and stops next to the window)

(Max kicks Michael under the table)

MICHAEL: You know, this whole dating thing really bites.

(Michael leaves the table and walks toward Maria)

MICHAEL: What did I do now?

MARIA: Michael, you have no table manners, and all you do is talk about yourself, and you have absolutely no regard for anyone else around you. I mean, if you get a girl shampoo, at least don't get her the generic kind, you know?

MICHAEL: How am I supposed to know what brand of shampoo you use?

MARIA: You just don't get it, do you?

MICHAEL: What i want to know is, if I'm such a loser, then why do you want to be with me?

(Michael returns to his apartment to find it ransacked. Topolsky is waiting in the shadows)

TOPOLSKY: If I give you proof, will you believe me then?

MICHAEL: Get out of my house.

TOPOLSKY: I know what this is.

MICHAEL: That's a paperweight.

TOPOLSKY: It's a communicator, and there's another one just like it. I took it from the special unit evidence vault back in Washington. Now, I know they only work when they're together, so if I bring you the other one, if I risk my life for you...I need to know that you will take me with you when your people come to get you.

MICHAEL: You're crazy.

TOPOLSKY: No, Michael, look. We are all going to die. And it's not going to be pleasant. We only have one chance. I will meet you tomorrow night at Buckley Point with the other communicator. If you ignore me this time, there won't be a next time.

(Everyone is gathered at the quarry-like area again to discuss what happened to Alex)

MICHAEL: You didn't see his face?

ALEX: No.

LIZ: What about his voice? Did you recognize it?

ALEX: If I knew anything more, don't you think I'd tell you?

ISABEL: Just leave him alone. He's been through enough.

MAX: Just tell me what Valenti said to you again.

ALEX: It's not what he said. It's how he said it. And how he knew to be there. It's like he's on our side or something.

MAX: There are 5 people in the world that I trust, and they're all standing right here. We can't let anyone else in. Not Valenti. Not Topolsky. Not even a new girl at school. No matter how tempting it is.

ALEX: It's real what she says. There was something about that guy in that car. It's like our lives are in danger.

LIZ: We don't know what part of her stories are true.

MAX: That's why we talk to no one. Agreed?

ALEX: Yeah.

(Everyone leaves except Michael and Maria)

MARIA: I'm sorry.

MICHAEL: Why?

MARIA: For that whole "being the perfect boyfriend" thing. After what happened to Alex last night, that's just, like, not what's important to me at all. So, if that's why you're acting strange, you can just stop. It's over. I mean...just go back to being your usual self.

MICHAEL: Come here. If anything happens, I mean, to me, I just want you to know that...

MARIA: I know. Nothing's gonna happen to you.

(Dinnertime at the Crashdown)

ISABEL: I hope you don't mind, I mean, just hanging out for awhile. I didn't want to be alone tonight.

ALEX: Me neither.

(In the back room of the Crashdown, Michael is looking for something in Maria's locker)

MARIA: Hey, what are you doing going through my locker?

MICHAEL: I need to borrow your car.

MARIA: Really? For what?

MICHAEL: Don't ask. I just gotta go somewhere, all right?

MARIA: Not without telling me.

MICHAEL: Give me that! Leave me alone!

MARIA: What is that?

MICHAEL: It's nothing.

MARIA: It's that thing...that orb.

MICHAEL: Shhh!

MARIA: What are you doing with the orb? Where are you going with it? You're supposed to keep it in your apartment for safety, remember?

MICHAEL: Yeah, so?

MARIA: Wait a minute. You're going to meet Topolsky, aren't you? After everything you said to the others...

MICHAEL: Yeah, well...just don't tell them, all right? I gotta do this thing, but it's safer if I do it alone.

MARIA: I'm going.

MICHAEL: No!

MARIA: Hello, Sheriff? Hi. My car's been stolen.

MICHAEL: You're staying in the car with your head down.

MARIA: Where are we going?

MICHAEL: We're going to Buckley Point.

MARIA: I need a jacket.

MICHAEL: Hurry up!

(Liz is looking for Maria and goes to search the back room)

LIZ: You guys? What are you guys doing back there? What's going on?

(Maria has left Liz a note: "Meeting Topolsky at Buckley Point. Hurry"

MARIA: I don't think this is such a good idea.

MICHAEL: You already mentioned that.

MARIA: Y-you're the one who...who thought that she was gonna trap us.

MICHAEL: She knew what the orb was.

MARIA: It had the symbol on it. She could've just been guessing.

MICHAEL: No, Maria...this is real. We're getting close to something.

MARIA: Yeah, our grisly deaths. Look, Michael, I'm really scared, ok, and I don't want to go through with this anymore.

MICHAEL: I told you, you can stay in the car.

MARIA: Pull over. Let me out.

MICHAEL: I can't leave you out in the middle of nowhere!

MARIA: Fine, then take me back! I'm not kidding. You can't make me go through with this. You can't put me in danger like this. Not if I don't want to go!

(Liz, Max, Isabel, and Alex are in Max's jeep hot on Michael's trail)

MAX: There's only one road up here.

LIZ: They can't be more than 10 minutes ahead of us, Max. Just go fast.

ALEX: Look, I don't get it. Why would he go and do this after we all agreed?

ISABEL: Because he's Michael.

MAX: That's no excuse this time!

MICHAEL: Hey!

MARIA: Michael, it's a mistake, and if you're too stupid not to protect yourself, I'm gonna have to do it for you!

MICHAEL: This is not your decision to make! This is mine.

MARIA: It's not just about you! What you do affects me. That's how relationships work, and whether you like it or not, we are in a relationship! OK, so go ahead and hate me, but I'm not gonna let you get hurt. I care about you too much.

MICHAEL: Maria, I have been waiting for this my whole life.

MARIA: So have I!

(Headlights appear suddenly)

MICHAEL: Run, go on! Run! Get out of here! Go!

MARIA: No, I am not gonna leave you!

(Max approaches Michael)

MAX: Give it to me.

MICHAEL: Topolsky says it's a communicator.

MAX: I said give it to me! We trusted you with it, and you blew it.

MICHAEL: It does something when it's with another one, and I gotta find out what it is!

MAX: No one can know we have that!

(Max punches Michael in the face)

MICHAEL: You hit me? You hit me!

MAX: Somebody had to knock some sense into you!

ISABEL: No.

MICHAEL: Damn you!

(More headlights appear. Sheriff Valenti and Dr. Margolin step out of their respective vehicles)

DOCTOR: I'm sorry, but Ms. Topolsky won't be meeting you tonight...or any other night.

MICHAEL: So she wasn't lying. You killed her, and now you're here to kill us?

SHERIFF: No, Michael. He's not. This man is from Bethesda, Maryland. His name is Dr. Malcolm Margolin. He stopped by my office this morning...explained a few things about Ms. Topolsky.

DOCTOR: I've been treating Kathleen for the last 6 weeks.

SHERIFF: Dr. Margolin is a psychiatric specialist.

DOCTOR: She had a breakdown. She's paranoid delusional. That means that she's desperately afraid of things that don't exist...to the point that she makes up elaborate scenarios to justify the fears that she has.

SHERIFF: Doctor tells me that Ms. Topolsky was in a facility in Bethesda until a few days ago when she just took off.

DOCTOR: We traced her credit card here to Roswell, and when I caught up with her she was hysterical...talking about meeting you around here...something about an orb. The Sheriff said he knew you, and that you'd had trouble with her in the past. I didn't want anything to happen to you out here.

SHERIFF: I checked it all out. The doctor is who he says he is, and Topolsky spent the last month in a mental hospital. I think it's safe to disregard anything she's been saying...to any of us.

DOCTOR: I'm sorry to have caused you this inconvenience. And don't worry about Kathleen. She should be back in Bethesda by now under the best care available. So please, no more late-night trips to the middle of nowhere. Anything could be out here, and I'd hate to see any harm come to you on our account.

SHERIFF: Thank you, Doctor. I'm sure we'll all sleep better. So it's over. You can go home now.

(Michael looks to the area where he dropped the orb)

MAX: We'll come back for it.

LIZ: Max.

(Sheriff Valenti notices something in the ground and picks up the orb)

MAX: Nice job, Michael.

(Nasedo, disguised as Doctor Margolin, drives to a secluded area and shapeshifts into a hiker)

(At another part of Buckley Point, Topolsky is waiting for Michael to show up with the other communicator in hand)

TOPOLSKY: Michael? Michael? Michael, over here! Michael.

PIERCE: Good work, Agent Topolsky. You led me right to them.

TOPOLSKY: They have nothing to do with it.

PIERCE: That's not your concern anymore, Agent Topolsky.

TOPOLSKY: No. No! No! No! No! No! No! No! Nooooo!

(Scene fades out with Topolsky pleading for help in the back seat of the car as it drives away)

Kikavu ?

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