117 Carte blanche
(Le Crashdown, le soir)
(Michael est dans la cuisine alors que Liz et Maria discutent dans la salle devant lui)
MICHAEL : Eh les filles c'est pas quand c'est froid que c'est meilleur. Et essayez de nous caser les spéciales ça nous changera.
(Max et Isabel arrivent)
LIZ : Tu peux y aller ?
(Maria comprend qu'elle n'a pas vraiment le choix)
LIZ : T'es sympa. Table 5.
(Maria, Michael et Isabel observent Liz et Max qui s'embrassent)
MARIA : C'est si dur que ça ?
MICHAEL : De quoi ?
MARIA : De faire comme un couple normal, se sourire, s'embrasser, se parler pour se dire des trucs gentils, être content quand on se voit.
MICHAEL : C'est trop à la fois.
LIZ : Si on part maintenant on sera à l'heure. J'n'irais même pas me changer.
ISABEL : Tu vas pas déjà t'en aller ?
MAX : On avait prévu d'aller au cinéma, alors...
LIZ : Ca te dérange pas Maria ?
MARIA : Mais non, vas y.
LIZ : Merci.
MARIA : Va vivre ces instants qu'il ne veut pas m'offrir.
MICHAEL : On dirait des gamins.
MARIA : Hein, tu trouves ?
MICHAEL : Ils arrêtent pas de chercher un petit coin pour se bégotter, les pauvres. On n'a pas besoin de ça nous, on a mon appartement, pas vrai ?
ISABEL : J'vais prendre un spécial.
MARIA ET MICHAEL : Désolés, c'est fermé.
(Buckley Point)
(Max et Liz s'embrassent dans la jeep)
Liz : Ca te dérange pas de rater le film ?
MAX : Il paraît qu'il est pas si bon que ça.
(Topolsky frappe à la vitre de la jeep)
TOPOLSKY : Vous êtes en danger ! Tous.
MAX : Mais de quoi vous parlez ?
TOPOLSKY : Le meilleur moyen de vous protéger c'est de faire comme si vous étiez comme les autres.
MAX : On est comme les autres.
TOPOLSKY : Je crois que j'ai été suivie. Ne faites confiance à personne. Je reviendrai vous voir.
LIZ : Topolsky.
(Générique)
(L'appartement de Michael)
(Michael et Maria s'embrassent sur le canapé)
MICHAEL : Maria. Maria.
MARIA : Michael. Michael. Max.
MICHAEL : Quoi ?
MARIA : Regarde.
(Max, Liz, Isabel et Alex sont dans l'appartement)
MICHAEL : Qu'est ce que vous faîtes là ?
MAX : Topolsky.
ISABEL : Elle est revenue.
LIZ : Elle nous a presque agressé dans la voiture à Buckley Point.
MARIA : Vous ne deviez pas aller au cinéma ?
LIZ : Si, mais les critiques étaient mauvaises.
MAX : Elle a dit qu'on était en danger. Tous. Et qu'on devait se comporter normalement en attendant qu'elle nous recontacte.
ALEX : Comme des extraterrestres normaux ou comme des humains qui se font courser par le FBI ou l'armée ?
MICHAEL : Non, ça sent le piège. Je le sens très mal.
LIZ : Non, je t'assure qu'elle avait l'air sincère et... et je pense que c'est vrai.
MICHAEL : J'te rappelle que c'est pas, c'est pas la première fois que tu la crois.
ALEX : Et moi j'te signale que si on avait pas démasqué Topolsky tu serais peut-être pas là. Alors arrête.
ISABEL : Ca va. Calme toi Alex.
ALEX : Tu crois qu'elle est venue nous prévenir alors ?
LIZ : C'qui est sûr c'est qu'elle n'avait plus l'air d'un agent du FBI. Sa façon de parler... Tout ça, j'ai eu l'impression qu'elle avait... qu'elle avait aussi peur pour elle que pour nous.
ALEX : J'suis comme Liz. J'la crois.
MICHAEL : Moi j'la crois pas. Elle essaie une nouvelle tactique. Elle nous fou la trouille, après on se décide à l'appeler et c'est une façon de lui avouer qui on est réellement. Moralité : on n'a pas confiance en elle. C'est terminé, on en reste là.
MAX : Qu'on lui fasse confiance ou pas on peut très bien prendre son avis, non. Alors on est des jeunes comme les autres. On ne prononce pas le mot « extraterrestre » et on n'en parle pas en public. Peut-être qu'on est surveillés. Quand à ça je crois qu'il faut le cacher ici. Je ne vois pas d'autre endroit où le garder.
(Max confie l'objet que Liz et lui ont trouvé dans le désert à Michael)
MARIA : Franchement, ça me paraît bizarre. Je croyais qu'elle ne devait plus revenir.
(Cafeteria du lycée)
(Isabel est en train de déjeuner quand Alex s'installe à côté d'elle. Ils observent Max et Liz qui s'embrassent un peu plus loin)
ALEX : Toi aussi. T'as dû les remarquer, hein ? Liz et Max, Michael et Maria.
ISABEL : Il faudrait être aveugle pour ne pas les voir, ils se collent sans arrêt.
ALEX : Ouais. Mais tu sais Isabel, je pense quand même que par le fait qu'ils se collent sans arrêt... Que ça peut être enrichissant de partager des trucs avec quelqu'un... Quelqu'un qui te comprends, qui veut apprendre à te connaître, partager des expériences avec toi un peu comme un ami...
(Tess arrive à la table d'Isabel et Alex)
TESS : J'peux m'installer avec vous ?
ALEX : On était en train de, de parler de trucs importants...
ISABEL : C'est toi la nouvelle ?
TESS : J'voudrais pas vous déranger.
ISABEL : Non, au contraire, viens t'asseoir. Vas-y.
TESS : Merci. (Elle s'installe) J'm'appelle Tess.
ISABEL : Isabel, et Alex.
TESS : Salut.
ALEX : Salut. Alors, sois la bienvenue à, à Roswell.
TESS : Je suis jamais tranquille quand j'arrive et que je suis nouvelle.
ISABEL : Ca t'est arrivé souvent ?
TESS : Oui, tous les deux ans ou presque. Chaque fois tout le monde est gentil.
ALEX : C'est quand même plus sympa, non ?
TESS : Oui, les garçons sont gentils parce qu'ils veulent me mettre le grappin dessus. Et les filles sont gentilles parce qu'elles veulent savoir si je vais pas mettre le grappin sur leur petit copain. Sûrement que tu connais ça, non ?
ISABEL : Oui, et puis celles qui sont avec toi pour connaître les types qui ont de la classe.
TESS : Ou les garçons qui disent te comprendre, qui veulent à tout pris être copain avec toi mais en fait tout ce qu'ils veulent c'est passer un quart d'heure avec toi dans la loge du gardien.
ISABEL : Nous ici c'est dans la remise.
TESS : Merci de me prévenir.
(Tess verse du sucre dans son dessert)
ISABEL : Ah, c'est marrant tu fais exactement comme moi.
TESS : Ah, oui. En fait j'comprends pas ceux qui prennent des sucrettes. Y a rien de plus délicieux que le sucre, le vrai. Tu trouves pas ?
ISABEL : Fais voir ton emploi du temps. On a peut-être cours ensemble.
TESS : Tiens, regarde j'ai anglais et après...
ISABEL : Tu as éducation physique. Moi aussi c'ests super.
(Chez les Evans)
(Max et Michael sont dans la cuisine en train de se servir à boire)
MICHAEL : Elle m'a sorti que c'était pas assez. Elle veut plus.
MAX : Quoi ? Tu veux dire...
MICHAEL : Ben non, réfléchi si c'était ça je serais pas en train de t'en parler. Non, elle veut qu'on soit plus romantique. Comme toi avec Liz.
MAX : Et c'est ce que tu veux ?
MICHAEL : J'ai envie qu'elle soit bien avec moi. Comment je fais ?
MAX : Tu crois qu'il y a un mode d'emploi ?
MICHAEL : Non, sérieusement ça commence vraiment à être tendu. Aujourd'hui au lieu de venir me retrouver à la remise elle est allée au club des langues étrangères. Alors qu'elle a horreur de ça.
MAX : Tu veux être romantique. Quand t'es avec elle, fais comme si elle était la seule fille dans la pièce.
MICHAEL : Le plus souvent y en a pas d'autres.
MAX : C'est déjà pas mal. Euh... Tu peux aussi l'emmener dans un petit resto. Et, et puis lui faire une surprise. Ca c'est un truc qu'elles adorent. Tu, tu lui laisses un mot ou une fleur dans son placard.
(Tess entre dans la cuisine. Les garçons sont surpris de son arrivée)
TESS : Toi tu connais les filles au moins. Ne te gène pas pour moi surtout. Tu peux continuer, c'est fascinant.
MAX : Qui es tu ?
ISABEL : C'est mon amie.
MICHAEL : Comment ça se fait qu'on l'ai jamais vue avant ?
ISABEL : Oh, ben mets la à la porte aussi pendant que tu y es.
TESS : Non, j'aurais dû d'abord commencer par me présenter. Je m'appelle Tess.
ISABEL : Mon frère Max et notre copain Michael.
TESS : Enchanté de vous connaître.
ISABEL : Vas dans ma chambre j'arrive tout de suite.
TESS : N'oublie pas de prendre le sucre.
ISABEL : Ouais, d'accord.
(Tess part)
ISABEL : Elle vient d'arriver et elle est perdue. Alors je m'occupe d'elle, c'est normal.
MICHAEL : Elle a pas l'air du tout perdue. Souviens toi de Topolsky quand elle a débarqué ici. Je me referai pas piéger.
ISABEL : C'est une fille qui a changé d'établissement.
MAX : C'est une étrangère Isabel.
ISABEL : Moi je ne vais pas tomber amoureuse d'elle et risquer de compromettre notre existence sur Terre. On doit se comporter normalement, c'est ça ? Alors vous deux c'est mal parti.
(Le Crashdown)
LIVREUR : J'ai une livraison pour une serveuse.
MARIA : Laquelle, De Luca ?
LIVREUR : Parker. Liz Parker.
MARIA : Donne. J'vous les prends.
LIVREUR : C'est vous Liz Parker?
MARIA : pourquoi j'ai pas la tête de quelqu'un qui reçoit des fleurs tous les jours?
LIVREUR : Sur votre badge y a Maria.
MARIA : Donnez-moi ça et allez vous en! Et pas de pourboire. Hé, princesse ton prince charmant t'a fait envoyer des fleurs.
LIZ : C'est pour moi? Maria.
MARIA : S'il te plait, j'voudrais tellement être à ta place.
LIZ : DANS UNE HEURE, AU SENOR CHOW. SEULE
Il est trop romantique. C'est le restaurant où il m'a emmenée quand on est sortis la première fois.
Plus ça va et plus c'est merveilleux avec lui.
MARIA : Et moi j'attends encore.
(Senor Show)
(Liz entre dans le restaurant)
CLIENT : Monsieur. L'addition s'il vous plait.
SERVEUR : Oh oui. Tout de suite.
LIZ : Bonsoir.
SERVEUSE : Oh, bonsoir. Combien?
LIZ : Deux personnes.
SERVEUSE : Très bien. S'il vous plait.
LIZ : Merci.
(Liz s'installe à une table. Topolsky arrive)
TOPOLSKY : N'attirez pas l'attention sur nous. Et écoutez c ce que je vais dire. Sinon nous sommes tous perdu.
LIZ : Pourquoi vous nous suivez? On n'a rien fait de mal.
TOPLOSKY : Ou vous jouez la comédie toute la soirée ou alors vous m'écoutez et peut-être aurons nous la vie sauve. Liz Parker, je savais que c'était vous que je devais aller trouver. Ils ne savent pas que je suis là. S'ils le savaient...
LIZ : Qui ça "Ils"?
TOPOLKY : Les personnes pour qui je travaille.
LIZ : Le FBI?
TOPOLSKY : C'est plus compliqué que ça. J'ai appris des choses, j'ai vu des choses que personne ne pourrait croire. Et même moi, il m'arrive de me demander si c'est vrai.
LIZ : Où étiez-vous, pendant tout ce temps?
TOPOLSKY : En enfer. Et je suis venue vous avertir. Il y a un chasseur, un chasseur d'extraterrestres. Il est puissant. Et bien placé au FBI. Même le président et le directeur ne savent presque rien de c'qu'il fait. Est-ce que vous comprenez ce que je dis? Il ne rend de compte à personne. Et rien ne l'empêchera d'avancer pour obtenir ce qu'il veut.
LIZ : Mais qu'est-ce qu'il veut?
TOPOLSKY : Max Evans. Et tous ceux qu'il estime être impliqué avec lui. Votre nom et ceux de vos amis sont sur cette liste. Il faut me croire j'vous en prie.
LIZ : Je veux bien vous croire.
TOPOLSKY : Je le savais, Liz. On ne peut pas être vue ensemble ? Vous comprenez ? Venez me demain soir, près du théâtre, à 8 h. J'en saurai plus.
(Le lycée)
(Liz rejoint Max dans le couloir)
MAX : Ca va ? Qu'est ce qu'il y ?
LIZ : Max, j'ai vu Topolsky, hier soir.
MAX : Comment ça ?
LIZ : Je croyais que c'était toi que j'allais voir.
MAX : Elle t'a piégée !
LIZ : Max, je t'en prie ne recommence pas avec ça. !
MAX : Tu n'te rends pas compte ou quoi ?
LIZ : Je pense qu'on devrait lui faire confiance.
MAX : Non! On ne doit faire confiance à personne. Tu ne dois plus lui parler.
LIZ : Max, ce n'est plus seulement vous trois qui êtes en danger. Maria, Alex et moi on est aussi sur la liste. Alors il me semble qu'on a notre mot à dire.
MAX : Quelle liste?
(Une carrière)
(Le groupe est réuni pour discuter de la situation)
ALEX : Elle portait une perruque?
LIZ : Je sais pas comment te dire Alex, elle avait peur. J'n'ai jamais vu quelqu'un avoir aussi peur.
ALEX : T'as qu'à me regarder.
MICHAEL : Pour moi c'est clair. Elle est arrivée à ce qu'elle voulait. Elle vous a embobiné tous les trois. Et elle n'a plus qu'à attendre que les trois qui restent soient livrés au FBI.
LIZ : Ce n'est plus trois d'un côté et trois de l'autre... Maintenant on est six, et c'est à six qu'on doit prendre les décisions.
ISABEL : On ne fait confiance à personne.
Ca fait longtemps que c'est comme ça et ce n'est pas prêt de changer. Vous ne pouvez pas comprendre. Vous n'avez jamais été à notre place dans cette situation.
MAX : Isabel, pourquoi tu t'énerves ?
ISABEL : Parce que s'il y a un chasseur je sais que c'est nous qui allons être visés.
MICHAEL : Vous allez arrêter de vous prendre la tête avec cette histoire de chasseur. Vous êtes en train de parler dans le vide. Parce que ce truc c'est un coup monté.
MARIA : Moi j e pense qu'on devrait voter. Est-ce qu'on revoit Topolsky ou pas ?
ALEX : Ouais, je suis pour qu'on la revoie et qu'on écoute ce qu'elle a à dire.
ISABEL : On ne doit pas la revoir.
MAX : Je suis d'accord avec Isabel.
MICHAEL : Moi c'est vite vu.
LIZ : Mais s'il arrivait quelque chose à l'un de vous, je... Je pense qu'il faut aller lui parler. On a besoin de protection, Max.
MICHAEL : Et on dépendra d'elle. C'est vrai que ça nous a déjà réussi.
MARIA : Je vote contre. Il ne faut pas la revoir. J'veux dire. Si vous êtes tellement contre, c'est pas à nous d'aller voir mademoiselle Topolsky et de lui parler de vous.
MICHAEL : C'est réglé je crois.
(Alex et Isabel partent chacun de leur côté)
MICHAEL : T'as été de mon côté. J'te remercie.
MARIA : J'ai surtout envie qu'on en finisse avec ça.
(Dans une ruelle)
(Topolsky est seule et effrayée par le bruit fait par un vagabond. Elle se rend chez le Shérif)
(Chez les Valenti)
(Valenti rentre du travail. Il regarde son courrier quand il entend un bruit)
SHERIF : Vous êtes partie sans même me dire au revoir, Mlle Topolsky. Est-ce que ça va?
TOPOLSKY : Ça ne pourra plus jamais aller.
SHERIF : Vous voulez m'en parler?
TOPOLSKY : Si je suis là c'est parce qu'ils ne m'écoutent pas.
SHERIF : Qui?
TOPOLSKY : Max, Liz... aucun ne m'écoute.
SHERIF: Donc vous admettez que le FBI mène une enquête sur ces jeunes?
TOPOLSKY : C'est pire qu'une enquête.
SHERIF : Vous avez l'air stressée Kathleen. Allons prendre un verre quelque part...
TOPOLSKY : Non ! Non ! Ecoutez, il faut garder le secret sur c'que j'ai dit ou je n'pourrai jamais m'en sortir.
SHERIF: Vous parlez de quoi?
TOPOLSKY : Vous pensiez vraiment que vous pourriez tuer Hubble et qu'ils allaient rester indifférent ?
SHERIF : Que savez-vous sur Hubble?
TOPOLSKY : Un fou des OVNI et des extraterrestres.
TOPOLSKY : Il a découvert pour Max? C'était au festival, c'est ça ? C'est pour ça que vous l'avez tué. Et maintenant vous aussi vous protégez ces jeunes.
SHERIF : Ecoutez ça suffit je n'comprends rien à ce que vous racontez.
TOPOLSKY : Après ma mission au collège je suis repartie à Washington. C'est là que j'ai su qu'il y avait une Unité Spéciale. Des chasseurs d'extraterrestres.
SHERIF : Au FBI?
TOPOLSKY : J'ai été le premier agent à avoir établi un contact avec... un sujet comme ils disent. Pendant quatre semaines j'ai rédigé mon rapport avec l'agent en charge de l'Unité. Il s'appelle Pierce. Et après ce qu'il m'a fait je sais comment il traitera ses ennemis. C'est quand il a eu fini qu'il m'a dit que j'étais a eux pour la vie. Une fois qu'on connaît l'Unité, on ne peut plus en sortir.
SHERIF : C'est intéressant. Quel est le problème, alors ?
TOPOLSKY : Le problème c'est qu'ils tuent et personne ne les en empêche. Voilà le problème. Et ce n'est pas pour tuer des personnes que je fais ce métier.
SHERIF Si le FBI pense que Max Evans est un extraterrestre. Pourquoi ils ne viennent pas le prendre?
TOPOLSKY : Vous aussi vous le pensez. Mais ça suffit pas. Il faut des preuves. Et puis on ne sait pas ce qu'il ferait. Et ce n'est pas le seul surtout, vous savez.
SHERIF : J'ai du mal à le croire.
TOPOLSKY : Vous aussi Jim vous êtes sur la liste! Et vous n'êtes pas le premier qu'il a détruit à cause de ça. Moi si je fais ça c'est pour vous sauver la vie, mais si vous ne me croyez pas tant pis.
SHERIF : Attendez, attendez ! Oh, oh ! Attendez. C'est vous qu'on doit aider vous ne croyez pas ?
TOPOLSKY : Non, il est déjà trop tard. Il n'y a plus rien à faire. Et si vous ne me croyez pas, demandez ce qu'est devenu l'agent Stevens... ce qui lui est arrivé quand il a voulu s'en aller. Pierce en a fait un exemple, et il a fait en sorte qu'on s'en souvienne tous. Pierce l'a mis en pièce. Je vous en prie, dîtes leur de me croire. C'est le seul moyen.
(Topolsky part)
STANDARDISTE : Bureau Fédéral d'Investigation. Quel poste demandez vous ?
SHERIF : Je voudrais parler à l'agent Stevens, s'il vous plaît.
STANDARDISTE : Je regrette, mais monsieur Stevens ne travaille plus au FBI. Désirez vous que je vous passe quelqu'un d'autre?
SHERIF : Non. Non, merci.
Mme STEVENS : Allô?
SHERIF : Bonsoir, je suis vraiment désolé de vous appeler si tard. Mais je voudrais parler à John Stevens.
Mme STEVENS : Qui êtes-vous? Vous ne savez pas que mon mari est mort. Pourquoi ils ne vous l'ont pas dit ? A vous et aux autres ?
SHERIF : Pardon. Je suis désolé.
(Le Crashdown)
MARIA : La suite elle vient dans d'années-lumière?
MICHAEL : Faut bien que ça cuise non ?".
MARIA : J'ai passé la commande il y a 10 min.
MICHAEL : C'est fou c'que l'temps passe vite.
LIZ : Il me faut le Chili Rocket, Michael.
MICHAEL : Désolé, j'peux pas être partout. Tiens. T'as qu'à leur refiler des Anneaux de Saturne, en attendant. Ca va les calmer.
MARIA : C'est typique ça.
MICHAEL : Quoi?
MARIA : Ta réaction. Tu n'arrives pas à satisfaire la clientèle alors tu te rabats sur quelque chose de beaucoup mieux et comme ça t'es débarrassé.
MICHAEL : Tu veux bien m'expliquer ?
MARIA : C'est terminé je ne me contenterai plus des Anneaux de Saturne, Michael. Si tu veux de moi, il faut que tu me mérites. C'est comme ça que ça marche.
MICHAEL : Non Maria, les bons points c'est pas à toi de les donner.
LIZ : Hey ! Vous avez remarqué que les gens attendent pour manger pendant que vous discutez ?
MICHAEL : Où est ce que Max t'emmène ce soir?
LIZ : Nulle part. Ce soir on ne sort pas. On ne doit pas se faire remarquer.
MICHAEL : Et faire comme si on n'avait rien à cacher.
MARIA : Oui, et alors ?
MICHAEL : Alors ce soir on sort. Tous les quatre.
LIZ et MARIA : Quoi ?
MICHAEL : Ben oui, comme ça, si jamais quelqu'un nous surveille, il verra quatre jeunes qui font comme tout le monde. Un hot dog.
MARIA : Tu ne croyais pas Topolsky.
MICHAEL : Tu veux ce qu'ont Max et Liz, non?
MARIA : Oui, je pensais qu'on aurait notre histoire à nous.
MICHAEL : Un pas à la fois... Je déteste ce job.
(UFO Center)
HOMME : Deux nonnes travaillant à l'Hôpital Saint Mary de Roswell... terminaient leur garde vers minuit... Lorsqu'elles virent une grande explosion au nord-ouest...
SHERIF : Drôle de type. Je ne voulais pas vous faire peur.
MAX : Ce n'est pas le cas.
SHERIF : Vous devez voir pas mal d'étrangers par ici.
MAX : Chaque jour.
SHERIF : Alors vous devriez être prudents.
MAX : Dans quel sens?
SHERIF : Vous savez, les fous. Des gens qui vous sautent dessus, de nulle part... Et remplissent votre tête de théories sur des complots. Vous savez, comme Hubble.
MAX : Selon vous, c'est des foutaises?
SHERIF : Je dis qu'un type comme vous... devrait faire attention, c'est tout. Roswell attire toutes sortes de gens. Vous ne savez jamais qui sera votre ami ou votre ennemi. Tenez, moi par exemple. Je représente la loi. La plupart des jeunes verront en moi un ennemi. Les harcelant sans cesse, attendant qu'ils fassent un faux pas. Mais d'un autre côté, je suis là pour les protéger. Comme je vous ai protégé de Hubble, l'autre soir. Je suis peut-être le seul... à qui ils devraient faire confiance dans cette ville.
MAX : Ca va aller.
SHERIF : Ecoutez, si... on vous embête, vous ou l'un de vos amis... vous me le dites, d'accord? Ne vous inquiétez pas. Vous n'êtes qu'un jeune qui vaque à ses occupations.
MAX : J'ai beaucoup entendu ça.
SHERIF : C'est probablement un bon conseil.
MAX : Merci, shérif.
(Le Crashdown)
(Alex entre dans l'arrière salle alors que les filles se préparent pour leur soirée)
ALEX : Ouah, un peep-show!
MARIA et LIZ : Alex!
MARIA : C'est rien, rien que tu n'aies déjà vu en tout cas.
ALEX : Ah, oui, n'en soit pas si sûre. Dans ce sac, j'ai la distraction de ce soir. J'ai un paquet de Raisinets et Scream 2.
LIZ et MARIA : Pas aimé.
ALEX : Aussi ma 2ème cassette pour filles est Notting Hill.
LIZ : OK, Alex, tu peux te retourner, maintenant.
ALEX : Chez moi ou chez toi?
LIZ : Ni l'un ni l'autre.
MARIA : Nous allons chez le Mexicain avec Max et Michael.
ALEX : Je croyais qu'on devait se planquer, après ce qui s'est passé. Tout le monde est invité, sauf moi.
LIZ : Non, Isabel ne vient pas je crois.
ALEX : Remarque j'ai peut-être pas loué ma cassette pour rien.
MAX : C'est pour toi.
LIZ Oh, merci. Oh, du bain moussant.
MAX : C'est censé adoucir la peau.
LIZ : Merci.
MICHAEL : C'est pour toi.
MARIA : Un shampoing.
MICHAEL : Et un démêlant, deux en un.
MARIA : Quel gain de temps.
MAX : On devrait y aller.
ALEX : Alors tu es d'accord avec eux?
ISABEL : Arrête. Nous ne pouvons pas nous montrer faibles.
ALEX : Tu penses que je suis faible car je ne veux pas... qu'il t'arrive du mal? Je veux dire, à nous tous?
ISABEL : Tu veux réellement me protéger, n'est-ce pas?
ALEX : Je ferais n'importe quoi.
ISABEL : Personne ne m'avait encore jamais dit ça. A part Max et Michael, bien sûr, mais ce sont mes frères, alors...
ALEX : Isabel, je le pensais vraiment... quand je parlais d'avoir quelqu'un.
Tout devient plus facile, dès qu'on est deux.
ISABEL : J'ai toujours pensé que si je... me rapprochais de quelqu'un, cela me rendrait trop...
ALEX : Vulnérable?
ISABEL : Je ne suis pas sûre de pouvoir me le permettre en ce moment.
ALEX : Et si on y allait lentement? Un rancard vidéo? Notting Hill? Un bon film de filles.
TESS : Oui, mais il ne la méritait pas. Quel petit Anglais mollasson, non ? Salut, Al.
ALEX : Ce n'est pas "Al", mais "Alex".
TESS : J'ai vraiment pas faim, là. Si on allait chez toi, je m'occuperais de tes cheveux.
ALEX : Vous avez des plans?
TESS : Soirée entre filles.
ALEX : J'ai pas les bonnes hormones.
ISABEL : A plus tard, Alex.
ALEX : Ouais.
(Dans la rue)
(Il fait nuit. Alex rentre chez lui, seul. Une voiture arrive)
HOMME : Alex. Vous êtes Alex Whitman, n'est-ce pas ? C'est bon, Alex, Topolsky m'envoie. Elle sait que vous voulez la voir, écoutez ce qu'elle a à dire.
ALEX : Pourquoi n'est-elle pas venue ?
HOMME : Je vais vous mener à elle. Elle vous expliquera tout. Ne vous inquiétez pas, je suis de votre côté. Montez dans la voiture.
(La voiture du Shérif arrive)
SHERIF : Police de Roswell. Tout va bien ?
(La voiture part)
SHERIF : L'auto-stop n'est jamais une bonne idée. Allez, je te raccompagne. Sans poser de questions.
(Le senor Show)
(Max, Liz, Michael et Maria finissent de dîner)
LIZ : On s'est vraiment amusés.
MICHAEL : Ça n'a pas été aussi dégueulasse que ça.
MARIA : Soirée de rêve.
SERVEUSE : Et voici l'adition. Vous pouvez régler.
MICHAEL : Il va falloir que tu règles, je ne serai pas payé avant mardi.
(Maria quitte la table sans rien dire. Max donne un coup de pied sous la table à Michael)
MICHAEL : Tu sais quoi ? Tout ce truc des rencontres, ça craint.
(Michael rejoint Maria)
MICHAEL : Qu'est-ce que j'ai encore fait ?
MARIA : Michael, tu n'as aucunes manières. Et tu ne fais que parler de toi, sans égards... pour les autres autour de toi. Si tu prends un shampoing pour une fille, ne prends pas le générique.
MICHAEL : Comment suis-je censé savoir ta marque de shampoing ?
MARIA : Tu n'as pas compris ?
MICHAEL : J'aimerais savoir pourquoi, si je suis un ringard... tu tiens à traîner avec moi ?
(Appartement de Michael)
(Michael découvre que Topolsky est chez lui)
TOPOLSKY : Si je te donne une preuve, tu me croiras ?
MICHAEL : Sortez de chez moi.
TOPOLSKY : Je sais ce que c'est.
MICHAEL : C'est un presse-papiers !
TOPOLSKY : C'est un communicateur. Il y en a un autre. Avec les preuves des Unités Spéciales, et je l'ai pris. Ils ne marchent qu'ensemble. Si je te ramène l'autre... si je risque ma vie pour toi... je veux savoir si tu m'emmèneras quand ton peuple viendra te chercher.
MICHAEL : Vous êtes folle.
TOPOLSKY : Non, Michael, regarde ! Nous allons tous mourir ! Et d'une façon désagréable ! Nous n'avons plus qu'une solution. Je te verrai demain soir à Buckley Point... j'aurai l'autre communicateur. Si tu m'ignores encore, alors ce sera fini.
(La carrière)
MAX : Tu n'as pas vu son visage?
ALEX : Non.
LIZ : Et sa voix? Tu l'as reconnue?
ALEX : Si j'en savais plus, je te le dirais.
ISABEL : Laisse-le tranquille. Il en a assez vu.
MAX : Redis-moi ce que Valenti t'a dit.
ALEX : C'est pas ce qu'il a dit mais la façon. Et comment il en est arrivé là. Y a un truc, il est de notre côté.
MAX : Il n'y a que 5 personnes en qui j'ai confiance. Et elles sont ici. Nous ne pouvons nous ouvrir à personne. Ni Valenti, ni Topolsky, ni cette fille qui vient d'arriver. Même si c'est tentant.
ALEX : En attendant, le type dans la voiture il était bizarre et j'étais pas rassuré. Et ça, Topolsky l'avait dit.
LIZ : Nous ne savons pas ce qui est vrai dans son histoire.
MAX : C'est pour ça qu'on ne dit rien. D'accord?
(Michael et Maria restent seuls)
MARIA : Je suis désolée.
MICHAEL : Pourquoi?
MARIA : Pour ce truc du "parfait petit copain". Après ce qui est arrivé à Alex hier, ce n'est pas ça qui me préoccupe. Si c'est pour ça que tu te comportes bizarrement, arrête, c'est fini. Je veux dire, redeviens toi-même.
MICHAEL : Viens ici. S'il arrive quelque chose, je veux dire, à moi... je veux que tu saches...
MARIA : Je sais. Rien ne va t'arriver.
(Le Crashdown)
ISABEL : J'espère que ça ne te dérange pas. Je veux dire, de sortir un peu. Je ne voulais pas être toute seule.
ALEX : Moi non plus.
(Michael fouille dans le casier de Maria quand elle arrive)
MARIA : Qu'est-ce que tu fais à fouiller mon casier?
MICHAEL : J'ai besoin de ta voiture.
MARIA : Vraiment? Pourquoi?
MICHAEL : Je dois juste aller quelque part.
MARIA : Pas sans me le dire.
MICHAEL : Laisse-moi!
MARIA : Qu'est-ce que c'est?
MICHAEL : Rien.
MARIA : C'est cette chose, cette sphère... Qu'est-ce que tu fais avec la sphère? Tu étais censé la garder chez toi, en sécurité.
MICHAEL : Oui, et alors?
MARIA : Attends une minute. Tu vas rencontrer Topolsky, non? Après tout ce que tu leur as dit, tu vas y aller.
MICHAEL : Ne leur dis rien, OK? Il faut que je fasse un truc... et c'est plus sûr que je sois seul.
MARIA : Je viens.
MICHAEL : Non!
MARIA : Allo, shérif. On a volé ma voiture.
MICHAEL : Tu restes dans la voiture, la tête baissée.
MARIA : Où allons-nous?
MICHAEL : A Buckley Point!
MARIA : J'ai besoin d'une veste.
MICHAEL : Dépêche toi !
(Liz va voir si il y a quelqu'un en cuisine. Mais personne)
LIZ : Hé, vous deux! Qu'est-ce que vous fabriquez? Qu'est-ce que... Qu'est-ce qui se passe?
(Liz passe derrière et trouve le mot laissé par Maria) :
RDV AVEC TOPOLSKY A BUCKLEY POINT Vite
(Buckley Point)
(Maria et Michael pénètrent dans Buckley Point en voiture)
MARIA : Ce n'est pas une bonne idée.
MICHAEL : Tu l'as déjà dit.
MARIA : C'est toi qui pensais qu'elle nous tendrait un piège.
MICHAEL : Elle savait ce qu'était la sphère.
MARIA : Il y avait un symbole dessus. Elle a pu deviner.
MICHAEL : Non, c'est pour de vrai. On se rapproche de quelque chose.
MARIA : Oui, une mort atroce. J'ai vraiment peur, et j'en ai marre.
MICHAEL : Je t'ai dit, tu peux rester dans la voiture.
MARIA : Gare-toi. Laisse-moi sortir.
MICHAEL : Je ne peux te laisser au milieu de nulle part.
MARIA : Alors ramène-moi. Tu ne peux pas me forcer... me mettre en danger, pas si je ne veux pas y aller!
(Max, Liz, Alex et Isabel sont en route pour rejoindre Michael et Maria)
MAX : Il n'y a qu'une route ici.
LIZ : Ils ne peuvent avoir plus de 10 minutes d'avance. Accélère.
ALEX : Je ne comprends pas. Pourquoi ferait-il ça après notre accord?
ISABEL : Parce que c'est Michael.
MAX : Cette fois, ce n'est pas une excuse!
MARIA : Michael, C'est une erreur! Et si tu es bête au point de ne pas te protéger... je vais devoir m'en charger!
MICHAEL : Ce n'est pas à toi de décider!
MARIA : Il ne s'agit pas que de toi! Ce que tu fais m'affecte! C'est ça, une relation et, heureux ou non, nous en avons une! Alors déteste-moi, mais je vais te protéger, OK? Tu comptes trop pour moi!
MICHAEL : J'ai attendu ça toute ma vie.
MARIA : Moi aussi!
(Un véhicule arrive)
MICHAEL : Cours, allez! Cours! Sors de là! Allez!
MARIA : Non! Je ne vais pas te laisser!
(Max descend de la jeep)
MAX : Donne-le-moi.
MICHAEL : C'est un communicateur.
MAX : Nous t'avions fait confiance, et tu as foiré!
MICHAEL : Ça interagit avec un autre appareil, et je veux savoir ce que c'est! Personne ne se doute que nous l'avons!
(Max donne un coup de point à Michael)
MICHAEL : Tu m'as frappé? Tu m'as frappé!
(Michael a laissé tomber le communicateur. Le groupe essaye d'empêcher Michael de frapper Max)
TOUS : Non!
MAX : Quelqu'un devait bien t'enfoncer un peu de bon sens!
ISABEL : Non!
MICHAEL : Va au diable!
(Le Shérif et une autre voiture arrivent)
Dr MARGOLIN : Désolé, mais Mlle Topolsky ne viendra pas ce soir. Ou un autre soir.
MICHAEL : Elle ne mentait pas. Vous l'avez tuée, et maintenant vous allez nous tuer?
SHERIF : Non, Michael, ce n'est pas ça. Cet homme vient de Bethesda, Maryland. C'est le Dr Malcolm Margolin. Il est passé ce matin au bureau, m'a dit certaines choses sur Topolsky.
Dr MARGOLIN : Je traite Kathleen depuis dix semaines.
SHERIF : Le Dr Margolin est psychiatre. C'est un grand spécialiste.
Dr MARGOLIN : Elle faisait une dépression. Elle a des hallucinations paranoïaques. Elle a terriblement peur de choses qui n'existent pas. Elle élabore des scénarios complexes pour justifier ses craintes.
SHERIF : Le docteur m'informe que mlle Topolsky a été internée à Bethesda... jusqu'à récemment, quand elle s'est échappée.
Dr MARGOLIN : Nous avons repéré sa carte de crédit à Roswell... et lorsque je l'ai rattrapée, elle était hystérique. Elle parlait de vous rejoindre ici. Un truc concernant une sphère. Le shérif m'a dit que vous aviez eu des problèmes avec elle. Je ne voulais pas qu'il vous arrive quelque chose.
SHERIF : J'ai tout vérifié. Le docteur est bien qui il prétend... et mlle Topolsky a passé le mois dernier dans un hôpital psychiatrique. Je pense qu'on peut disqualifier tout ce qu'elle a pu nous dire.
Dr MARGOLIN : Je suis désolé pour le dérangement. Et ne vous inquiétez pas pour Kathleen. Elle devrait être rentrée à Bethesda, avec les meilleurs soins. Plus de sortie au milieu de nulle part. Tout peut arriver. Et je ne voudrais pas vous voir blessés à cause de nous.
SHERIF : Merci, docteur. Je suis sûr que nous allons tous mieux dormir. C'est fini, vous pouvez rentrer, maintenant.
(Le docteur et le Shérif partent)
MAX : Nous reviendrons le chercher.
(Le Shérif trouve le communicateur)
LIZ : Max!
MAX : Bon travail, Michael.
(Le docteur Margolin se dirige vers une zone abandonnée. On découvre que c'est en fait Nasedo car il se transforme en vagabond.
(Topolsky est seule dans la forêt avec le deuxième communicateur. Une voiture arrive)
TOPOLSKY : Michael, par ici!
HOMME:Beau travail, agent Topolsky. Vous m'avez mené à eux.
TOPOLSKY : Ils ne sont pas impliqués.
HOMME : Cela ne vous concerne plus.
TOPOLSKY : Non !
Fin de l'épisode.