Vers la Lumière
(L'épisode commence dans la pièce cachée sous le dôme. Le groupe vient d'entendre Topolsky assommer le Shérif)
(Michael commence à rassembler tous les dossiers dans des cartons
pour les emporter)
MICHAEL : Ecoute je sais pas qui est au dessus mais il ne partira pas avant
de nous avoir trouvé. Alors je vais prendre tout ce que je peux
avant qu'il ne soit trop tard.
(Max et Isabel prennent aussi le plus de cartons possibles.
Maria et Liz aperçoivent un rat qui prend la fuite par un tunnel)
LIZ : Ah, mon Dieu.
(Maria a envie de crier mais elle le fait très doucement pour que
personne ne l'entende)
LIZ : Max, Max !
(Ils entendent Topolsky ouvrir la trappe et Liz emmène tout le monde
dans le tunnel)
LIZ : Par ici, vite.
MICHAEL : Allez y aller !
LIZ : Vas-y Michael. Vite aller !
(Tout le monde prend la fuite par le tunnel. Isabel trouve un médaillon
et reste perdue dans ses pensées un bref instant)
MAX : Isabel, Isabel !
(Isabel les rejoint. Ils arrivent à la jeep et s'en vont juste quand Topolsky
arrive à la sortie du tunnel)
(Générique)
(Sur la route du retour vers Roswell)
(Dans la jeep)
VOIX DE LIZ : 11 novembre. Liz Parker. Il n'y a plus rien de rationnel.
Voila ce que j'avais prévu de faire hier soir : Ranger ma chambre, dîner
avec les parents, passer une demi-heure au téléphone avec Maria et
ensuite m'attaquer à mon devoir de géométrie, et avec un peu de chance
finir assez tôt pour pouvoir regarder un documentaire sur la biographie de
Marie Curie. Au lieu de ça je me suis retrouvée dans une voiture décapotable,
qui entre parenthèse a sans doute pas le droit de rouler, je suis entrée par
effraction dans un bâtiment pour y voler pas mal de choses en total complicité
avec plusieurs extraterrestres. Bienvenue dans mon monde.
(Dans la voiture de Maria)
(Michael et Maria suivent la jeep. Maria ne quitte pas Michael des yeux)
MICHAEL : Qu'est ce qu'il y a ?
MARIA : Oh, rien. Je m'disais que les choses avaient complètement
changées en un rien de temps. J'veux dire il y a pas si longtemps que
ça j'te connaissais pas et je te voyais comme quelqu'un de... comme quelqu'un
de bizarre, qui pouvait pas être comme les autres, qui savait pas où il allait.
Bien sûr je l'pense toujours ça. Mais... c'que j'ai pas vu tout de suite c'est
qu'il y a une autre personne en toi.
MICHAEL : Tu veux dire que j'viens de...
MARIA : Oh, oui, il y a de ça, c'est clair. Mais j'me suis aussi rendue compte
que derrière toute cette... froideur que tu veux faire passer auprès des autres...
il y a quelqu'un qui est surtout... profondément blessé et vulnérable.
MICHAEL : Ecoute, si tu veux parler de c'qui s'est passé entre nous hier.
C'était rien. On était sur la route. On a discuté et ça s'arête là.
MARIA : Oui, bien sûr... Attends ! Pour toi il s'est réellement passé quelque chose ?
(Chez les Evans)
(Isabel cherche une photo dans un album. Elle la trouve et va voir Max
dans sa chambre)
MAX : Qu'est ce qu'il y a ?
ISABEL : Tu te souviens quand on allait en Floride, aux grandes vacances ?
MAX : Bien sûr. Une fois tu avais eu une insolation et moi je m'étais
cassé le bras en jouant au foot.
ISABEL : Un peu avant ça. C'était sur la plage. On avait dessiné quelque chose
tous les deux. Un symbole. Est-ce que tu t'souviens de ça ?
MAX : Un symbole ?
ISABEL : Oui. On n'l'avait jamais vu mais on savait très bien quelle forme
on devais lui donner sur le sable. Pourquoi connaissait-on ce symbole, Max ?
MAX : Ah, non, mais attends. De quoi est ce que tu m'parles là ?
ISABEL : Tiens, dessine le.
MAX : Quoi ?
ISABEL : Ferme les yeux et dessine le.
MAX : Mais je ne sais même pas...
ISABEL : Tu dois essayer.
(Max ferme les yeux et dessine le symbole. Isabel lui montre la photo du
symbole sur le sable)
MAX : Qu'est ce qui t'a fait penser à ça
(Isabel montre le médaillon à Max
ISABEL : J'ai trouvé ça chez Atherton.
(Madame Evans arrive dans la chambre)
DIANE : Alors, qu'est ce que vous faites ? Vous n'déjeunez pas ce matin ?
ISABEL : Bonjour.
DIANE : Oh, vous avez l'air épuisé tous les deux. Vous avez dû rentrer tard
je n'ai pas entendu de bruit.
Max : Oui, on n'a pas fait attention à l'heure, il fallait qu'on bosse nos maths.
DIANE : Bien, alors la prochaine fois que vous devrez travailler aussi tard
faites moi plaisir, vous resterez ici. Bon il faut que j'me sauve.
Soyez pas en retard surtout.
ISABEL : D'accord.
DIANE : A ce soir.
ISABEL : On s'en va tout de suite.
(Madame Evans part)
ISABEL : J'ai horreur de lui mentir.
(Le lycée)
(Maria et Liz sont dans les couloirs)
MARIA : C'qui est marrant chez Michael c'est qu'il est bizarre mais
étonnamment intéressant.
LIZ : Intéressant ? Tiens ?
MARIA : Pas intéressant pour moi. C'est évident.
LIZ : Oh, c'est évident, oui.
MARIA : Et puis il ne le sera jamais. Il y a de nombreux obstacles,
ses cheveux, sa personnalité, enfin bref son caractère, quoi.
LIZ : J'me demande c'qui a bien pu se passer dans cette chambre d'hôtel.
MARIA : j'te l'ai déjà dit, absolument rien.
LIZ : C'est vrai ça ?
MARIA : Rien de physique. Remarque on n'a pas beaucoup parlé.
C'qu'on partage tous les deux c'est quelque chose qui ne s'exprime pas.
Ma mère te dirait sûrement que Michael est une espèce de vibrateur.
LIZ : Un vibrateur, mais ?
MARIA : Non j'veux dire quelqu'un qui communique en envoyant une série
de vibrations dans l'atmosphère.
LIZ : Et quelle genre de vibrations ?
MARIA : Des vibrations...
LIZ : Oh ! Voilà Kyle. Il faut que j'aille lui parler.
MARIA : Oh, un revenant. J'te souhaite bien du courage.
LIZ : Et il en faut !
MARIA : Alors on s'retrouve chez Max et Isabel tout à l'heure.
LIZ : Chez Max et Isabel ?
MARIA : Ben, oui. Il faut que... Il faut qu'on révise encore. Michael va passer
me prendre après les cours. Alors ?
LIZ : Oui, oh, oui ! C'est pour réviser.
(Liz rejoint Kyle devant son casier)
LIZ : Bonjour.
KYLE : Miss Texas.
LIZ : Je peux te parler deux minutes ?
KYLE : Je vois pas très bien ce que tu pourrais m'dire.
LIZ : En privé.
(Ils vont dans la remise)
KYLE : Oh, j'connais ici. Ca m'fait drôle de m'retrouver dans cette remise...
avec toi... Notre premier baiser... L'an dernier, avant les vacances.
LIZ : Oui... C'était... une très belle journée.
KYLE : Liz, te fatigue pas !
LIZ : Kyle, je voulais simplement m'assurer que tu allais bien. Que tu n'avais
pas été blessé hier soir.
KYLE : C'est gentil. Et c'est ça dont tu voulais m'parler ?
LIZ : Oui.
KYLE : En privé ?
LIZ : Mm-Hmm
KYLE : Alors, je vais bien.
(Il commence à partir)
LIZ : Non, attends. Je dois aussi m'assurer que tu n'as pas l'intention
d'aller raconter à tout le monde qu'on est partis au Texas, hier soir.
KYLE : Oh, excuse moi ! J'm'étais imaginé que tu t'faisais du souci pour moi.
Qu'est ce que vous êtes aller faire dans cet hôtel ?
LIZ : Désolée je peux pas t'le dire.
KYLE : Donne moi un indice. La drogue ? Vous faites parti d'une secte ? Ou
c'était pour coucher !
LIZ : Arête !
KYLE : Rassures toi, je n'le dirai à personne.
LIZ : Merci.
KYLE : Jusqu'au jour où j'en saurai assez pour le détruire.
(Le bureau de Topolsky et le bureau de Stevens)
(Topolsky fait du yoga en discutant au téléphone avec l'agent Stevens qui
est dans son bureau en train de déjeuner)
TOPOLSKY : Je maîtrise totalement la situation, monsieur.
STEVENS : Agent Topolsky, comprenez vous le sens de la mission qui
vous a été confiée ?
VOIX DE TOPOLSKY (on l'entend dans le téléphone): Oui, monsieur.
STEVENS : Répétez là.
TOPOLSKY : J'vous demande pardon ?
VOIX DE STEVENS : Votre mission répétez-la moi !
TOPOLSKY : J'ai pour mission d'observer les sujets et de déterminer si
les hypothèses émises sur eux sont fondées ou non.
STEVENS : Vous avez oublié quelque chose. « Sous couverture » vous devez
« sous couverture » observer les sujets et déterminer si oui ou non les
hypothèses émises sur eux sont fondées. « Sous couverture ».
TOPOLSKY : J'ai bien agi sous couverture.
STEVENS : Assommer le Shérif c'est agir sous couverture ?
TOPOLSKY : Le Shérif risquait de compromettre mon opération.
VOIX DE STEVENS : Votre opération ?
TOPOLSKY : Notre opération.
STEVENS : Vous vous trompez encore. Ce n'est pas « votre » opération, ni
« notre » opération, mais « mon » opération.
VOIX DE STEVENS : La mienne !...
STEVENS : Je crois qu'un bout de mon sandwich vient de se mettre en travers
de mon oesophage.
VOIX DE STEVENS : Les ordres ont changé agent Topolsky. Désormais vous
devrez les suivre.
STEVENS : Je veux récupérer ce qu'ils ont prit dans cette maison au Texas.
Je veux connaître leurs moindres faits et gestes. Je veux une surveillance
permanente !
VOIX DE STEVENS : Est-ce que c'est clair Topolsky ?
TOPOLSKY : Oui, c'est très clair.
VOIX DE STEVENS : Et ce par n'importe quel moyen !
TOPOLSKY : A vos ordres.
STEVENS : Et ne me faites plus perdre mon temps !
TOPLOSKY : Je me mets au travail.
(Le centre des OVNIS)
(Milton explique des diapositives à des touristes)
MILTON : Ce que vous voyez à l'écran est un véritable morceau de vaisseau
extraterrestre. Ce métal, qui ne correspond à aucun des 92 éléments répertorié
sur notre planète, défie les propriétés de tous les métaux connus jusqu'à
maintenant. Quand on le tord, il reprend sa forme. Et ce, tout seul.
On ne peut pas le fondre. Et rien ne peut...
(Le Shérif Valenti l'interrompt)
SHERIF : Je peux vous voir deux minutes ?
MILTON : Mesdames et messieurs, je vous demande de m'excuser.
Etudiez cette image.
(Ils s'éloignent un peu)
MILTON : Que puis je faire pour vous Shérif ?
SHERIF : Connaissez vous un certain James Atherton ? Il a écrit sur
les extraterrestres.
MILTON : Il a été un des premiers à parler du crash de 47... Enfin s'il y a
eu un crash. Il est l'auteur de plusieurs livres dont « parmi nous » publié en 55.
SHERIF : Vous n'savez pas s'il est encore en vie ?
MILTON : C'est... C'est c'qu'on s'demande. Il a disparu.
SHERIF : Disparu ?
MILTON : Evanoui de la surface de la Terre. Et on pense qu'il allait faire
d'importantes découvertes un peu avant sa disparition. Contact direct, ce
genre de chose. La légende dit qu'il aurait été enlevé par des extraterrestres,
il a disparu en 59.
SHERIF : En 59 !
MILTON : Shérif. En tant que citoyen et passionné d'extraterrestres,
je m'permets de vous demander... Qu'est ce qui s'est passé ?
(De la fumée sort de rétroprojecteur)
SHERIF : Je crois qu'il va y avoir le feu.
MILTON : Hein ? Oh, oh ! Restez assis mesdames et messieurs, restez assis.
(Le bureau du Shérif)
(Le Shérif est assis à son bureau, il sort le livre et la photo du cadavre
d'Atherton. Il compare avec la photo d'Atherton à la fin du livre.
On frappe à la porte)
SHERIF : Oui ?
OWEN : Shérif, y a une urgence.
(Dans la jeep)
(Max, Isabel et Michael vont chez les Evans)
MICHAEL : Dites donc, il va y avoir pas mal de boulot, hein ?...
Avec les dossiers.
MAX : On fera ça petit à petit.
MICHAEL : Tous les trois ?
MAX : Ouais, tous les trois.
MICHAEL : Bien. J'dis ça parce qu'y a peut-être des personnes qui
voudront nous aider.
ISABEL : Tu parles de quelles personnes ?
Michael : Ben l'autre, là, Maria.
ISABEL : Je vois à peu près qui c'est.
MICHAEL : Mais si ça doit être que nous trois.
MAX : Ce serait mieux, oui.
MICHAEL : Oui je suis de ton avis. Mais... je lui ai dit qu'on passerait la prendre.
ISABEL : Michael !
MICHAEL : C'est elle qui s'est imposée. Elle a un truc c'est vrai. Elle est
vraiment magnétique cette fille. Elle envoie des vibrations, je sais pas...
MAX : Pas question qu'elle examine c'qu'on a trouvé. Y aura nous trois
c'est tout.
MICHAEL : D'accord. D'ailleurs, je vais l'appeler. T'as ton téléphone ?
ISABEL : Tiens mais la laisse pas parler trop longtemps sinon j'vais encore
dépasser mon forfait.
(La sirène de la police retentit devant la maison des Evans)
ISABEL : Qu'est ce qu'il se passe ?
MAX : On ferait mieux d'aller voir. Michael, tu descends.
ISABEL : Attends. Tu es sûr qu'on doit y aller ?
MAX : C'est notre maison, on n'a pas vraiment le choix.
MICHAEL : J'aime pas ça du tout.
MAX : Bon, ben on s'rejoint au café tout à l'heure.
(Michael descends, Max et Isabel arrivent devant chez eux. Le Shérif Valenti
s'approche d'eux)
SHERIF : Monsieur Evans, Isabel. J'ai une bien mauvaise nouvelle à vous annoncer.
(Chez les Evans)
(Max et Isabel rejoignent leur mère)
ISABEL : Maman.
DIANE : Oh, Isabel. Oh, Max. Oh les enfants nous avons été cambriolés.
ISABEL : Le Shérif nous a dit.
DIANE : C'est affreux.
ISABEL : Quand est ce que ça c'est passé ?
DIANE : Sans doute dans la matinée. Je... je passais à la maison pour
déjeuner et quand je suis arrivée tout était ouvert.
MAX : Ca va ?
DIANE : Oui. Je suis un peu sous le choc.
MAX : Qu'est ce qu'ils ont pris ?
DIANE : Oh, la télévision, la chaîne. Je n'suis pas encore montée dans l
es chambres. J'ai appelé votre père. Il va arriver.
ISABEL : Tu n'as qu'à l'attendre. On va monter.
(La chambre de Max)
Max : Plus rien.
ISABEL : Oh, c'est pas vrai. C'est pas pour la télé qu'on nous a cambriolé.
Quelqu'un savait c'qu'on avait et il le voulait.
(Le Shérif arrive)
SHERIF : Désolé. Oh, ce doit sûrement être terrible de retrouver sa maison
dans un état pareil. Une vraie violation.
ISABEL : Ouais.
SHERIF : Alors ? Qu'est ce qu'ils ont pris ici ?
MAX : On a regardé, apparemment il manque rien.
SHERIF : C'est bizarre. Cette pièce a encore été plus fouillée que
le reste de la maison. Comme s'ils cherchaient quelque chose de précis.
MAX : Mais ils n'ont rien pris j'vous dit ?
SHERIF : Et vous, votre chambre ?
ISABEL : Je n'suis pas allée voir encore.
SHERIF : Vous allez voir dans la chambre de votre frère avant d'aller voir
dans la votre ? Comment ça se fait ?
DIANE : Shérif, excusez moi mais pourquoi interrogez vous mes enfants ?
Nous sommes des victimes, non ?
SHERIF : Navré de vous contredire mais je n'veux interroger personne.
Je veux seulement veiller à ce que notre enquête soit correctement menée.
Quelquefois même les détails les plus insignifiants peuvent être importants.
DIANE : Bien sûr. Oui, j'comprends. Je suis désolée.
ISABEL : J'vais aller voir dans ma chambre.
(La chambre d'Isabel)
AGENT OWEN : Mademoiselle ? Excusez moi, je devais prendre votre
déposition mais je repasserai.
ISABEL : Merci.
(L'agent Owen remarque le pendentif d'Isabel)
AGENT OWEN : Ou avez-vous eu ça ?
ISABEL : Au centre commercial. J'aime bien tout ce qui est rétro.
Pourquoi ?
AGENT OWEN : La dernière fois qu'j'ai vu une chose comme celle là
c'était à la réserve indienne.
ISABEL : Ah oui... Ca veut dire que ça marche bien alors.
AGENT OWEN : Oui.
ISABEL : C'était quelle réserve ?
AGENT OWEN : La réserve de Mesaliko, où j'ai grandi. C'est à la sortie d'la ville.
(Le Crashdown)
(Michael entre dans le Crashdown par la porte de derrière et percute Maria)
MICHAEL : Ne refait plus jamais ça.
MARIA : Qu'est ce que j'ai fait encore ?
MICHAEL : Tu m'as fait peur.
MARIA : Je t'ai fait peur ?
MICHAEL : Oui. Isabel et Max sont arrivés ?
LIZ : Non, pourquoi ils devaient venir ?
MAX : Il faut qu'on aille quelque part. Pour parler.
(Le salon des Parker)
MICHAEL : Je n'peux pas dire à coup sûr que j'étais suivi. C'ést une
impression, c'est tout.
MAX : De quoi il avait l'air ?
MICHAEL : J'crois qu'il portait un costume. 30 - 35 ans. Grand, cheveux brun.
Il avait l'air bizarre, ça j'en suis certain.
MAX : Quand on s'est arrêté en allant au Texas il y avait un homme.
Peut-être qu'il nous suivait. Sur le coup j'ai rien dit pour ne pas vous inquiéter.
ISABEL : Ca fait beaucoup de choses en peu de temps. On nous a cambriolé,
on nous a peut-être suivi... Tout ça c'est trop réel.
MAX : Ne t'inquiète pas
(Michael regarde le pendentif d'Isabel)
ISABEL : Quoi ?
MICHAEL : Je connais ça. Comment ça se fait ?
MAX : Tous les trois on l'connait. Ca remonte à notre passé.
ISABEL : C'est bizarre, hein ? J'l'ai trouvé chez Atherton.
LIZ : Ca veut dire quelque chose.
ISABEL : L'adjoint du Shérif, celui qui est d'origine indienne, m'a dit qu'il
l'avait vu à la réserve de Mesaliko.
(Michael regarde Max du genre : allons y !)
MAX : Non, non, non, non. Pas question d'y aller pour l'instant. On n'peut
pas se permettre de prendre des risques.
MICHAEL : Max. Il faut qu'on y aille.
MAX : Non, on va nulle part. On va attendre.
(Le lycée)
(Le Shérif frappe et entre dans le bureau de Topolsky)
TOPOLSKY : Oui ?
SHERIF : Je n'vous dérange pas, j'espère.
TOPOLSKY : Pas du tout Shérif. Je vous en prie. Alors, que puis je
faire pour vous ?
SHERIF : Il me faudrait votre avis sur une affaire récente.
TOPOLSKY : Je vous écoute. De quoi s'agit-il ?
SHERIF : Et bien, il y a eu un cambriolage, chez Max et Isabel Evans,
hier matin.
TOPOLSKY : Personne n'a été blessé ?
SHERIF : Non, non, heureusement il n'y avait personne. Je suis
simplement venu vous demander...
TOPOLSKY : Mon emploi du temps, Shérif ?
SHERIF : Oh, bien sûr que non. Non, je voulais savoir si vous n'aviez
pas eu des problèmes avec certains étudiants.
TOPOLSKY : Oh, j'avoue que je vois mal un des élèves faire une chose pareille.
SHERIF : Oui. C'était à tout hasard. Vous connaissez bien tous
les élèves de ce collège.
TOPOLSKY : Oui, c'est mon métier.
SHERIF : Je crois savoir que vous êtes quelqu'un qui prend son travail
très au sérieux. Il vous suit partout, même quand il vous arrive de
prendre la route. Je me suis levé avec un mal de tête ce matin.
TOPOLSKY : Votre travail vous donne des migraines ?
SHERIF : Peut-être. Merci mademoiselle.
(Chez les Evans)
(Max entend frapper à la fenêtre de sa chambre. Il va l'ouvrir)
MAX : Michael, j'ai dit non... C'est toi, qu'est ce que tu fais là ?
LIZ : J'peux entrer ?
MAX : Oui, bien sûr.
(Liz enjambe la fenêtre mais perd l'équilibre. Elle tombe dans les bras de Max)
LIZ : Oh !
MAX : Alors, qu'est ce que tu veux ?
LIZ : J'n'en ai pas parlé tout à l'heure parce que sinon j'étais sûre que
quelqu'un d'autre se serait proposé. Voilà... J'ai l'intention d'aller à la réserve.
MAX : Non, pas question. Nous sommes surveillés.
LIZ : Mais peut-être que vous n'êtes pas simplement surveillés.
Ca cache sans doute autre chose. Hier matin ils sont venus pour
les dossiers. La prochaine fois ce sera peut-être pour vous. S'il y a un indice
là-bas... la moindre possibilité de comprendre ce qui se passe...
il n'y a pas a hésiter.
MAX : J'te remercie pour ton offre. Mais c'est non.
LIZ : Max, tu m'as sauvée la vie.
MAX : Et alors ? Ca n'a rien à voir.
LIZ : Si. Tout a commencé ce jour là. Les soupçons et le reste.
S'il t'arrivait quelque chose, à toi, et... à Michael ou Isabel je crois que...
je m'en voudrais jusqu'à la fin.... Laisse moi au moins faire ça.
MAX : J't'ai déjà dit non.
LIZ : Mais je n'suis pas venue te demander ta permission. Je suis venue
pour le pendentif. Si tu ne me le donnes pas, je l'dessinerai....
Comme tu voudras.
MAX : Liz ! Je veux que tu me promettes qu'au moindre problème,
n'importe lequel, tu reviendras.
(Il lui donne le pendentif)
LIZ : Je te l'promets.
(La réserve indienne de Mesaliko)
(Liz arrive à la réserve de nuit. Elle s'arrête devant un stand de
babioles tenu par une vendeuse indienne)
VENDEUSE : Un bien joli bracelet pour une bien jolie fille.
LIZ : Oh ! Oui, c'est vrai qu'il est joli. Mais en fait c'que je recherche
c'est quelque chose qui ressemble à ça. Je voulais savoir si vous aviez
déjà vu ce symbole ou si saviez c'que ça veut dire ?
VENDEUSE : Ca représente... l'arbre de la connaissance.
LIZ : Oh, je vois.
VENDEUSE : Non, en fait je n'sais pas c'que ça signifie. J'vous dis des bêtises.
Mais il a l'air ancien.
LIZ : Oui, c'est...
(Un vieil indien (River Dog) attrape le bras de Liz et regarde le pendentif)
LIZ : Est-ce que vous... connaissez... ce symbole ?
(Il part)
LIZ : C'était qui ?
VENDEUSE : Il vaut mieux ne pas l'approcher.
LIZ : Il y a quelqu'un ? Répondez.
(Liz se dirige vers la voiture. River Dog lui attrape le bras encore une fois)
RIVER DOG : Donnez moi ça.
LIZ : Qui êtes vous ?
RIVER DOG : Mademoiselle, s'il vous plaît.
(Liz lui donne le pendentif)
RIVER DOG : Ou est ce que vous avez eu ça ?
LIZ : On l'a trouvé.
RIVER DOG : Qui on ?
LIZ : Non. Je l'ai trouvé.
RIVER DOG : Qui d'autre le sait ? Combien êtes vous ? Dites moi ?
LIZ : Personne d'autre ne le sait.
RIVER DOG : Vous n'êtes pas venu par là-bas par hasard.
Est-ce qu'on vous a suivie ?
LIZ : Non, je suis sûre que non... Qu'est ce que ça représente pour vous ?
Que veut dire ce symbole ? S'il vous plaît.
(River Dog lui rend le pendentif)
RIVER Dog : Le danger... Une mort certaine.
(Le Crashdown)
(Liz est en train de servir au comptoir quand un client vient lui parler)
LIZ : Je peux vous renseigner ?
EDDIE : Je voudrais goûter la spéciale peau rouge.
LIZ : Oh ! Ça fait des mois qu'on veut retirer cette formule du menu.
EDDIE : C'est très aimable. Mon peuple en sera ravi. Je m'appelle Eddie.
LIZ : Oui. Et moi Liz.
EDDIE : J'ai un message. De la part du vieil indien.
(Eddie sort le morceau manquant du pendentif Liz sort le morceau
qu'elle possède. Ils s'assemblent)
EDDIE : Il vous attend à 10 heures ce soir.
LIZ : Ce soir ?
EDDIE : Vous viendrez seule.
LIZ : Euh, où ça ?
EDDIE : A la réserve. Quelqu'un vous rejoindra.
(Dans les rues de Roswell)
(Michael, Max et Isabel roulent dans la ville. Ils vérifient souvent s'ils
sont suivis par une voiture qu'ils ne connaissent pas)
MAX : Il nous suit toujours ?
MICHAEL : Euh, j'en sais rien. Oui, je crois.
ISABEL : Je me demande si je rêve. Je voudrais tellement que tout
redeviennes comme avant.
MICHAEL : J'te dis que ton plan est mauvais.
MAX : Et moi je te dis que ça va marcher.
MICHAEL : Et moi je sers de pion ? Pourquoi j'irai pas le voir cet indien ?
ISABEL : Michael, tu te calmes, d'accord ?
(Ils déposent Max au bord de la route vers Liz et repartent pour
essayer de semer Topolsky)
MAX : Allons y.
ISABEL : Fonce ! Vas y !
MICHAEL : C'est bon j'y vais.
(Max et Liz sortent du bâtiment par derrière. Ils sont sensés retrouver
la voiture de Maria qui n'est pas là)
MAX : Liz ?
LIZ : Elle va arriver. Ne t'inquiète pas.
MAX : Je suis pas inquiet.
ISABEL : Un vrai cauchemar.
MARIA : Vraiment, je suis désolée. Ma mère était chez son acuponcteur
et elle est sortie en retard.
LIZ : C'est pas grave, ça va aller.
(Topolsky, qui a perdu la trace de Michael et Isabel, se gare sur un
parking et le Shérif s'arête derrière elle)
SHERIF : Vous avez perdu quelque chose ?
TOPOLSKY : Et vous ça vous arrive souvent de poursuivre des voitures
en dehors de votre service ?
SHERIF : Surtout quand elles brûlent des feux rouges, quelles ne respectent
pas les stops et quelles roulent bien au delà de la vitesse limitée en agglomération. Mademoiselle Topolsky, il n'y a pas qu'en paroles que vous avez violé la loi.
TOPOLSKY : Je vais essayer de le prendre avec le sourire.
SHERIF : Si je voulais, je pourrai vous emmener, vous garder toute la nuit,
et j'en profiterai pour me mettre au travail et effectuer des recherches
sur la nouvelle conseillère d'orientation, pour savoir ce qu'elle fait ici.
A moins que nous allions en discuter tous les deux.
(La réserve indienne)
(Liz et Max arrivent à la réserve)
MAX : Ou est ce qu'on va ?
LIZ : Il m'a dit de revenir ce soir. C'est tout c'qu'il a dit.
EDDIE : Qui c'est celui là ?
LIZ : Oh ! C'est mon copain.
EDDIE : J'vous avais dit de venir seule. C'était convenu.
LIZ : Oui, je sais. Mais, c'est très important pour lui aussi.
EDDIE : Désolé.
LIZ : Attendez, vous ne pouvez pas vous en aller.
EDDIE : Et pourquoi ?
MAX : Parce que je connais ce symbole. Il représente quelque chose
pour moi.
LIZ : Je vous en prie, c'est important.
EDDIE : Vous passerez un test. Si jamais vous le réussissez,
River Dog répondra à toutes vos questions.
LIZ : Faut y aller.
EDDIE : Alors, vous venez ?
(Le Crashdown)
(Michael, Maria et Isabel attendent le retour de Max et Liz)
MICHAEL : Qu'est ce qu'on fait ?
ISABEL : On attend. Ca fait à peine une heure qu'ils sont partis.
MICHAEL : Et moi j'vous dis qu'ce plan est foireux. Là bas il peut
leur arriver un tas de trucs et il faudrait que je reste là avec deux filles
qui parlent sans arrêt.
MARIA : Intéressant. Michael, sais tu que certaines femmes des
années 2000 pourraient trouver cette remarque quelque peu... offensante.
MICHAEL : Pourquoi ?
(Michael se sert une part de gâteau et l'arrose de Tabasco, il en
donne une part à Isabel)
MARIA : Pourquoi ?
ISABEL : Bienvenue à Michael Land.
MARIA : J'espère que tu vas l'payer tout ça.
MICHAEL : Non, pourquoi ?
MARIA : Parce que c'est du vol, voilà pourquoi.
MICHAEL : Arête-moi.
MARIA : Et... Pourquoi est ce que tu mets autant de sauce ?
MICHAEL : C'es sucré et épicé.
MARIA : Sucré et épicé.
ISABEL : On aime les choses extrêmement sucrées mélangées
avec des choses très épicées. Un petit péché de gourmandise.
MARIA : Bien... Je tacherai de pas l'oublier.
MICHAEL : S'il te plaît.
ISABEL : Parce que vous deux. Oh, il pouvait rien m'arriver de pire.
(La forêt à coté de la réserve indienne)
LIZ : Eddie. Est-ce que... est ce que c'est encore loin ?
EDDIE : On arrive.
LIZ : Max, ça m'plait pas du tout cette histoire. Ca fait plus d'une heure
qu'on marche.
MAX : Eddie, bon, vous nous emmenez où exactement ?
EDDIE : C'est ici.
LIZ : Où on est ?
EDDIE : Bonne chance.
LIZ : Non, Eddie attendez. Vous n'pouvez pas nous laisser ici.
MAX : Eh ! Oh, Eddie !
LIZ : Oh non. Qu'est ce qu'on va faire.
MAX : Merci Eddie.
LIZ : Oh ! On sait même pas ou on est. Max, Max, regarde.
(Liz a trouvé l'entrée d'une caverne)
MAX : T'as entendu ?
LIZ : Aah !
(Liz disparaît dans le noir de la caverne)
MAX : Liz ?
LIZ : Lâchez-moi.
MAX : T'es où ? Liz ?
LIZ : Aah !
(Max utilise ses pouvoirs pour créer une boule de lumière)
MAX : Lâchez-la ! Qui êtes vous ?
RIVER DOG : Vous avez bien réussi le test.
(Un bar de Roswell)
SHERIF : J'n'en reviens pas d'vous voir accoudée à un bar.
TOPOLSKY : Pourquoi ?
SHERIF : Vous avez l'air d'être saine de corps et d'esprit. Le genre de
femme qui fait du sport et qui s'fourni au rayon diététique.
TOPOLSKY : Ca fait combien de temps que vous me suivez ?
SHERIF : Disons un certain temps.
TOPOLSKY : Et qu'avez-vous remarqué d'inhabituel ?
SHERIF : A part que vous êtes du FBI et que vous bossez sous
couverture au collège de Roswell... Pas grand-chose. Si ce n'est que
vous avez la main lourde et que j'ai bien failli perdre connaissance.
Heureusement que j'ne suis pas trop sensible.
TOPOLSKY : Vous êtes sûr ? Il me semble qu'un homme qui passe
presque tout son temps à faire oublier les erreurs de son père fait preuve
d'une grande sensibilité.
SHERIF : À votre place j'éviterai de m'occuper des erreurs qu'a pu faire mon
regretté père, agent Topolsky. Vous en avez commis quelques unes vous aussi.
TOPOLSKY : Quelles erreurs ?
SHERIF : Par exemple celle qui consiste à ne pas avoir réussi a les appréhender.
TOPOLSKY : Qui ?
SHERIF : Ceux que vous poursuiviez. Et, autre erreur. La police locale vous a
tout de suite repérée.
TOPOLSKY : Oui, euh. Mais peut-être que notre tactique est mauvaise
SHERIF : C'est fou comment on peut reconnaître ses erreurs une fois qu'on
s'aperçoit qu'on a plus de couverture. Enfin. Je tenais à faire cette petite mise
au point avant d'appeler vos supérieurs et leurs dire tout ce qui s'est passé.
TOPOLSKY : Shérif. Si jamais mes déboires arrivent aux oreilles de mes
supérieurs, ils me remercieront. Et ça n'vous donnera rien. Alors qu'il y a
sûrement un moyen de s'arranger ?
SHERIF : Je n'vois pas de quoi vous parlez mademoiselle Topolsky.
TOPOLSKY : Je pense avoir des renseignements qui vous intéresseraient.
Et vous avez des renseignements que j'aimerai avoir.
Pourquoi ne pas les échanger ?
SHERIF : Ca mérite que j'y réfléchisse.
(La caverne)
RIVER DOG : J'ai connu quelqu'un comme vous, un jour. Je ne savais pas
d'où il venait ni pourquoi il était ici. C'était quelqu'un de très réservé.
Mais petit à petit il s'est lié d'amitié avec tout le monde, y compris avec moi.
MAX : Savez vous où on peut le trouver ?
RIVER DOG : Je n'l'ai pas revu depuis 40 ans. Mais le seul en qui il avait
confiance, c'était Atherton. L‘homme lui avait donné le pendentif,
celui que vous détenez.
MAX : Que lui est il arrivé ?
RIVER DOG : Atherton a été assassiné.
LIZ : Qui l'a tué ?
RIVER DOG : L'homme l'a tué.
MAX : Peut-être qu'il a fait ça pour se défendre. Atherton était
passionné par les ovnis. Il a dût vouloir révéler l'identité de cet homme.
RIVER DOG : J'étais trop loin pour voir ce qu'il se passait. Mais quand
je les ai rejoint Atherton était mort.
LIZ : Ca s'est passé quand ?
RIVER DOG : En novembre 1959.
LIZ : Max.
RIVER DOG : Je voudrai vous montrer autre chose. Suivez moi.
(Le Crashdown)
(Maria est anxieuse parce que Max et Liz ne sont toujours pas rentrés)
MARIA : C'est trop long j'te dis. C'est pas normal.
MICHAEL : Tu recommences.
MARIA : On devrait y aller.
MICHAEL : Ils vont nous suivre.
MARIA : Qu'est ce que tu proposes
MICHAEL : On attend.
MARIA : J'comprends pourquoi Isabel est partie. T'es totalement
incapable de gérer ce genre de situation
MICHAEL : Ils nous ont dit de rester là et d'attendre qu'ils reviennent.
Alors je fais c'qu'on m'dit, et j'évite de craquer contrairement à toi
MARIA : Je suis pas en train d'craquer.
MICHAEL : Ca fait plus d'une heure que tu vides du sucre en poudre
pour le remettre ailleurs. Alors tu arêtes parce que ça m'prends la tête.
MARIA : J'attends que tu dises quelque chose, que tu parles.
MICHAEL : Mais qu'est ce que tu veux qu'je dise ?
MARIA : J'en sais rien moi. T'as qu'à dire n'importe quoi pour que j'me
calme pour me faire croire que ça va bien se terminer.
MICHAEL : Ah mais peut-être que ça se terminera mal
MARIA : Merci, ça m'rassure ça.
MICHAEL : Qu'est ce que j'dois faire alors ?
MARIA : Je n'sais pas moi.
MICHAEL : Alors arête de parler
MARIA : Oh, arete j'te deteste.
MICHAEL : Moi aussi.
MARIA : Ecoute. Tout c'que j'te demande c'est que t'essayes au moins
de me rassurer. T'es un mec ou pas ? Faudrait savoir ! Ca fait rien
laisse tomber, j'me suis trompée une fois de plus
(Michael se rapproche d'elle et l'embrasse)
MICHAEL : C'était pour te calmer
MARIA : Merci.
(Michael et Maria partent chacun dans une direction opposée du Crashdown)
(La caverne)
MAX : C'est lui qui a dessiné ça ?
RIVER DOG : Oui, il disait que vous viendriez un jour.
MAX : Ca m'dit quelque chose. Comme si je savais c'que ça signifie.
Mais j'me rappelle pas
LIZ : C'est sûrement une espèce de langage.
RIVER DOG : Il avait peur qu'ils viennent le tuer.
MAX : Qui ça « ils »
RIVER DOG : Je n'sais pas. Il sentait qu'ils allaient bientôt arriver,
alors il est reparti. Je lui ai promis de ne jamais révéler ces informations
sauf à ceux qui réussiraient le test.
MAX : Est ce qu'il y en a d'autres qui l'ont réussi
RIVER DOG : Non. Personne
MAX : C'est sûrement un message. Un message qui nous est adressé.
Peut-être une mise en garde
RIVER DOG : Je n'sais pas. Il est temps que vous partiez.
MAX : On pourra revenir ?
RIVER DOG : J'ai tenu ma promesse. Je n'peux rien vous dire de plus.
Et vous n'apprendrez rien d'autre.
(Max et Liz commencent à partir quand River Dog retient Liz)
RIVER DOG : Non, attendez. Vous n'êtes pas l'un d'eux.
MAX : Liz.
RIVER DOG : Assurez vous qu'il mérite votre confiance
MAX : Viens.
Fin de l'épisode