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#107 : Vers la lumière (Partie 2)

Isabel a découvert chez Atherton un médaillon portant un symbole qui lui est familier. Une nouvelle trace dans leur quête d’identité, qui va les mener dans une ancienne réserve indienne…

Popularité


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Titre VO
River Dog - Part 2

Titre VF
Vers la lumière (Partie 2)

Première diffusion
17.11.1999

Photos promo

Isabel Evans (Katherine Heigl), Liz Parker (Shiri Appleby) & Max Evans (Jason Behr)

Isabel Evans (Katherine Heigl), Liz Parker (Shiri Appleby) & Max Evans (Jason Behr)

Liz Parker (Shiri Appleby)

Liz Parker (Shiri Appleby)

Isabel Evans (Katherine Heigl), Max Evans (Jason Behr) & Michael Guerin (Brendan Fehr)

Isabel Evans (Katherine Heigl), Max Evans (Jason Behr) & Michael Guerin (Brendan Fehr)

Diffusions

Logo de la chaîne The WB

Etats-Unis (inédit)
Mercredi 17.11.1999 à 21:00

Plus de détails

Ecrit par : Cheryl Cain.
Réalisé par : Jonathan Frakes.

Guests :
Julie Benz ... Mlle Topolsky
Steve Hytner ... Milton Ross
Ned Romero ... River Dog
Michael Horse ... Blackwood
Tod Thawley ... Eddie
Mary Ellen Trainor ... Diane Evans
Richard Schiff ... Agent Stevens
Richard Anthony Crenna ... Agent Baxter

Le groupe est toujours caché dans la cave. Pendant que Melle Topolsky cherche une entrée secrète, Valenti se réveille et découvre que la conseillère n'est pas ce qu'elle prétend être. Il referme les yeux pour pas qu'elle ne le remarque.

Michael décide de ne pas rester là sans rien faire, il commence les recherches, suivi par tout le groupe. Les deux garçons prennent des documents tandis qu'Isabell saisit un pendentif. Liz, quant à elle, trouve une sortie grâce à un rat. Ils s'enfuient donc par une espèce de canalisation avant que Topolsky ne les découvre.

Générique

Le groupe rentre à Roswell. Isa, Max et Liz sont dans la jeep et Michael conduit la voiture de Maria. Cette dernière pense que quelque chose a changé entre eux deux.

Liz réfléchit à ce qui vient de se passer et se rend compte que sa vie n'est plus la même. Elle avait prévu de passer sa soirée à réviser ses cours de maths mais ça n'a pas été le cas.

Dans sa chambre, Isabel feuillette un album de photo. Elle en enlève une de son étui et se précipite dans la chambre de Max. Elle lui demande s'il se souvient d'un symbole qu'ils avaient dessiné sur la plage quand ils étaient enfants.
Max ne s'en souvient plus mais elle insiste et lui demande de le dessiner d'instinct. Lorsqu'il a terminé elle lui montre la photo et le pendentif qu'elle a trouvé chez James Atherton. Il s'agit exactement du même.

Plus tard dans la journée, Maria parle de Michael à Liz. Elle dit qu'il est un "vibrateur" pour elle…

Liz quant à elle, essaye de parler à Kyle de ce qu'il a vu la veille. Il s'imagine de nombreuses choses et en veut énormément à Max.

Dans son bureau, Topolsky est en train de faire une séance de Yoga tout en parlant à son supérieur au téléphone. Il n'est pas content car il estime qu'elle a pris de gros risque en se rendant seule à la sphère et en assommant le Shérif.

Valenti qui veut en savoir toujours plus, se rend au musée où il rencontre Mr Milton. Il aimerait en savoir plus sur l'année 1959. Pour répondre a sa question, Milton lui conseille de lire "Parmis nous" le fameux livre. Lorsqu'il feuillette le bouquin, il s'aperçoit que l'écrivain n'est autre que l'homme à la marque argentée.

Dans la jeep, Michael demande au deux autres extraterrestres si Maria peut les aider à trier les papiers qu'ils ont pu emporter avec eux de Marathon. Lui aussi parle de "vibrateur" concernant Maria.
Cependant lorsqu'il s'approche de la maison des Evans, ils découvrent que la police est la. Leur habitation a été cambriolée. Max et Isabel montent directement dans la chambre du jeune homme et découvrent que les documents n'y sont plus. Il ne leur reste que le pendentif d'Isabel qu'elle portait sur elle.

Lorsque l'adjoint voit le symbole, il déclare à Isa qu'il l'a déjà vu dans la réserve indienne de Mesaliko.

Plus tard, le Shérif rend une petite visite à Melle Topolsky. Il lui pose des questions et essaye de lui faire comprendre qu'il sait qui elle est. Seulement la conseillère ne se doute de rien car pour elle il était dans les pommes dans la sphère.

Le groupe se réunit. Isabel parle de la réserve mais ils prennent la décision de ne pas se rendre directement sur les lieux car Michael et Max avouent avoir été suivis depuis quelque temps.

Dans la soirée, Liz se rend chez Max. Elle lui annonce qu'elle compte aller elle-même à la réserve. Elle veut juste qu'il lui prête le pendentif pour qu'il soit plus facile pour elle de savoir ce qu'il représente. Max n'est pas serein, il lui fait promettre de l'appeler à n'importe quel problème.

Arrivé à la réserve, Liz essaye de repérer un objet qui ressemble au symbole mais il n'y a rien. Elle décide de rebrousser chemin lorsqu'un vieil homme l'interpelle. Il lui dit qu'il s'agit d'un symbole de mort.

Le lendemain, un homme se présente au Crashdown. Il s'agit d'un indien qui se prénomme Eddy. L'homme lui remet la partie manquante du symbole et lui annonce qu'elle a rendez-vous avec le vieillard : River Dog.

Max et Liz décident d'aller ensemble au rendez-vous. Le groupe monte donc un stratagème pour ne pas être suivi.

Arrivé à la réserve, Eddy n'est pas très content de voir que Liz a emmené quelqu'un d'autre avec elle. Max lui dit connaître ce symbole du coup l'homme accepte. Il les entraîne dans la foret et les laisse. C'est à eux de trouver seuls le chemin.

Liz repère une grotte où ils pénètrent tous les deux. Mais Liz disparaît. C'est alors que Max fait créer une source de lumière entre ses mains. Ceci était le test ! River Dog accepte donc de lui parler.

Il leur dit que James Atherton avait lui aussi un pendentif avec ce symbole (là, il nous apprend rien étant donné qu'on sait qu'Isa l'a pris là-bas) . C'est son ami "extraterrestre" qui lui l'avait donné mais il l'a tué peu de temps après, il ne sait pas pourquoi.
River Dog leur montre aussi un message écrit sur la pierre par l'extraterrestre en question. Max demande s'il pourrait revenir plus tard mais l'homme dit qu'il a fait sa part.


Isa, Michael et Maria les attendent au Crashdown. Isabel finit par rentrer chez elle car elle remarque qu'il se passe quelque chose entre les deux autres.

Plus tard, Maria est extrêmement angoissée, elle ne comprend pas pourquoi Michael ne fait rien pour l'apaiser étant donné que c'est lui l'homme. Michael finit par l'embrasser pour la "calmer".

Lorsqu'ils quittent la grotte, River Dog conseille à Liz de se méfier de Max. Elle doit être sure qu'il mérite sa confiance.

Vers la Lumière

 

(L'épisode commence dans la pièce cachée sous le dôme. Le groupe vient d'entendre Topolsky assommer le Shérif)

(Michael commence à rassembler tous les dossiers dans des cartons
pour les emporter)

MICHAEL : Ecoute je sais pas qui est au dessus mais il ne partira pas avant
de nous avoir trouvé. Alors je vais prendre tout ce que je peux
avant qu'il ne soit trop tard.

(Max et Isabel prennent aussi le plus de cartons possibles.
Maria et Liz aperçoivent un rat qui prend la fuite par un tunnel)

LIZ : Ah, mon Dieu.

(Maria a envie de crier mais elle le fait très doucement pour que
personne ne l'entende)

LIZ : Max, Max !

(Ils entendent Topolsky ouvrir la trappe et Liz emmène tout le monde
dans le tunnel)

LIZ : Par ici, vite.

MICHAEL : Allez y aller !

LIZ : Vas-y Michael. Vite aller !

(Tout le monde prend la fuite par le tunnel. Isabel trouve un médaillon
et reste perdue dans ses pensées un bref instant)

MAX : Isabel, Isabel ! 

(Isabel les rejoint. Ils arrivent à la jeep et s'en vont juste quand Topolsky
arrive à la sortie du tunnel)

(Générique)

(Sur la route du retour vers Roswell)

(Dans la jeep)

VOIX DE LIZ : 11 novembre. Liz Parker. Il n'y a plus rien de rationnel.
Voila ce que j'avais prévu de faire hier soir : Ranger ma chambre, dîner
avec les parents, passer une demi-heure au téléphone avec Maria et
ensuite m'attaquer à mon devoir de géométrie, et avec un peu de chance
finir assez tôt pour pouvoir regarder un documentaire sur la biographie de
Marie Curie. Au lieu de ça je me suis retrouvée dans une voiture décapotable,
qui entre parenthèse a sans doute pas le droit de rouler, je suis entrée par
effraction dans un bâtiment pour y voler pas mal de choses en total complicité
avec plusieurs extraterrestres. Bienvenue dans mon monde.

(Dans la voiture de Maria)

(Michael et Maria suivent la jeep. Maria ne quitte pas Michael des yeux)

MICHAEL : Qu'est ce qu'il y a ?

MARIA : Oh, rien. Je m'disais que les choses avaient complètement
changées en un rien de temps. J'veux dire il y a pas si longtemps que
ça j'te connaissais pas et je te voyais comme quelqu'un de... comme quelqu'un
de bizarre, qui pouvait pas être comme les autres, qui savait pas où il allait.
Bien sûr je l'pense toujours ça. Mais... c'que j'ai pas vu tout de suite c'est
qu'il y a une autre personne en toi.

MICHAEL : Tu veux dire que j'viens de...

MARIA : Oh, oui, il y a de ça, c'est clair. Mais j'me suis aussi rendue compte
que derrière toute cette... froideur que tu veux faire passer auprès des autres...
il y a quelqu'un qui est surtout... profondément blessé et vulnérable.

MICHAEL : Ecoute, si tu veux parler de c'qui s'est passé entre nous hier.
C'était rien. On était sur la route. On a discuté et ça s'arête là.

MARIA : Oui, bien sûr... Attends ! Pour toi il s'est réellement passé quelque chose ?

(Chez les Evans)

(Isabel cherche une photo dans un album. Elle la trouve et va voir Max
dans sa chambre)

MAX : Qu'est ce qu'il y a ?

ISABEL : Tu te souviens quand on allait en Floride, aux grandes vacances ?

MAX : Bien sûr. Une fois tu avais eu une insolation et moi je m'étais
cassé le bras en jouant au foot.

ISABEL : Un peu avant ça. C'était sur la plage. On avait dessiné quelque chose
tous les deux. Un symbole. Est-ce que tu t'souviens de ça ?

MAX : Un symbole ?

ISABEL : Oui. On n'l'avait jamais vu mais on savait très bien quelle forme
on devais lui donner sur le sable. Pourquoi connaissait-on ce symbole, Max ?

MAX : Ah, non, mais attends. De quoi est ce que tu m'parles là ?

ISABEL : Tiens, dessine le.

MAX : Quoi ?

ISABEL : Ferme les yeux et dessine le.

MAX : Mais je ne sais même pas...

ISABEL : Tu dois essayer.

(Max ferme les yeux et dessine le symbole. Isabel lui montre la photo du
symbole sur le sable)

MAX : Qu'est ce qui t'a fait penser à ça 

(Isabel montre le médaillon à Max

ISABEL : J'ai trouvé ça chez Atherton.

(Madame Evans arrive dans la chambre)

DIANE : Alors, qu'est ce que vous faites ? Vous n'déjeunez pas ce matin ?

ISABEL : Bonjour.

DIANE : Oh, vous avez l'air épuisé tous les deux. Vous avez dû rentrer tard
je n'ai pas entendu de bruit.

Max : Oui, on n'a pas fait attention à l'heure, il fallait qu'on bosse nos maths.

DIANE : Bien, alors la prochaine fois que vous devrez travailler aussi tard
faites moi plaisir, vous resterez ici. Bon il faut que j'me sauve.
Soyez pas en retard surtout.

ISABEL : D'accord.

DIANE : A ce soir.

ISABEL : On s'en va tout de suite.

(Madame Evans part)

ISABEL : J'ai horreur de lui mentir.

(Le lycée)

(Maria et Liz sont dans les couloirs)

MARIA : C'qui est marrant chez Michael c'est qu'il est bizarre mais
étonnamment intéressant.

LIZ : Intéressant ? Tiens ?

MARIA : Pas intéressant pour moi. C'est évident.

LIZ : Oh, c'est évident, oui.

MARIA : Et puis il ne le sera jamais. Il y a de nombreux obstacles,
ses cheveux, sa personnalité, enfin bref son caractère, quoi.

LIZ : J'me demande c'qui a bien pu se passer dans cette chambre d'hôtel.

MARIA : j'te l'ai déjà dit, absolument rien.

LIZ : C'est vrai ça ?

MARIA : Rien de physique. Remarque on n'a pas beaucoup parlé.
C'qu'on partage tous les deux c'est quelque chose qui ne s'exprime pas.
Ma mère te dirait sûrement que Michael est une espèce de vibrateur.

LIZ : Un vibrateur, mais ?

MARIA : Non j'veux dire quelqu'un qui communique en envoyant une série
de vibrations dans l'atmosphère.

LIZ : Et quelle genre de vibrations ?

MARIA : Des vibrations...

LIZ : Oh ! Voilà Kyle. Il faut que j'aille lui parler.

MARIA : Oh, un revenant. J'te souhaite bien du courage.

LIZ : Et il en faut !

MARIA : Alors on s'retrouve chez Max et Isabel tout à l'heure.

LIZ : Chez Max et Isabel ?

MARIA : Ben, oui. Il faut que... Il faut qu'on révise encore. Michael va passer
me prendre après les cours. Alors ?

LIZ : Oui, oh, oui ! C'est pour réviser.

(Liz rejoint Kyle devant son casier)

LIZ : Bonjour.

KYLE : Miss Texas.

LIZ : Je peux te parler deux minutes ?

KYLE : Je vois pas très bien ce que tu pourrais m'dire.

LIZ : En privé.

(Ils vont dans la remise)

KYLE : Oh, j'connais ici. Ca m'fait drôle de m'retrouver dans cette remise...
avec toi... Notre premier baiser... L'an dernier, avant les vacances.

LIZ : Oui... C'était... une très belle journée.

KYLE : Liz, te fatigue pas !

LIZ : Kyle, je voulais simplement m'assurer que tu allais bien. Que tu n'avais
pas été blessé hier soir.

KYLE : C'est gentil. Et c'est ça dont tu voulais m'parler ?

LIZ : Oui.

KYLE : En privé ?

LIZ : Mm-Hmm

KYLE : Alors, je vais bien.

(Il commence à partir)

LIZ : Non, attends. Je dois aussi m'assurer que tu n'as pas l'intention
d'aller raconter à tout le monde qu'on est partis au Texas, hier soir.

KYLE : Oh, excuse moi ! J'm'étais imaginé que tu t'faisais du souci pour moi.
Qu'est ce que vous êtes aller faire dans cet hôtel ?

LIZ : Désolée je peux pas t'le dire.

KYLE : Donne moi un indice. La drogue ? Vous faites parti d'une secte ? Ou
c'était pour coucher !

LIZ : Arête !

KYLE : Rassures toi, je n'le dirai à personne.

LIZ : Merci.

KYLE : Jusqu'au jour où j'en saurai assez pour le détruire.

(Le bureau de Topolsky et le bureau de Stevens)

(Topolsky fait du yoga en discutant au téléphone avec l'agent Stevens qui
est dans son bureau en train de déjeuner)

TOPOLSKY : Je maîtrise totalement la situation, monsieur.

STEVENS : Agent Topolsky, comprenez vous le sens de la mission qui
vous a été confiée ?

VOIX DE TOPOLSKY (on l'entend dans le téléphone): Oui, monsieur.

STEVENS : Répétez là.

TOPOLSKY : J'vous demande pardon ?

VOIX DE STEVENS : Votre mission répétez-la moi !

TOPOLSKY : J'ai pour mission d'observer les sujets et de déterminer si
les hypothèses émises sur eux sont fondées ou non.

STEVENS : Vous avez oublié quelque chose. « Sous couverture » vous devez
« sous couverture » observer les sujets et déterminer si oui ou non les
hypothèses émises sur eux sont fondées. « Sous couverture ».

TOPOLSKY : J'ai bien agi sous couverture.

STEVENS : Assommer le Shérif c'est agir sous couverture ?

TOPOLSKY : Le Shérif risquait de compromettre mon opération.

VOIX DE STEVENS : Votre opération ?

TOPOLSKY : Notre opération.

STEVENS : Vous vous trompez encore. Ce n'est pas « votre » opération, ni
« notre » opération, mais « mon » opération.

VOIX DE STEVENS : La mienne !...

STEVENS : Je crois qu'un bout de mon sandwich vient de se mettre en travers
de mon oesophage.

VOIX DE STEVENS : Les ordres ont changé agent Topolsky. Désormais vous
devrez les suivre.

STEVENS : Je veux récupérer ce qu'ils ont prit dans cette maison au Texas.
Je veux connaître leurs moindres faits et gestes. Je veux une surveillance
permanente !

VOIX DE STEVENS : Est-ce que c'est clair Topolsky ?

TOPOLSKY : Oui, c'est très clair.

VOIX DE STEVENS : Et ce par n'importe quel moyen !

TOPOLSKY : A vos ordres.

STEVENS : Et ne me faites plus perdre mon temps !

TOPLOSKY : Je me mets au travail.

(Le centre des OVNIS)

(Milton explique des diapositives à des touristes)

MILTON : Ce que vous voyez à l'écran est un véritable morceau de vaisseau
extraterrestre. Ce métal, qui ne correspond à aucun des 92 éléments répertorié
sur notre planète, défie les propriétés de tous les métaux connus jusqu'à
maintenant. Quand on le tord, il reprend sa forme. Et ce, tout seul.
On ne peut pas le fondre. Et rien ne peut...

(Le Shérif Valenti l'interrompt)

SHERIF : Je peux vous voir deux minutes ?

MILTON : Mesdames et messieurs, je vous demande de m'excuser.
Etudiez cette image.

(Ils s'éloignent un peu)

MILTON : Que puis je faire pour vous Shérif ?

SHERIF : Connaissez vous un certain James Atherton ? Il a écrit sur
les extraterrestres.

MILTON : Il a été un des premiers à parler du crash de 47... Enfin s'il y a
eu un crash. Il est l'auteur de plusieurs livres dont « parmi nous » publié en 55.

SHERIF : Vous n'savez pas s'il est encore en vie ?

MILTON : C'est... C'est c'qu'on s'demande. Il a disparu.

SHERIF : Disparu ?

MILTON : Evanoui de la surface de la Terre. Et on pense qu'il allait faire
d'importantes découvertes un peu avant sa disparition. Contact direct, ce
genre de chose. La légende dit qu'il aurait été enlevé par des extraterrestres,
il a disparu en 59.

SHERIF : En 59 !

MILTON : Shérif. En tant que citoyen et passionné d'extraterrestres,
je m'permets de vous demander... Qu'est ce qui s'est passé ?

(De la fumée sort de rétroprojecteur)

SHERIF : Je crois qu'il va y avoir le feu.

MILTON : Hein ? Oh, oh ! Restez assis mesdames et messieurs, restez assis.

(Le bureau du Shérif)

(Le Shérif est assis à son bureau, il sort le livre et la photo du cadavre
d'Atherton. Il compare avec la photo d'Atherton à la fin du livre.
On frappe à la porte)

SHERIF : Oui ?

OWEN : Shérif, y a une urgence.

(Dans la jeep)

(Max, Isabel et Michael vont chez les Evans)

MICHAEL : Dites donc, il va y avoir pas mal de boulot, hein ?...
Avec les dossiers.

MAX : On fera ça petit à petit.

MICHAEL : Tous les trois ?

MAX : Ouais, tous les trois.

MICHAEL : Bien. J'dis ça parce qu'y a peut-être des personnes qui
voudront nous aider.

ISABEL : Tu parles de quelles personnes ?

Michael : Ben l'autre, là, Maria.

ISABEL : Je vois à peu près qui c'est.

MICHAEL : Mais si ça doit être que nous trois.

MAX : Ce serait mieux, oui.

MICHAEL : Oui je suis de ton avis. Mais... je lui ai dit qu'on passerait la prendre.

ISABEL : Michael !

MICHAEL : C'est elle qui s'est imposée. Elle a un truc c'est vrai. Elle est
vraiment magnétique cette fille. Elle envoie des vibrations, je sais pas...

MAX : Pas question qu'elle examine c'qu'on a trouvé. Y aura nous trois
c'est tout.

MICHAEL : D'accord. D'ailleurs, je vais l'appeler. T'as ton téléphone ?

ISABEL : Tiens mais la laisse pas parler trop longtemps sinon j'vais encore
dépasser mon forfait.

(La sirène de la police retentit devant la maison des Evans)

ISABEL : Qu'est ce qu'il se passe ?

MAX : On ferait mieux d'aller voir. Michael, tu descends.

ISABEL : Attends. Tu es sûr qu'on doit y aller ?

MAX : C'est notre maison, on n'a pas vraiment le choix.

MICHAEL : J'aime pas ça du tout.

MAX : Bon, ben on s'rejoint au café tout à l'heure.

(Michael descends, Max et Isabel arrivent devant chez eux. Le Shérif Valenti
s'approche d'eux)

SHERIF : Monsieur Evans, Isabel. J'ai une bien mauvaise nouvelle à vous annoncer.

(Chez les Evans)

(Max et Isabel rejoignent leur mère)

ISABEL : Maman.

DIANE : Oh, Isabel. Oh, Max. Oh les enfants nous avons été cambriolés.

ISABEL : Le Shérif nous a dit.

DIANE : C'est affreux.

ISABEL : Quand est ce que ça c'est passé ?

DIANE : Sans doute dans la matinée. Je... je passais à la maison pour
déjeuner et quand je suis arrivée tout était ouvert.

MAX : Ca va ?

DIANE : Oui. Je suis un peu sous le choc.

MAX : Qu'est ce qu'ils ont pris ?

DIANE : Oh, la télévision, la chaîne. Je n'suis pas encore montée dans l
es chambres. J'ai appelé votre père. Il va arriver.

ISABEL : Tu n'as qu'à l'attendre. On va monter.

(La chambre de Max)

Max : Plus rien.

ISABEL : Oh, c'est pas vrai. C'est pas pour la télé qu'on nous a cambriolé.
Quelqu'un savait c'qu'on avait et il le voulait.

(Le Shérif arrive)

SHERIF : Désolé. Oh, ce doit sûrement être terrible de retrouver sa maison
dans un état pareil. Une vraie violation.

ISABEL : Ouais.

SHERIF : Alors ? Qu'est ce qu'ils ont pris ici ?

MAX : On a regardé, apparemment il manque rien.

SHERIF : C'est bizarre. Cette pièce a encore été plus fouillée que
le reste de la maison. Comme s'ils cherchaient quelque chose de précis.

MAX : Mais ils n'ont rien pris j'vous dit ?

SHERIF : Et vous, votre chambre ?

ISABEL : Je n'suis pas allée voir encore.

SHERIF : Vous allez voir dans la chambre de votre frère avant d'aller voir
dans la votre ? Comment ça se fait ?

DIANE : Shérif, excusez moi mais pourquoi interrogez vous mes enfants ?
Nous sommes des victimes, non ?

SHERIF : Navré de vous contredire mais je n'veux interroger personne.
Je veux seulement  veiller à ce que notre enquête soit correctement menée.
Quelquefois même les détails les plus insignifiants peuvent être importants.

DIANE : Bien sûr. Oui, j'comprends. Je suis désolée.

ISABEL : J'vais aller voir dans ma chambre.

(La chambre d'Isabel)

AGENT OWEN : Mademoiselle ? Excusez moi, je devais prendre votre
déposition mais je repasserai.

ISABEL : Merci.

(L'agent Owen remarque le pendentif d'Isabel)

AGENT OWEN : Ou avez-vous eu ça ?

ISABEL : Au centre commercial. J'aime bien tout ce qui est rétro.
Pourquoi ?

AGENT OWEN : La dernière fois qu'j'ai vu une chose comme celle là
c'était à la réserve indienne.

ISABEL : Ah oui... Ca veut dire que ça marche bien alors.

AGENT OWEN : Oui.

ISABEL : C'était quelle réserve ?

AGENT OWEN : La réserve de Mesaliko, où j'ai grandi. C'est à la sortie d'la ville.

(Le Crashdown)

(Michael entre dans le Crashdown par la porte de derrière et percute Maria)

MICHAEL : Ne refait plus jamais ça.

MARIA : Qu'est ce que j'ai fait encore ?

MICHAEL : Tu m'as fait peur.

MARIA : Je t'ai fait peur ?

MICHAEL : Oui. Isabel et Max sont arrivés ?

LIZ : Non, pourquoi ils devaient venir ?

MAX : Il faut qu'on aille quelque part. Pour parler.

(Le salon des Parker)

MICHAEL : Je n'peux pas dire à coup sûr que j'étais suivi. C'ést une
impression, c'est tout.

MAX : De quoi il avait l'air ?

MICHAEL : J'crois qu'il portait un costume. 30 - 35 ans. Grand, cheveux brun.
Il avait l'air bizarre, ça j'en suis certain.

MAX : Quand on s'est arrêté en allant au Texas il y avait un homme.
Peut-être qu'il nous suivait. Sur le coup j'ai rien dit pour ne pas vous inquiéter.

ISABEL : Ca fait beaucoup de choses en peu de temps. On nous a cambriolé,
on nous a peut-être suivi... Tout ça c'est trop réel.

MAX : Ne t'inquiète pas

(Michael regarde le pendentif d'Isabel)

ISABEL : Quoi ?

MICHAEL : Je connais ça. Comment ça se fait ?

MAX : Tous les trois on l'connait. Ca remonte à notre passé.

ISABEL : C'est bizarre, hein ? J'l'ai trouvé chez Atherton.

LIZ : Ca veut dire quelque chose.

ISABEL : L'adjoint du Shérif, celui qui est d'origine indienne, m'a dit qu'il
l'avait vu à la réserve de Mesaliko.

(Michael regarde Max du genre : allons y !)

MAX : Non, non, non, non. Pas question d'y aller pour l'instant. On n'peut
pas se permettre de prendre des risques.

MICHAEL : Max. Il faut qu'on y aille.

MAX : Non, on va nulle part. On va attendre.

(Le lycée)

(Le Shérif frappe et entre dans le bureau de Topolsky)

TOPOLSKY : Oui ?

SHERIF : Je n'vous dérange pas, j'espère.

TOPOLSKY : Pas du tout Shérif. Je vous en prie. Alors, que puis je
faire pour vous ?

SHERIF : Il me faudrait votre avis sur une affaire récente.

TOPOLSKY : Je vous écoute. De quoi s'agit-il ?

SHERIF : Et bien, il y a eu un cambriolage, chez Max et Isabel Evans,
hier matin.

TOPOLSKY : Personne n'a été blessé ?

SHERIF : Non, non, heureusement il n'y avait personne. Je suis
simplement venu vous demander...

TOPOLSKY : Mon emploi du temps, Shérif ?

SHERIF : Oh, bien sûr que non. Non, je voulais savoir si vous n'aviez
pas eu des problèmes avec certains étudiants.

TOPOLSKY : Oh, j'avoue que je vois mal un des élèves faire une chose pareille.

SHERIF : Oui. C'était à tout hasard. Vous connaissez bien tous
les élèves de ce collège.

TOPOLSKY : Oui, c'est mon métier.

SHERIF : Je crois savoir que vous êtes quelqu'un qui prend son travail
très au sérieux. Il vous suit partout, même quand il vous arrive de
prendre la route. Je me suis levé avec un mal de tête ce matin.

TOPOLSKY : Votre travail vous donne des migraines ?

SHERIF : Peut-être. Merci mademoiselle.

(Chez les Evans)

(Max entend frapper à la fenêtre de sa chambre. Il va l'ouvrir)

MAX : Michael, j'ai dit non... C'est toi, qu'est ce que tu fais là ?

LIZ : J'peux entrer ?

MAX : Oui, bien sûr.

(Liz enjambe la fenêtre mais perd l'équilibre. Elle tombe dans les bras de Max)

LIZ : Oh !

MAX : Alors, qu'est ce que tu veux ?

LIZ : J'n'en ai pas parlé tout à l'heure parce que sinon j'étais sûre que
quelqu'un d'autre se serait proposé. Voilà... J'ai l'intention d'aller à la réserve.

MAX : Non, pas question. Nous sommes surveillés.

LIZ : Mais peut-être que vous n'êtes pas simplement surveillés.
Ca cache sans doute autre chose. Hier matin ils sont venus pour
les dossiers. La prochaine fois ce sera peut-être pour vous. S'il y a un indice
là-bas... la moindre possibilité de comprendre ce qui se passe... 
il n'y a pas a hésiter.

MAX : J'te remercie pour ton offre. Mais c'est non.

LIZ : Max, tu m'as sauvée la vie.

MAX : Et alors ? Ca n'a rien à voir.

LIZ : Si. Tout a commencé ce jour là. Les soupçons et le reste.
S'il t'arrivait quelque chose, à toi, et... à Michael ou Isabel je crois que...
je m'en voudrais jusqu'à la fin.... Laisse moi au moins faire ça.

MAX : J't'ai déjà dit non.

LIZ : Mais je n'suis pas venue te demander ta permission. Je suis venue
pour le pendentif. Si tu ne me le donnes pas, je l'dessinerai....
Comme tu voudras.

MAX : Liz ! Je veux que tu me promettes qu'au moindre problème,
n'importe lequel, tu reviendras.

(Il lui donne le pendentif)

LIZ : Je te l'promets.

(La réserve indienne de Mesaliko)

(Liz arrive à la réserve de nuit. Elle s'arrête devant un stand de
babioles tenu par une vendeuse indienne)

VENDEUSE : Un bien joli bracelet pour une bien jolie fille.

LIZ : Oh ! Oui, c'est vrai qu'il est joli. Mais en fait c'que je recherche
c'est quelque chose qui ressemble à ça. Je voulais savoir si vous aviez
déjà vu ce symbole ou si saviez c'que ça veut dire ?

VENDEUSE : Ca représente... l'arbre de la connaissance.

LIZ : Oh, je vois.

VENDEUSE : Non, en fait je n'sais pas c'que ça signifie. J'vous dis des bêtises.
Mais il a l'air ancien.

LIZ : Oui, c'est...

(Un vieil indien (River Dog) attrape le bras de Liz et regarde le pendentif)

LIZ : Est-ce que vous... connaissez... ce symbole ?

(Il part)

LIZ : C'était qui ?

VENDEUSE : Il vaut mieux ne pas l'approcher.

LIZ : Il y a quelqu'un ? Répondez.

(Liz se dirige vers la voiture. River Dog lui attrape le bras encore une fois)

RIVER DOG : Donnez moi ça.

LIZ : Qui êtes vous ?

RIVER DOG : Mademoiselle, s'il vous plaît.

(Liz lui donne le pendentif)

RIVER DOG : Ou est ce que vous avez eu ça ?

LIZ : On l'a trouvé.

RIVER DOG : Qui on ?

LIZ : Non. Je l'ai trouvé.

RIVER DOG : Qui d'autre le sait ? Combien êtes vous ? Dites moi ?

LIZ : Personne d'autre ne le sait.

RIVER DOG : Vous n'êtes pas venu par là-bas par hasard.
Est-ce qu'on vous a suivie ?

LIZ : Non, je suis sûre que non... Qu'est ce que ça représente pour vous ?
Que veut dire ce symbole ? S'il vous plaît.

(River Dog lui rend le pendentif)

RIVER Dog : Le danger... Une mort certaine.

(Le Crashdown)

(Liz est en train de servir au comptoir quand un client vient lui parler)

LIZ : Je peux vous renseigner ?

EDDIE : Je voudrais goûter la spéciale peau rouge.

LIZ : Oh ! Ça fait des mois qu'on veut retirer cette formule du menu.

EDDIE : C'est très aimable. Mon peuple en sera ravi. Je m'appelle Eddie.

LIZ : Oui. Et moi Liz.

EDDIE : J'ai un message. De la part du vieil indien.

(Eddie sort le morceau manquant du pendentif Liz sort le morceau
qu'elle possède. Ils s'assemblent)

EDDIE : Il vous attend à 10 heures ce soir.

LIZ : Ce soir ?

EDDIE : Vous viendrez seule.

LIZ : Euh, où ça ?

EDDIE : A la réserve. Quelqu'un vous rejoindra.

(Dans les rues de Roswell)

(Michael, Max et Isabel roulent dans la ville. Ils vérifient souvent s'ils
sont suivis par une voiture qu'ils ne connaissent pas)

MAX : Il nous suit toujours ?

MICHAEL : Euh, j'en sais rien. Oui, je crois.

ISABEL : Je me demande si je rêve. Je voudrais tellement que tout
redeviennes comme avant.

MICHAEL : J'te dis que ton plan est mauvais.

MAX : Et moi je te dis que ça va marcher.

MICHAEL : Et moi je sers de pion ? Pourquoi j'irai pas le voir cet indien ?

ISABEL : Michael, tu te calmes, d'accord ?

(Ils déposent Max au bord de la route vers Liz et repartent pour
essayer de semer Topolsky)

MAX : Allons y.

ISABEL : Fonce ! Vas y !

MICHAEL : C'est bon j'y vais.

(Max et Liz sortent du bâtiment par derrière. Ils sont sensés retrouver
la voiture de Maria qui n'est pas là)

MAX : Liz ?

LIZ : Elle va arriver. Ne t'inquiète pas.

MAX : Je suis pas inquiet.

ISABEL : Un vrai cauchemar.

MARIA : Vraiment, je suis désolée. Ma mère était chez son acuponcteur
et elle est sortie en retard.

LIZ : C'est pas grave, ça va aller.

(Topolsky, qui a perdu la trace de Michael et Isabel, se gare sur un
parking et le Shérif s'arête derrière elle)

SHERIF : Vous avez perdu quelque chose ?

TOPOLSKY : Et vous ça vous arrive souvent de poursuivre des voitures
en dehors de votre service ?

SHERIF : Surtout quand elles brûlent des feux rouges, quelles ne respectent
pas les stops et quelles roulent bien au delà de la vitesse limitée en agglomération. Mademoiselle Topolsky, il n'y a pas qu'en paroles que vous avez violé la loi.

TOPOLSKY : Je vais essayer de le prendre avec le sourire.

SHERIF : Si je voulais, je pourrai vous emmener, vous garder toute la nuit,
et j'en profiterai pour me mettre au travail et effectuer des recherches
sur la nouvelle conseillère d'orientation, pour savoir ce qu'elle fait ici.
A moins que nous allions en discuter tous les deux.

(La réserve indienne)

(Liz et Max arrivent à la réserve)

MAX : Ou est ce qu'on va ?

LIZ : Il m'a dit de revenir ce soir. C'est tout c'qu'il a dit.

EDDIE : Qui c'est celui là ?

LIZ : Oh ! C'est mon copain.

EDDIE : J'vous avais dit de venir seule. C'était convenu.

LIZ : Oui, je sais. Mais, c'est très important pour lui aussi.

EDDIE : Désolé.

LIZ : Attendez, vous ne pouvez pas vous en aller.

EDDIE : Et pourquoi ?

MAX : Parce que je connais ce symbole. Il représente quelque chose
pour moi.

LIZ : Je vous en prie, c'est important.

EDDIE : Vous passerez un test. Si jamais vous le réussissez,
River Dog répondra à toutes vos questions.

LIZ : Faut y aller.

EDDIE : Alors, vous venez ?

(Le Crashdown)

(Michael, Maria et Isabel attendent le retour de Max et Liz)

MICHAEL : Qu'est ce qu'on fait ?

ISABEL : On attend. Ca fait à peine une heure qu'ils sont partis.

MICHAEL : Et moi j'vous dis qu'ce plan est foireux. Là bas il peut
leur arriver un tas de trucs et il faudrait que je reste là avec deux filles
qui parlent sans arrêt.

MARIA : Intéressant. Michael, sais tu que certaines femmes des
années 2000 pourraient trouver cette remarque quelque peu... offensante.

MICHAEL : Pourquoi ?

(Michael se sert une part de gâteau et l'arrose de Tabasco, il en
donne une part à Isabel)

MARIA : Pourquoi ?

ISABEL : Bienvenue à Michael Land.

MARIA : J'espère que tu vas l'payer tout ça.

MICHAEL : Non, pourquoi ?

MARIA : Parce que c'est du vol, voilà pourquoi.

MICHAEL : Arête-moi.

MARIA : Et... Pourquoi est ce que tu mets autant de sauce ?

MICHAEL : C'es sucré et épicé.

MARIA : Sucré et épicé.

ISABEL : On aime les choses extrêmement sucrées mélangées
avec des choses très épicées. Un petit péché de gourmandise.

MARIA : Bien... Je tacherai de pas l'oublier.

MICHAEL : S'il te plaît.

ISABEL : Parce que vous deux. Oh, il pouvait rien m'arriver de pire.

(La forêt à coté de la réserve indienne)

LIZ : Eddie. Est-ce que... est ce que c'est encore loin ?

EDDIE : On arrive.

LIZ : Max, ça m'plait pas du tout cette histoire. Ca fait plus d'une heure
qu'on marche.

MAX : Eddie, bon, vous nous emmenez où exactement ?

EDDIE : C'est ici.

LIZ : Où on est ?

EDDIE : Bonne chance.

LIZ : Non, Eddie attendez. Vous n'pouvez pas nous laisser ici.

MAX : Eh ! Oh, Eddie !

LIZ : Oh non. Qu'est ce qu'on va faire.

MAX : Merci Eddie.

LIZ : Oh ! On sait même pas ou on est. Max, Max, regarde.

(Liz a trouvé l'entrée d'une caverne)

MAX : T'as entendu ?

LIZ : Aah !

(Liz disparaît dans le noir de la caverne)

MAX : Liz ?

LIZ : Lâchez-moi.

MAX : T'es où ? Liz ?

LIZ : Aah !

(Max utilise ses pouvoirs pour créer une boule de lumière)

MAX : Lâchez-la ! Qui êtes vous ?

RIVER DOG : Vous avez bien réussi le test.

(Un bar de Roswell)

SHERIF : J'n'en reviens pas d'vous voir accoudée à un bar.

TOPOLSKY : Pourquoi ?

SHERIF : Vous avez l'air d'être saine de corps et d'esprit. Le genre de
femme qui fait du sport et qui s'fourni au rayon diététique.

TOPOLSKY : Ca fait combien de temps que vous me suivez ?

SHERIF : Disons un certain temps.

TOPOLSKY : Et qu'avez-vous remarqué d'inhabituel ?

SHERIF : A part que vous êtes du FBI et que vous bossez sous
couverture au collège de Roswell... Pas grand-chose. Si ce n'est que
vous avez la main lourde et que j'ai bien failli perdre connaissance.
Heureusement que j'ne suis pas trop sensible.

TOPOLSKY : Vous êtes sûr ? Il me semble qu'un homme qui passe
presque tout son temps à faire oublier les erreurs de son père fait preuve
d'une grande sensibilité.

SHERIF : À votre place j'éviterai de m'occuper des erreurs qu'a pu faire mon
regretté père, agent Topolsky. Vous en avez commis quelques unes vous aussi.

TOPOLSKY : Quelles erreurs ?

SHERIF : Par exemple celle qui consiste à ne pas avoir réussi a les appréhender.

TOPOLSKY : Qui ?

SHERIF : Ceux que vous poursuiviez. Et, autre erreur. La police locale vous a
tout de suite repérée.

TOPOLSKY : Oui, euh. Mais peut-être que notre tactique est mauvaise

SHERIF : C'est fou comment on peut reconnaître ses erreurs une fois qu'on
s'aperçoit qu'on a plus de couverture. Enfin. Je tenais à faire cette petite mise
au point avant d'appeler vos supérieurs et leurs dire tout ce qui s'est passé.

TOPOLSKY : Shérif. Si jamais mes déboires arrivent aux oreilles de mes
supérieurs, ils me remercieront. Et ça n'vous donnera rien. Alors qu'il y a
sûrement un moyen de s'arranger ?

SHERIF : Je n'vois pas de quoi vous parlez mademoiselle Topolsky.

TOPOLSKY : Je pense avoir des renseignements qui vous intéresseraient.
Et vous avez des renseignements que j'aimerai avoir.
Pourquoi ne pas les échanger ?

SHERIF : Ca mérite que j'y réfléchisse.

(La caverne)

RIVER DOG : J'ai connu quelqu'un comme vous, un jour. Je ne savais pas
d'où il venait ni pourquoi il était ici. C'était quelqu'un de très réservé.
Mais petit à petit il s'est lié d'amitié avec tout le monde, y compris avec moi.

MAX : Savez vous où on peut le trouver ?

RIVER DOG : Je n'l'ai pas revu depuis 40 ans. Mais le seul en qui il avait
confiance, c'était Atherton. L‘homme lui avait donné le pendentif,
celui que vous détenez.

MAX : Que lui est il arrivé ?

RIVER DOG : Atherton a été assassiné.

LIZ : Qui l'a tué ?

RIVER DOG : L'homme l'a tué.

MAX : Peut-être qu'il a fait ça pour se défendre. Atherton était
passionné par les ovnis. Il a dût vouloir révéler l'identité de cet homme.

RIVER DOG : J'étais trop loin pour voir ce qu'il se passait. Mais quand
je les ai rejoint Atherton était mort.

LIZ : Ca s'est passé quand ?

RIVER DOG : En novembre 1959.

LIZ : Max.

RIVER DOG : Je voudrai vous montrer autre chose. Suivez moi.

(Le Crashdown)

(Maria est anxieuse parce que Max et Liz ne sont toujours pas rentrés)

MARIA : C'est trop long j'te dis. C'est pas normal.

MICHAEL : Tu recommences.

MARIA : On devrait y aller.

MICHAEL : Ils vont nous suivre.

MARIA : Qu'est ce que tu proposes 

MICHAEL : On attend.

MARIA : J'comprends pourquoi Isabel est partie. T'es totalement
incapable de gérer ce genre de situation

MICHAEL : Ils nous ont dit de rester là et d'attendre qu'ils reviennent.
Alors je fais c'qu'on m'dit, et j'évite de craquer contrairement à toi

MARIA : Je suis pas en train d'craquer.

MICHAEL : Ca fait plus d'une heure que tu vides du sucre en poudre
pour le remettre ailleurs. Alors tu arêtes parce que ça m'prends la tête.

MARIA : J'attends que tu dises quelque chose, que tu parles.

MICHAEL : Mais qu'est ce que tu veux qu'je dise ?

MARIA : J'en sais rien moi. T'as qu'à dire n'importe quoi pour que j'me
calme pour me faire croire que ça va bien se terminer.

MICHAEL : Ah mais peut-être que ça se terminera mal

MARIA : Merci, ça m'rassure ça.

MICHAEL : Qu'est ce que j'dois faire alors ?

MARIA : Je n'sais pas moi.

MICHAEL : Alors arête de parler

MARIA : Oh, arete j'te deteste.

MICHAEL : Moi aussi.

MARIA : Ecoute. Tout c'que j'te demande c'est que t'essayes au moins
de me rassurer. T'es un mec ou pas ? Faudrait savoir ! Ca fait rien
laisse tomber, j'me suis trompée une fois de plus

(Michael se rapproche d'elle et l'embrasse)

MICHAEL : C'était pour te calmer

MARIA : Merci.

(Michael et Maria partent chacun dans une direction opposée du Crashdown)

(La caverne)

MAX : C'est lui qui a dessiné ça ?

RIVER DOG : Oui, il disait que vous viendriez un jour.

MAX : Ca m'dit quelque chose. Comme si je savais c'que ça signifie.
Mais j'me rappelle pas

LIZ : C'est sûrement une espèce de langage.

RIVER DOG : Il avait peur qu'ils viennent le tuer.

MAX : Qui ça « ils » 

RIVER DOG : Je n'sais pas. Il sentait qu'ils allaient bientôt arriver,
alors il est reparti. Je lui ai promis de ne jamais révéler ces informations
sauf à ceux qui réussiraient le test.

MAX : Est ce qu'il y en a d'autres qui l'ont réussi

RIVER DOG : Non. Personne

MAX : C'est sûrement un message. Un message qui nous est adressé.
Peut-être une mise en garde

RIVER DOG : Je n'sais pas. Il est temps que vous partiez.

MAX : On pourra revenir ?

RIVER DOG : J'ai tenu ma promesse. Je n'peux rien vous dire de plus.
Et vous n'apprendrez rien d'autre.

(Max et Liz commencent à partir quand River Dog retient Liz)

RIVER DOG : Non, attendez. Vous n'êtes pas l'un d'eux.

MAX : Liz.

RIVER DOG : Assurez vous qu'il mérite votre confiance

MAX : Viens.

 

Fin de l'épisode

River dog

 

(Start off with the same scene from the end of previous episode)

(Michael is rummaging through the small room grabbing papers and stuffing them into a box)

MICHAEL: Whoever's up there looking for us isn't gonna stop until they find us. I'm gonna find out everything I can before they do.

(Maria and Liz observe a rat crawling around in the room and Liz finds a tunnel leading out of the room)

LIZ: Max. Max.

(Everyone starts to leave through the tunnel)

LIZ: Come on! Come on!

MAX: Go, go, go, go, go.

(Isabel is drawn to a necklace and is lost in deep thought for a brief moment)

MAX: Isabel! Isabel!

(Isabel grabs the necklace and goes into the tunnel. Everyone gets into the jeep and the jeep drives off just as Topolsky's head pops up at the tunnel exit)

(Opening credits)

VOICEOVER: All logic is gone. Here were my plans last night - finish my shift, dinner with the parents, half hour of talking to Maria on the phone, then dive into this issue I've been having with geometry, and hopefully finish in time to watch this A&E biography on Madame Curie. Instead, I took off in an open-air vehicle that probably shouldn't be allowed on the road to begin with, broke into a house, essentially stole things from it, and engaged in general bonding with aliens. Welcome to my world.

(Michael and Maria are driving back in Maria's car)

MICHAEL: What?

MARIA: No, it's just kind of funny how surprising things can get. All this time that I've known you, I've just always thought of you as, like, this guy, you know. Like this weird guy from the other side of the tracks going nowhere in life, which, of course, you know, you still are that but...what i didn't realize was that there's this whole other side to you.

MICHAEL: What, that I'm from--

MARIA: Well, clearly there's that, but putting that aside, underneath that, um, weird, poorly bathed exterior, there's, like, this whole...deeply wounded, vulnerable guy.

MICHAEL: Listen, all right, in terms of what happened yesterday between us, that was just we were on the road. All right, we talked. That's all over.

MARIA: Of course. Wait. You think something happened between us?

(Isabel searches through old photo albums and picks out a photo)

MAX: What is it?

ISABEL: You remember when Mom and Dad took us to Florida that summer?

MAX: Sure. You had sunstroke all of August, and I sprained my ankle on the shuffleboard court.

ISABEL: Before that. We were on the beach one day, and we drew this thing in the sand, this symbol together. Do you remember that?

MAX: Symbol?

ISABEL: Think. We had never seen it before, but somehow we drew it together. We both knew what it was supposed to look like. Why did we both know that symbol, Max?

MAX: Isabel, what is this all about?

ISABEL: Draw it.

MAX: What?

ISABEL: Close your eyes and try to draw it.

MAX: But I don't remember it.

ISABEL: Draw it.

(Max draws the symbol and Isabel shows him the photo she picked out from the photo album, which matches his drawing)

MAX: What made you think of this?

ISABEL: I found this at Atherton's house.

(Isabel shows Max the necklace which also has the same symbol on it)

MRS. EVANS: Hey! Where is everybody? You kids ready for some breakfast?

ISABEL: Morning.

MRS. EVANS: You two look exhausted. How late were you last night? I didn't even hear you come in.

MAX: Sorry. We lost track of the time cramming for that math midterm.

MRS. EVANS: Well, just do me a favor, huh? The next time you're studying that late, will you do it here? Ok, let's get a move on. I don't want you to be late for school.

ISABEL: Ok, we'll be right down. I hate lying to her.

(Maria and Liz talking at school)

MARIA: The thing about Michael is that he's weird but surprisingly interesting.

LIZ: He's interesting?

MARIA: Not interesting for me, obviously.

LIZ: Oh, yes, obviously.

MARIA: I mean, it can never be. There's a number of obstacles. His hair, his personality, the fact that he was hatched.

LIZ: Can you please tell me what happened in that motel room?

MARIA: I told you, Liz, nothing happened.

LIZ: Are you sure?

MARIA: Nothing physical, although it wasn't very verbal, either. What Michael and I share, well, it's non-verbal. Michael is the type of person my mom likes to refer to as a vibrator.

LIZ: A vibrator.

MARIA: You know what i mean. Someone who communicates by, you know, sending vibes out into the atmosphere.

LIZ: What kind of vibes was he sending you?

MARIA: Vibes that are, you know...

LIZ: Oh, I have to go talk to Kyle.

MARIA: Oh, the stalker. Good luck with that, Lizzy.

LIZ: Thank you.

MARIA: So, um, I guess I'll see you at Max and Isabel's later.

LIZ: Um, Max and Isabel's?

MARIA: Yeah, you know, to go through the files. Michael said they'd pick me up after school, so...

LIZ: Oh. Uh, yeah, I will be there.

(Liz walks over to Kyle's locker)

LIZ: Hi.

KYLE: Miss Texas.

LIZ: Can I talk to you for a second?

KYLE: I can't imagine what you'd want to talk to me about.

LIZ: In private.

(Liz and Kyle go into the janitor's closet)

KYLE: Oh, this is weird. To be in here in the janitor's closet. It's, um, ironic. Our first kiss.

LIZ: Oh.

KYLE: Last day of school last year.

LIZ: Yeah. That was, um...that was a great day.

KYLE: Liz, don't even try.

LIZ: Kyle, I just wanted to make sure you were ok. That you didn't get hurt last night.

KYLE: I see. So that's what you wanted to speak to me about?

LIZ: Yes.

KYLE: In private.

LIZ: Mmm-hmm.

KYLE: Well, I'm ok.

(Kyle starts to leave)

LIZ: No, Kyle. Um...I just need to make sure that you're not planning on telling anybody about...about where we were that day.

KYLE: Oh, I see. And here I was thinking you were just concerned about me. Liz, what the hell were you doing out there last night?

LIZ: I can't talk about it.

KYLE: Just gimme a hint. Is it drugs? You part of some cult, or is it just about sex?

LIZ: Kyle...

KYLE: Don't worry. I...I won't tell anyone.

LIZ: Thank you.

KYLE: Not until I have something on him that will destroy him.

(Topolsky is exercising while talking with Agent Stevens of the FBI)

TOPOLSKY: Things are very much under control, Sir.

STEVENS: Agent Topolsky, do you understand the assignment that was given to you?

TOPOLSKY: Yes, sir, I do.

STEVENS: Repeat it.

TOPOLSKY: I'm sorry?

STEVENS: Your assignment. Repeat it to me.

TOPOLSKY: The assignment is to observe the subjects and determine whether or not the theories about them are substantiated.

STEVENS: You're forgetting something, Agent. The word covertly. To covertly observe the subjects to determine whether or not the theories about them are substantiated. Covertly!

TOPOLSKY: I've been acting covertly.

STEVENS: Drop-kicking the sheriff. You call that covertly?

TOPOLSKY: The sheriff was endangering my operation.

STEVENS: Your operation?!?

TOPOLSKY: Our operation.

STEVENS: Wrong again, Agent. Not your operation. Not our operation. My operation! Mine! I think I have a piece of my bagel permanently lodged in my esophagus. New orders, Agent Topolsky. See if you can follow 'em this time. Whatever those kids took from that house, I want it. Get it. Whatever those kids are doing right now, I want to know about it. Do you understand, Agent Topolsky?

TOPOLSKY: I understand.

STEVENS: By any means necessary, Agent.

TOPOLSKY: Yes, sir.

STEVENS: Don't waste my time, Agent!

TOPOLSKY: I'm all over it.

(Max's Boss, Milton, is talking about UFO spacecraft at the UFO Center)

MILTON: You are now looking at an actual piece of an alien spacecraft. This metal, which matches none of the 92 trace elements known on the planet, defies the properties of all metals known to man. When bent, it bends back...on its own. It cannot be melted. Nor does it have--

SHERIFF: Can I talk to you for a second?

MILTON: Uh, ladies and gentlemen, I'll be right back with you. Um, study this slide.

MILTON: How can I help you, sheriff?

SHERIFF: You know a guy named James Atherton? Wrote about aliens?

MILTON: He was one of the first to publish on the '47 crash. Alleged crash. He authored several books, most notably "Among Us", published in 1955.

SHERIFF: You wouldn't happen to know if he's still alive?

MILTON: That's, uh, anyone's guess. Disappeared.

SHERIFF: Disappeared?

MILTON: Vanished right off the face of the earth. Supposedly he was on to some amazing discoveries right before his disappearance. Direct contact. That sort of thing. Legend has it that he was abducted by aliens. He disappeared in 1959.

SHERIFF: '59?

MILTON: Sheriff, as a concerned citizen and as an extraterrestrialist, I'm compelled to ask. What's this all about?

SHERIFF: I think your slide's on fire.

MILTON: Oh, oh! Stay seated, please. Please stay seated.

(Sheriff takes out the picture of the corpse from 1959 that he hid under his desk and compares it to the picture of Atherton in the "Among Us" book, when Deputy Owen knocks on the door)

SHERIFF: Yeah?

OWEN: Sheriff, we have a situation.

(Max, Isabel, and Michael in jeep heading to Evans home)

MICHAEL: So there's kind of a lot of stuff to go through, huh?The files.

MAX: We'll do it piece by piece, the 3 of us.

MICHAEL: The 3 of us...right. 'Cause there's some other people that might wanna help out with that stuff.

ISABEL: Some other people?

MICHAEL: Yeah, you know, that Maria girl.

ISABEL: That Maria girl?

MICHAEL: But it should just be the 3 of us.

MAX: Probably.

MICHAEL: Yeah, that's what I figured. Actually, I sort of told her we were gonna pick her up.

ISABEL: Michael!

MICHAEL: You know, she pushed it. She's got this whole thing. She's a real vibrator. She sends out these vibes. It's...

MAX: Michael, she can't come look through the stuff. It's us, that's all.

MICHAEL: I know. I know. I'll call her. Do you have your phone?

ISABEL: Fine, but don't let her blather too long, ok, because I'm desperately low on minutes.

(There's a lot of commotion outside the Evans home)

ISABEL: What's going on?

MAX: We'd better go find out. Michael, get out of here.

ISABEL: Wait. Are you sure we should go in there?

MAX: It's where we live. We don't have any choice.

MICHAEL: Nah, I don't like this.

MAX: We'll meet you at the Crashdown later.

(Michael takes off)

SHERIFF: Mr. Evans. Isabel. I'm afraid i've got some bad news for you.

ISABEL: Mom.

MRS. EVANS: Oh, Izzie. Max. Kids, they robbed the house.

ISABEL: The sheriff told us. When did it happen?

MRS. EVANS: This morning, I guess. I stopped at the house on my lunch break, and whoever did it was already gone.

MAX: Are you ok?

MRS. EVANS: Yeah, just a bit shaken.

MAX: What did they take?

MRS. EVANS: The tv, the stereo. I haven't even checked the bedrooms yet. I called your dad. He's on his way.

ISABEL: We're gonna go check our rooms.

(Max checks for the files they took from Atherton's dome)

MAX: Gone.

ISABEL: Oh, my God. They didn't come for the TV, did they, Max? Someone knew what we had here. Someone wanted it.

SHERIFF: Sorry. Wow, I can only guess what it must be like to have your house broken into like this. A real violation.

ISABEL: Yeah.

SHERIFF: So what'd they take from in here?

MAX: Actually, nothing seems to be missing.

SHERIFF: That's odd. This place has been ransacked worse than the rest of the house. Almost as if they were looking for something.

MAX: They didn't take anything.

SHERIFF: How about from your room?

ISABEL: I haven't, um, looked there yet.

SHERIFF: You checked out your brother's room before you checked out your own. Why is that?

MRS. EVANS: Sheriff, excuse me, but why are you interrogating my children? We're the victims here.

SHERIFF: Ma'am, I apologize. I didn't mean to interrogate anybody. I just wanted to make sure that we do a thorough investigation. Sometimes seemingly meaningless details can be important.

MRS. EVANS: Right. I understand. I'm sorry.

ISABEL: I'm gonna go and check my room.

OWEN: Miss Evans? I'm sorry. I just need to take a statement. I can come back later.

ISABEL: Ok.

(Deputy Owen's eyes are drawn to Isabel's necklace)

OWEN: Where did you get that?

ISABEL: At the mall. Kind of like the retro look. Why?

OWEN: I just haven't seen anything like that since I left the reservation.

ISABEL: Well...maybe they're branching out.

OWEN: Right.

ISABEL: Which reservation?

OWEN: I grew up on the Mescalero reservation just outside of town.

(Michael enters the Crashdown from a backdoor and runs into Maria)

MICHAEL: Never do that again.

MARIA: I didn't do anything.

MICHAEL: You startled me.

MARIA: I startled you?

MICHAEL: Yes. Did Max and Isabel get here yet?

LIZ: Why? Were they supposed to be here? Oh.

MAX: We need to talk somewhere. In private.

MICHAEL: I can't say for sure I was being followed. I just had a feeling, that's all.

MAX: What did he look like?

MICHAEL: I don't know. A man in a suit. 30-35. Tall. Brown hair. He looked suspicious to me. What can I tell you?

MAX: When we were on the road, there was a guy who might've been following us. I didn't say anything because I didn't want anyone to get worried.

ISABEL: I can't believe what's happening here. Someone broke into our house. Someone's following us. It's too real.

MAX: It's gonna be ok.

(Michael stares at Isabel's necklace)

ISABEL: What?

MICHAEL: I know that. I know that. How do I know that?

MAX: The 3 of us know it. We think it's from the past.

ISABEL: Pretty wild, huh? I found it at Atherton's.

MICHAEL: This has to mean something.

ISABEL: You know that native american deputy? He said he recognized it from the Mescalero reservation.

(Michael shoots a glance at Max as if to say "We've got to go!")

MAX: We can't go anywhere right now. We can't make any suspicious moves.

MICHAEL: Come on. We gotta go.

MAX: No one's going anywhere. Not right now.

(Sheriff pays a visit to Topolsky at school)

TOPOLSKY: Who is it?

SHERIFF: I hope I'm not interrupting anything.

TOPOLSKY: Of course not, sheriff. You're always welcome. So, what can I do for you?

SHERIFF: I just needed your assistance on a small matter.

TOPOLSKY: Certainly. What is it?

SHERIFF: There was a...a break-in at Max and Isabel Evans' house yesterday.

TOPOLSKY: I hope no one was hurt.

SHERIFF: No. No one was home when it happened. And I was just wondering if you could tell me...

TOPOLSKY: My whereabouts, sheriff?

SHERIFF: Of course not. No. I was just curious if there'd been any trouble with any of the students here at the school.

TOPOLSKY: I don't know of any of my kids who would do anything like that.

SHERIFF: Right. Well, it's just a thought. I know you keep a close eye on your students here.

TOPOLSKY: That's my job.

SHERIFF: I can see you're a person who takes their work seriously. Take it home with you. Take it on the road with you. I woke up with one hell of a headache.

TOPOLSKY: Must've had your head in the wrong place.

SHERIFF: Yeah, must've.

(Sheriff tips his hat)

SHERIFF: Ms. Topolsky.

(Max hears a knocking at his window and goes to open it)

MAX: Michael, we're not going--Liz, what are doing here?

LIZ: Can I come in?

MAX: Sure. Yeah. Of course.

(Liz trips as she climbs through the window and falls on Max who steadies her)

LIZ: Ohh!

MAX: So...what's going on?

LIZ: Um...I really didn't wanna say this before because I didn't want anybody else to get involved, but...I'm going to the reservation.

MAX: No...no, you're not. We're being watched.

LIZ: Maybe you're not just being watched, you know. Maybe it's more than that. Max, today they came for the files. What if tomorrow they come for you? If there's anything there, any possibility at all that this means something, we need to find out.

MAX: Thanks for the offer...but no.

LIZ: Max, you saved my life.

MAX: What does that have to do with it?

LIZ: It's what started all of this. People suspecting you. If anything happened to you...or Michael or Isabel, I just...I couldn't live with that. Let me do this one thing.

MAX: Liz, I already told you no.

LIZ: Max, I didn't come here for permission. I came here for the pendant. If you don't give it to me, I'll just draw it. I'm going.

MAX: Hey. First moment anything weird happens, anything at all, you come back.

LIZ: I promise.

(Liz arrives at the Mescalero Indian reservation late at night and browses through a trinket stand)

PEDDLER: A beautiful bracelet for a beautiful lady.

LIZ: Oh. Yes, it is really lovely. But I was actually...looking for something like this. I was just wondering if you've seen this symbol before or if you know what it means.

PEDDLER: It means "tree of knowledge."

LIZ: Really?

PEDDLER: Actually, I have no idea what it means, but it looks old.

LIZ: Right. Yeah. Do you know what...

(A hand reaches out and grabs Liz's arm. The hand belongs to a native american named River Dog whose eyes are drawn to the necklace that Liz is showing the peddler)

LIZ: Who was that?

PEDDLER: Stay away from him.

LIZ: Hello?! Is anyone there?

(Liz is about to open her car door when River Dog comes up to her)

RIVER DOG: Give me that.

LIZ: Who are you?

RIVER DOG: Please.

(Liz lets River Dog examine the necklace)

RIVER DOG: Where did you get this?

LIZ: We just found it.

RIVER DOG: We?

LIZ: No. I found it.

RIVER DOG: Who else knows? How many know? Tell me.

LIZ: No one else knows.

RIVER DOG: How did you know to come here? Were you followed?

LIZ: No, I wasn't. I...what does this mean to you? Please tell me.

RIVER DOG: This is dangerous. It brings death.

(At the Crashdown, a native american is talking to Liz)

LIZ: Can I help you?

EDDIE: I think I'll try the redskin basket.

LIZ: Oh, yeah, I've been trying to get that off the menu for months.

EDDIE: Thanks for the effort. My people are indebted. My name's Eddie.

LIZ: Hi. I'm Liz.

EDDIE: I have a message from River Dog. He'll meet you at 10 o'clock tonight.

LIZ: Tonight.

EDDIE: Come alone.

LIZ: Out where?

EDDIE: The reservation. Someone will meet you.

(Michael, Max, and Isabel are driving around in the jeep, looking back periodically to check if they're being followed)

MAX: Is he still following us?

MICHAEL: I don't know. I think so.

ISABEL: I can't believe this. I--I just wish things would go back to the way they were.

MICHAEL: I still think this plan bites.

MAX: Michael, the plan does not bite.

MICHAEL: I'm being used as a pawn. I want to go meet this River Dog guy.

ISABEL: Michael, relax, all right?

(They drop Max off at the movies and then drive off quickly to try to lose the agent that's following them)

MICHAEL: Here we go.

ISABEL: Go!

MICHAEL: I'm going!

(Max and Liz go through the theatre walkways to a pre-arranged place to meet up with Maria)

MAX: Uh, Liz?

LIZ: She'll be here. Don't worry.

MAX: I'm not worried.

ISABEL: This is a nightmare.

MARIA: I am so sorry. My mom's acupuncturist appointment ran late. I'm so sorry.

LIZ: No, it's ok. It's ok.

(Max and Liz drive off in Maria's car)

(Topolsky pulls over and the sheriff pulls up behind her)

SHERIFF: Did you lose something?

TOPOLSKY: What about you, sheriff? Do you always chase cars when you're off duty?

SHERIFF: Only when they blow through 3 red lights, 2 stop signs, and do 70 in a 30-mile-an-hour zone. Ms. Topolsky, you are a walking, talking, moving violation.

TOPOLSKY: I'll take that the best way I can.

SHERIFF: Now, I could bring you in, hold you overnight, while I'm at it, do a thorough background check to find out what our new guidance counselor is really up to, or we could just have a nice conversation.

(Max and Liz arrive at the reservation)

MAX: Where do we go?

LIZ: He just said to come back tonight. That's all he said.

EDDIE: Who's this guy?

LIZ: Oh, uh, he's my friend.

EDDIE: I invited you, just you.

LIZ: Yeah, I know, but this is really important to both of us.

EDDIE: Sorry.

LIZ: Wait, you can't just leave.

EDDIE: Why not?

MAX: Because I know this symbol. It means something to me.

LIZ: Please, it's important.

EDDIE: There will be a test. If you pass the test, River Dog will answer all your questions.

LIZ: Let's go.

(Eddie walks away a few steps, then turns back to Max and Liz)

EDDIE: Are you coming?

(Isabel, Maria, and Michael are waiting at the Crashdown for Max and Liz to return)

MICHAEL: What do we do?

ISABEL: We wait. They've only been gone a little over an hour.

MICHAEL: I'm telling you, the plan sucks the big one, all right? They're out there on my vision quest, and I'm sitting here in the kitchen with 2 girls yakking.

MARIA: Interesting, um, Michael. You know, some women of the, uh, 20th century might find that last remark just a tad bit offensive.

MICHAEL: Why?

MARIA: Why?

ISABEL: Welcome to Michael-land.

(Michael is helping himself to some cake)

MARIA: I hope you intend to pay for that.

MICHAEL: I do not.

MARIA: Well, then that's theft, buddy.

MICHAEL: Arrest me.

MARIA: Ok, so what's with the Tabasco sauce?

MICHAEL: Sweet and spicy.

MARIA: Sweet and spicy?

ISABEL: We all like things extremely sweet mixed with extremely spicy. It's our little dietary quirk.

MARIA: Well, I'll have to, uh, keep that in mind.

MICHAEL: You do that.

ISABEL: Are you 2 flirting? God, could my life get any worse?

(Max and Liz are following Eddie up a hill and are panting a bit from the effort)

LIZ: Um, Eddie, how much...how much further is it?

EDDIE: It's very close.

LIZ: Max, I don't think this is a good idea anymore. We've been walking for too long.

MAX: Eddie, um, where exactly are you taking us?

EDDIE: You're here.

LIZ: We're where?

EDDIE: Good luck.

LIZ: No, Eddie, Eddie. You can't...you can't just leave us here.

MAX: Hey!

LIZ: We...what are we gonna do?

MAX: Friggin' Eddie.

LIZ: I cannot believe this.

LIZ: No, Max, Max. Look.

(Liz motions towards a cave opening)

MAX: What was that?

(In the darkness, Liz is grabbed by someone)

MAX: Liz!

LIZ: Let me go!

MAX: Liz...Liz, where are you?

(Max creates some light to penetrate the darkness of the cave)

MAX: Let her go. Who are you?

RIVER DOG: You have passed the test.

(Sheriff Valenti and Topolsky are chatting at a bar)

SHERIFF: I've never taken you for a drinker.

TOPOLSKY: Why is that?

SHERIFF: You seem like the healthy type. Working out at the gym, shopping the health food aisles.

TOPOLSKY: How long have you been following me, sheriff?

SHERIFF: A while now.

TOPOLSKY: Observe anything unusual?

SHERIFF: Well, besides an FBI agent being assigned to our local high school, yes, I have. That's a hell of a kick you've got going. It about gave me a concussion. It's a good thing I'm not the sensitive type.

TOPOLSKY: Aren't you? It seems to me a man who spends his entire life trying to avenge his father's mistakes could be considered sensitive.

SHERIFF: Oh, I wouldn't worry too much about my father's mistakes if I were you, Agent Topolsky. It seems you've made a few of your own.

TOPOLSKY: Such as?

SHERIFF: Well, such as letting them slip through your fingers.

TOPOLSKY: Them?

SHERIFF: Whoever it is you're after. Such as exposing yourself to the local?

TOPOLSKY: Maybe we're taking the wrong tack here, sheriff.

SHERIFF: It's funny how everybody agrees they've taken the wrong tack when their cover's been blown. Well, anyway, I just thought I'd give you a heads up before I call your superiors and let them know you've been made.

TOPOLSKY: Sheriff. Look, if my superiors find out about this, I'm off the case. Gone for good, and where does that leave you? Isn't there some other way we can work this out?

SHERIFF: Why, whatever could you be thinking, Ms. Topolsky?

TOPOLSKY: I probably have information that you would like to have, and you have information that I might want. Maybe we can work together here.

SHERIFF: Let me think about that.

(River Dog is talking to Max and Liz about the alien from 1959)

RIVER DOG: I once knew someone like you. I didn't know where he came from or why he was here. He stayed pretty much to himself. He befriended me and everyone here. He began to trust me.

MAX: Do you know where I can find him?

RIVER DOG: I haven't seen him for 40 years. Besides me, the only man he trusted was Atherton. The man gave Atherton his necklace, the one you had.

MAX: What happened to him?

RIVER DOG: Atherton was murdered.

LIZ: Who killed him?

RIVER DOG: The man killed him.

MAX: Maybe he was defending himself. Atherton was some kind of UFO nut. He could have been trying to expose him, hurt him.

RIVER DOG: I was too far away to see what happened, but when I reached them, Atherton was dead.

MAX: When was this?

RIVER DOG: November 1959.

LIZ: Max.

RIVER DOG: I have one more thing to show you. This way.

(At the Crashdown, Maria starts to get very anxious because Max and Liz haven't returned yet)

MARIA: This is taking too long. They're in trouble.

MICHAEL: Cool your jets.

MARIA: We should go out there.

MICHAEL: They'll follow us.

MARIA: What are we supposed to do?

MICHAEL: We wait.

MARIA: You know, now I know why Isabel left. You are obviously the last person to be around in a crisis.

MICHAEL: We were told to sit here and wait until they come back, all right, and that's what I'm doing. I'm not the one freaking out. You're freaking out.

MARIA: I am not freaking out.

MICHAEL: You keep pouring sugar from one container to the other and then back again. Quit it, it's driving me insane!

MARIA: I just...I wish you would say something.

MICHAEL: Say what? What do you want me to say?

MARIA: I don't know what. Just say something, you know, to make me feel calm, to make me feel like it's gonna be all right.

MICHAEL: Maybe it's not gonna be all right.

MARIA: Thanks, that helps a ton.

MICHAEL: What do you want me to do?

MARIA: I don't know.

MICHAEL: Shut up, then!

MARIA: I...I hate you!

MICHAEL: Ditto!

MARIA: You know, all I ask of you is just to try to make me feel better, you know, be a guy or whatever. Forget it. I have obviously tried to bark up the wrong tree.

(Michael kisses Maria)

MICHAEL: That was to calm you down.

MARIA: Thanks.

(Michael and Maria walk off in opposite directions)

(In the cave, River Dog shows Max some drawings on the cavern wall that the alien from 1959 drew)

MAX: Did he draw this?

RIVER DOG: Yes. He said someday you would come.

MAX: It seems familiar, like I know what it means, but I can't remember.

LIZ: It must be some sort of language.

RIVER DOG: He was afraid they were going to kill him.

MAX: Who was?

RIVER DOG: I don't know. He felt they were close to finding him, so he had to leave. I promised I would never share this information with anyone unless they passed the test.

MAX: Has anyone else come? Has anyone passed?

RIVER DOG: No, no one.

MAX: So this has some type of meaning. It's some kind of message for us. Maybe it's some type of warning. I don't know.

RIVER DOG: It's time for you to leave.

MAX: Can we come again?

(River Dog shakes his head)

RIVER DOG: I've completed my promise. There's nothing more I can tell you, nothing more you can learn.

(As Max and Liz turn to leave, River Dog reaches out and grabs Liz's hand)

RIVER DOG: Wait, wait. You're not one of them.

MAX: Liz?

RIVER DOG: Make sure he deserves your trust.

MAX: Let's go.

(Scene fades out as Max and Liz walk out of the cave hand in hand)

Kikavu ?

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riverdog  (09.08.2016 à 16:19)

excllent pour l'intrigue, très bon épisode

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Merci aux 4 rédacteurs qui ont contribué à la rédaction de cette fiche épisode

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